Auteur: Jean Dubé, Ph.D., Professeur titulaire, Université Laval, École supérieure d’aménagement du territoire et de développement régional (ÉSAD).
Un extrait:
Ainsi, même en allongeant la période d’étude, rien ne laisse présager à un bris de tendance majeur par rapport aux statistiques historiques notées dans l’avis. En proportion des emplois totaux, les emplois susceptibles de s’effectuer par télétravail représentent fort probablement une proportion similaire à ce qui était noté précédemment. Même en ajustant pour des secteurs plus précis (en ajoutant certaines sous-catégories et en soustrayant certaines autres), il y a peu de chance que la tendance notée précédemment ait subi un bris majeur entre 2011 et 2016.
Les constats précédents demeurent valables : les modifications sur le marché du travail prenant habituellement plus de cinq ans pour marquer un bris important.
* Stationnement d’un des immeubles occupés par l’Industrielle Alliance par un jour de semaine.
19 août 2020 à 11 h 48
Hmmmm…On part du principe que le passé est garant de l’avenir.
Pas sur que présentement il n’y a pas une tendance lourde pour le télétravail. Cela permettrait de sauver bien des pieds carrés d’espace locatif.
L’avenir dira si ce monsieur a eu raison.
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19 août 2020 à 17 h 06
Si on s’attarde au texte de l’auteur on constate que la tendance dont il est question est la croissance et la répartition des emplois qui ne peuvent s’effectuer en télé-travail. Il est effectivement difficile à un serveur de restaurant ou une infirmière de travailler de la maison. Une belle assiette par zoom peut-être?
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