Selon TVA, la commission d’urbanisme de la ville de Québec permettrait la démolition à la condition que la façade soit conservée, ce à quoi s’objecte le propriétaire. La suite devant le tribunal à la fin juin.
Un autre billet sur les diverses propositions du promoteur quant à cet immeuble. Elles auraient été toutes refusées par la Commission d’urbanisme.
5 juin 2019 à 19 h 08
Beyrouth… Quelle belle image que notre ville tolère(ou a toléré) Cibole
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5 juin 2019 à 20 h 03
J’ai déjà écrit : Quelle honte ? Un entêtement de l’administration Labeaume qui coûtera des Millions $$$ aux payeurs de Taxes de L’Accent d’Amérique.
Le promoteur Lessard n’est pas dans la bonne gang. S’il avait eu le bon contracteur, le dossier serait réglé depuis des années.
À la fin de l’article, voir : « Un autre billet » décrit très bien la situation. Tout le monde de Québec devait prendre connaissance de ce reportage du 16 mars 2017 très bien fait. Les journaux locaux devraient le publier en première page…
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5 juin 2019 à 20 h 38
Très triste. Le patrimoine, c’est ce qui nous distingue comme endroit et à chaque bâtiment de ce type qu’on perds on deviens de plus en plus une ville comme les autres…Le promoteur lui n’en a rien à foutre, tout ce qu’il veux c’est faire du fric. Par chance que le Vieux-Québec est protégé.
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5 juin 2019 à 20 h 54
https://www.ville.quebec.qc.ca/citoyens/patrimoine/bati/fiche.aspx?fiche=267
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6 juin 2019 à 09 h 57
« Valeur patrimoniale globale : Supérieure ». On voit aujourd’hui ce que ça donne…
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6 juin 2019 à 10 h 15
Cet immeuble, vendu aux environs de 1997, a d’abord eu un propriétaire américain qui ne payait pas ses taxes. Ensuite, un promoteur connu l’a acheté et a cédé la propriété au promoteur actuel. Toutefois, tout au long de ces 22 années, en aucun moment la Ville ne s’est montrée intéressée à en faire un projet comme la bibliothèque Monique-Corriveau ou la Maison de la littérature. Je me souviens fort bien d’une soirée consacrée au PPU Colline Parlementaire où était intervenu le « gérant » de l’immeuble qui voulait y faire une grande salle de réception. Le conseiller François Picard a répondu pour dire que jamais une telle chose ne se ferait dans cette église. Comme le dit la Société historique de Québec sur sa page Facebook «En fait, il s’agissait seulement d’être patient et d’abandonner son édifice au vu et au su des différents paliers gouvernementaux qui sont demeurés impassibles jusqu’au dénouement final prévisible. C’est bien triste. » A noter toutefois que le propriétaire actuel a présenté 9 projets à la Ville de Québec, et ce, au fil des ans. Tous ont été refusés. Les motifs ? les décisions de la Commission d’urbanisme ne sont pas publiques.
Autrement dit, cet endroit n’a jamais fait l’objet d’un avis d’intention de classement comme bien patrimonial par le Ministère de la Culture et la Ville n’avait aucun projet connu de conversion. Un sort identique attend la Maison Pollack.
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6 juin 2019 à 11 h 05
Ce matin en entrevue à l’émission Première heure quelqu’un a affirmé que le promoteur avait dit que l’église Saint-Cœur-de-Marie est une verrue sur Grand-Allée. Si c’est ce qu’il pensait vraiment depuis le début? Bonne chance pour qu’il attire ma sympathie.
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6 juin 2019 à 12 h 21
Il ne veut pas votre sympathie mais un permis
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6 juin 2019 à 13 h 53
@Gérald Gobeil : on dirait bien que la ville a tout fait pour que cette église en arrive à cette finalité. J’aimerais bien connaître les raisons de tous ces refus, incluant la remarque de François Picard, celui même qui a laissé démolir dans l’indifférence l’hippodrome centenaire au profit de l’amphithéâtre.
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6 juin 2019 à 14 h 01
J’aimerais bien connaître aussi les raisons de tous ces refus. Mais le dossier étant actuellement devant un Tribunal, la Ville ne dira mot et laissera la Justice trancher. La Commission d’urbanisme ne divulguera pas, sauf si contrainte de le faire, ses motifs.
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5 juin 2019 à 20 h 58
C’est minable.
Un promoteur n’a qu’a acheter un édifice et volontairement le laisser se détériorer pour le raser.
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6 juin 2019 à 09 h 59
Et la ville ne rien faire et refuser tout les projets de récupération présentés pendant quinze ans… La faute est partagée, à mon avis.
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6 juin 2019 à 11 h 24
Sale temps pour le patrimoine bâti à Québec; encore une honte pour la ville qui a laissé allé un si bel édifice. Et ensuite, on va se péter les bretelles à l’UNESCO. Encore de la courte vue et un manque de vision !
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6 juin 2019 à 13 h 21
Je sais que certains appelle ceci du façadisme, mais c’est à mon avis la meilleure décision possible avec cette église.
Mais je ne comprend pas la récalcitrante réaction du promoteur : n’a t’il pas lui même proposé des projets incluant la façade?
J’ai bien peur que ça terminera comme le Patro St-Vincent-de-Paul… Misère
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6 juin 2019 à 13 h 40
La Commission d’urbanisme a refusé tous les projets du promoteur qui incluait la façade. Trop peu trop tard ? Quoiqu’il en soit, malgré la contreverse, c’est un Juge de la Cour Supérieure qui devra clore le tout fin juin.
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6 juin 2019 à 13 h 31
Si c’est une verrue, il n’y a rien de patrimonial à sauver! Quand on finit par connaître le fond de la pensée de certains nous comprenons finalement pourquoi la terre en entier est contre eux. Des victimes à temps plein.
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