Source: Christiane Vadnais, Impact Campus (Québec), 3 février 2009.
(…) «Ce serait dommage que la Ville ne reconnaisse pas le travail que les organismes communautaires ont fait, estime la directrice générale de Lauberivière, Chantale Dugas. Il y en a environ 250 à Québec, dont plusieurs ont déposé des mémoires à la Commission des affaires sociales à l’automne. On a développé des solutions, plus abordables que celles du milieu institutionnel. […] Les organismes communautaires sont sous-financés, mais des outils de travail ont été développés avec les moyens du bord.»
Des logements sociaux supervisés, où l’on travaille activement à la réinsertion sociale, ou des fiducies qui aident les plus démunis à gérer leur budget, comme en propose Lauberivière, ne sont que quelques-uns des projets qui pourraient inspirer la Ville, selon Mme Dugas. «Mais d’autres organismes communautaires ont aussi de bonnes idées», précise-t-elle.
Ces organismes prennent le pouls, au quotidien, de ce qui se passe sur le terrain. (…)
La suite. Aussi, entre autres billets: Pauvreté : Labeaume passe à l’action.
6 février 2009 à 06 h 43
J’espère que cette fois-ci que le Maire va amener ce dossier à
terme et que ce n’est pas que du vent encore une fois.
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6 février 2009 à 09 h 48
En tout cas le D’Auteuil va bénéficier des largesses municipales…
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8 février 2009 à 23 h 11
Pas trop certain pour le D’auteuil, Le Maire va faire un moyen saut en voyant la facture de rénovation. Il a encore manqué une occasion de fermer sa grande … avant de prendre une décision. N’oubliez pas que pour en faire un centre d’accueil, il faut mettre celui-ci aux normes actuelles des édifices publiques. Même les édifices du Séminaire de Saint-Augustin (bâtis dans les années 60 et à l’épreuve du feu) ont découragés les promoteurs à cause de ces normes. Imaginer un bâtiment comme le D’Auteuil….
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