Radio-Canada
Quelque 1500 personnes ont signé une pétition réclamant que la Ville de Québec maintienne les règles de zonage dans Limoilou. Le collectif citoyen Action Limoilou, qui a initié la pétition, souhaite ainsi empêcher le projet de tour de 18 étages sur le site de l’actuelle église Saint-François-D’Assise.
Le promoteur du projet, Acéro, souhaite construire 103 unités de logement, surtout des lofts, mais aussi quelques 3 et demi et des 4 et demi. Les loyers coûteraient entre 900 et 1600 $ par mois.« Quand on pense que l’église, c’est un lieu assez exceptionnel, assez central et auquel les gens sont très attachés, on est en droit de s’attendre à un projet exceptionnel. On ne s’attend pas à voir quelque chose de bétonné, qui est en hauteur comme c’est là. »
23 mai 2018 à 09 h 15
La tour d’habitation de 15 étages en face, d’une laideur incroyable, ne dénature-t-elle pas le payasge?
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23 mai 2018 à 09 h 40
Surtout avec le futur tramway qui va passer sur la 1e ave. ce 18 étages doit se bâtir. Et si je suis un commerçant sur la 3e je suis bien content de voir des gens habités cette tour.
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23 mai 2018 à 10 h 28
Décourage bien raide!
Aller Québec 1 étage partout et on s’étale!
Le pire, il aurait encore des chialeux. Trouver l’erreur!
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23 mai 2018 à 11 h 49
Une tour élancée de 18 étages aurait beaucoup moins d’impact qu’un bloc massif de 7 étages occupant toute l’emprise au sol et menant à l’abattage d’arbres matures. Mais essayez donc de faire comprendre ça aux NIMBYS.
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23 mai 2018 à 11 h 50
Un autre beau cas de PAS DANS MA COUR. Si vous voulez densifier la ville et rentabiliser le projet, il va falloir que les citoyens acceptent des tours de ce genre. Pas le choix!
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23 mai 2018 à 12 h 25
Certes, on peut n’y voir que du pas dans ma cour.
Par contre, qui parmi ceux qui dénoncent pour ce projet sont toutefois aux abonnés absents quand on devrait dénoncer le 1 étage avec un océan de stationnements à ciel ouvert? (Voir le billet « La sous-densification de retour »)
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23 mai 2018 à 13 h 31
Pour avoir lu Jan Gehl, leur positionnement politique fait du sens. Je l’ai déjà dit. Par contre, je doute que l’enjeu ici ne soit pas que la question du volume, ni même de la hauteur de l’édifice.
Lorsqu’on voit du nouveau monde débarquer, on a souvent le réflexe au Québec de se placer en mode défensif.
Dans ce contexte, je me permet de poser cette question : De quoi ont-ils peur? De la bâtisse ou des gens qui y habiterons?
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23 mai 2018 à 17 h 37
« De quoi ont-ils peur? De la bâtisse ou des gens qui y habiterons? »
Probablement un peu des deux….
L’etre humain possède plusieurs caractéristiques. L’une de celle-ci est son dynamisme et sa faculté à chercher construire. Mais, en contrepartie, il possède également une forte tendance à rechercher l’inertie.
Ces deux caractéristiques ne sont pas sans créer des comportements empreint de contradictions et de paradoxes.
On en voir ici un exemple….
La situation demande d’agir ( et de construire!) ce qui implique un changement….Mais en même temps on ne désire pas que ce changement soit trop brusque ( inertie!)
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23 mai 2018 à 18 h 21
Avec 3 métrobus et plein de bus normaux aux alentours en plus du futur tram, je ne vois pas la nécessité d’obliger des stationnements. Par contre avec cette pression, il y aura peut-être des conséquences sur les stationnements de rue utilisés par les citoyens du quartier.
Il faut densifier pour optimiser les réseaux et infrastructures en place ainsi que maintenir et faire fructifier l’économie hyper-locale. D’ailleurs une fruiterie au RDC serait intéressante à la fois pour les citoyens limitrophes que pour le personnel et clients de l’hôpital.
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23 mai 2018 à 20 h 45
Beaucoup de critique des NIMBYS ici.
Comme si être YIMBYS pour tous types de projets était nécessairement mieux.
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24 mai 2018 à 12 h 55
Il y a tout simplement trop de cases de stationnements dans un contexte où justement le futur tramway passera là et que plusieurs lignes de Métrobus sont à proximité. En réduisant ce nombre, on serait en mesure alors de diminuer le coût du projet pour le promoteur et peut être avec une offre plus diversifiée.
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