Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Vers une politique de stationnement

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 novembre 2024 4 commentaires

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4 commentaires

  1. marc

    28 novembre 2024 à 09 h 19

    Le stationnement accessible a proximité c’est plus de rues piétonne et commerciale.
    Avec un stationnement disponible les gens de tout les quartiers peuvent visité tout les zones commercial de la ville
    Un secteur sans stationnement est un secteur ou les commerces on une croissance limité par les seul résidents

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  2. PPDaoust

    28 novembre 2024 à 10 h 31

    Marc, on ne parle pas vraiment des rues commerciales. La cassette ne méritait pas d’être sortie.

    Cet enjeu fait d’abord écho aux 41 cases de stationnement qui ont été retirées sur St-Olivier et Philippe-Dorval cet été.

    En 2022, il y avait 300 cases de stationnement de rue dans le Faubourg. 82% des cases étaient occupés le soir, essentiellement pas des résidents.

    En retirant 41 cases, tu tombes autour de 259 aujourd’hui. Pour un quartier de 7000 personnes.

    Certains peuvent se réjouir, mais couper 14% d’un coup, c’est pressé et brutal. De toute évidence, ce stress soudain amèneront certains, la plupart des travailleurs, à déménager voyant où tout ça s’en va.

    Je me prend en exemple. Lorsque j’habitais dans le Faubourg (2010-2017), ma job était à St-Joseph-de-Beauce. Je n’avais pas le choix de rouler ma petite Écho pour nourrir mes 2 bébés et payer mon loyer non subventionné en Coop.

    Ici j’expose simplement faits et leurs conséquences humaines probables. Celle que j’aurais pu vivre, et celles évoqués par d’autres citoyens lors des consultations de 2023.

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    • marc

      28 novembre 2024 à 11 h 28

      Quebec une ville en guerre a l’auto
      un mode de vie a l’européenne doit être une demande des citoyens pas imposé par les politiciens

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    • PPDaoust

      28 novembre 2024 à 13 h 17

      Erratum

      À la suite de doutes suscités par ma petite marche de ce matin dans le Faubourg, j’ai vérifié ma source. Les 300 stationnements dont je faisais référence concernent ceux des secteurs visé par les retraits, et non la totalité des cases dans le quartier.

      Mes excuses pour mon imprécision.

      Ceci-dit, les conséquences pour les résidents concernés demeurent importantes. Ceux qui le sont moins pour le moment ont des raisons (légitimes ou pas), de s’inquiéter.

      Et comme marc dit avec son style direct, c’est vrai que la vison politique municipale actuelle en mène large, parfois au grand dam des résidents concernés et des commerces animants les quartiers concernés.

      Juste à Montréal, on coupera tous les stationnements sur Masson sur 700 mètres, sans consultation. Qu’on soit pour ou pas, c’est draconien.

      À la ville de Québec on semble vouloir continuer dans la collaboration. Je préfère ça.

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