Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Taux d’inoccupation des locaux commerciaux à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 janvier 2025 5 commentaires

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5 commentaires

  1. Julien

    14 janvier 2025 à 08 h 32

    Le retrait d’une voie de stationnement était supposé tuer la vitalité de l’avenue Maguire et faire fuir les commerçants.

    La piste cyclable sur la troisième avenue était supposée d’effrayer les automobilistes et rendre la troisième avenue moribonde.

    Soit que des gens se font des peurs quand des changements touchent les automobilistes ou soit des entrepreneurs veulent juste perdre de l’argent en s’installant sur ses rues.

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  2. Roger

    14 janvier 2025 à 08 h 50

    Y’a-t-il quelque part la superficie commerciale rattachée à ces chiffres? J’aimerais bien croiser ces données avec la population des quartiers.

    Dans le cas qui m’intéresse, St-Roch, j’ai toujours trouvé la St-Joseph très (trop) longue. Si tu as 1 millions de pieds carrés commercial pour 100 personnes, les locaux ne pourront vraisemblablement ne pas être tous occupés, ce qui fait que la rue est plus/moins attrayante.

    On a gardé le commercial de la St-Jo comme ça l’était dans le temps des Pollack et Paquet…

    Je n’ai jamais entendu la Ville se prononcer sur ce point.

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    • Luc

      14 janvier 2025 à 12 h 57

      A mon sens le problème c’est qu’on a rammené beaucoup de nouvelle techno dans ce secteur et qu’avec le télétravail, on a perdu beaucoup de vie dans le secteur.

      Il reste qu’une bonne façon de remédier à ce problème c’est de repeupler le secteur. Il y a quand même eu plus de 20 000 personnes dans St-Rock avant les expropriations massives des années 70. aujourd’hui c’est moins que la moitié.

      Je pense qu’il faut encourager les projets de densification qui vont amener les gens à s’y établir. Le projet des frères Trudel me semble un pas dans la bonne direction

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  3. Jean-François Gosselin Utilisateur de Québec Urbain

    14 janvier 2025 à 10 h 18

    Je suis quand même surpris de ces chiffres… Il me semble que le 22 % du Vieux-Québec ne se ressent vraiment pas comme le 14 % de St-Roch. J’ai aussi du mal à croire que les locaux commerciaux ne peuvent être viables : c’est au centre d’un arrondissement de plus de 100 000 personnes (et d’une agglomération de plus de 900 000 personnes). Mais comme l’offre commerciale est déficiente, j’imagine que, comme moi, ces 100 000 personnes doivent se diriger vers les banlieues pour avoir accès à des commerces qui, contrairement à la majorité des autres grandes villes, devraient se trouver au centre-ville. Il me semble qu’une grande surface à rabais serait viable sur St-Joseph? Ou un Sport Expert? Suis-je le seul à ne pas trop maganiser en ligne?

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