Et gageons qu’aujourd’hui encore, les méga-entrepôts qui poussent toujours dans nos champs de patates seront envahis de milliers de consommateurs pressés et stressés en quête de la dernière bébelle à la mode!
Dure, dure, la « crise économique »…
Source: Pierre Couture, Le Soleil, 7 février 2009.
Pendant que les pertes d’emplois s’accélèrent un peu partout en Amérique du Nord, l’économie de Québec continue de bien faire. Le taux de chômage est descendu à 3,8 % en janvier dans la région métropolitaine de Québec.
Selon Statistique Canada, 3000 emplois ont vu le jour le mois dernier dans la région métropolitaine, portant le nombre de travailleurs à près de 400 000.
Au Canada, Québec se trouve donc au deuxième rang des économies métropolitaines les plus performantes, à égalité avec Edmonton. (…)
La suite. Aussi, entre autres billets: La crise à Québec en 1929.
7 février 2009 à 09 h 06
En voilà une belle nouvelle!
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7 février 2009 à 10 h 03
« …seront envahis de milliers de consommateurs pressés et stressés en quête de la dernière bébelle à la mode! »
Ça on appelle cela des acheteurs compulsifs, qui veulent combler un vide intérieurs ou se rassurer matériellement en achetant bien des choses souvent pas trop utiles ! (cela est dit avec détachement)
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7 février 2009 à 11 h 14
Arrêtez donc de juger les gens, si les gens décident de dépenser leur argent, c’est leur droit, non?
Imposez sa façon de penser aux autres, ça s’appelle du fascisme.
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7 février 2009 à 11 h 21
« Imposez sa façon de penser aux autres, ça s’appelle du fascisme. »
Où c’est que tu vois une imposition de façon de penser ?
As tu au moins eu l’idée d’oser vérifier ce qu’il a été dit, si cela n’était point clair comme intention?
Je te laisse avec la réponse (légère irritation)
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7 février 2009 à 11 h 39
En effet Goldoche, cette manie est rendu une habitude ici… juger les gens, généraliser, se penser plus intelligent… savoir ce qui est le mieux pour les autres, être condescendant et prétentieux.
Jean, j’ai l’impression que tu aimerais que les gens n’achète plus rien a cause de la crise… et bien c’est une bonne nouvelle que les gens utilise leur argent, c’est avec cette attitude que la crise économique va se résoudre, et non pas en ayant peur a cause des nouvelles dans les médias qui ne font qu’amplifier la crise.
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7 février 2009 à 11 h 55
Ok… pour le facisme j’y ai été fort, je l’admet.
Mais disons qu’il y a 50 ans, des gens comme vous auriez été curés.
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7 février 2009 à 12 h 36
C’est très condescendant votre façon de penser.
Si quelqu’un veut un Ipod il a le droit, non? Pourquoi il n’aurait pas le droit? Au fait, Carol as-tu un appareil photo numérique? Il me semble que si tu suivais ta philosophie, tu ne devrais avoir qu’un vieil appareil photo à films. Et internet, c’est un luxe aussi, une bebelle à la mode…
Pis pour le linge, ben une paire de pantalons c’est correct, en haut de ça, c juste du luxe…
juste des bebelles à la mode
Regardez, les gens ont plus d’argent qu’avant, plus de temps libres qu’avant, venez pas chialer que les gens dépensent plus…
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7 février 2009 à 13 h 06
« Mais disons qu’il y a 50 ans, des gens comme vous auriez été curés »
hi hi hi j’avoue quel est bonne, je ne l’avais point pensé ! ;-)
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7 février 2009 à 13 h 15
« Au fait, Carol as-tu un appareil photo numérique? Il me semble que si tu suivais ta philosophie, tu ne devrais avoir qu’un vieil appareil photo à films »
Soupir ! tu « semble » confondre surconsommation et consommation normale. Bref… sans commentaire !
« En effet Goldoche, cette manie est rendu une habitude ici… juger les gens, généraliser, se penser plus intelligent… savoir ce qui est le mieux pour les autres, être condescendant et prétentieux. »
Mon cher Matrix a qui t’adresse-tu? et sur quoi te basse tu pour affirmer telle chose.
Car je pourrais moi aussi considérer cela pour du jugement !? (sans rancune)
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7 février 2009 à 13 h 37
Ok, elle ou la ligne entre consommation normale et surconsommation.
On dirait Carol que tu traces la ligne ou ça fait ton affaire. C’est plutôt toi qui semble faire preuve d’hypocrisie.
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7 février 2009 à 13 h 38
Moi je suis bien heureux que les gens continuent de dépenser leur argent (qu’ils soient naif ou non). Ça fait rouler l’économie et c’est mieux que de cultiver la peur comme au États-Unis avec les résultats qu’on connait.
Changer nos habitudes et cesser de dépenser par peur ne ferait qu’emplifier la crise. Nous n’avons pas à juger les autres de la manière dont ils utilisent leur argent et au final, l’important c’est qu’ils continuent de dépenser pour que l’économie s’en porte bien.
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7 février 2009 à 13 h 43
Carol, mon commentaire était adressé pour plusieurs personnes mais très certainement pour toi :)
Sur quoi je me base pour affirmer de telle chose? tout simplement tes propos dans les différents billets !
Tu peux considérer que que je te juge en disant que tu juges les gens, mais je pourrais te répondre que tu me juge en affirmant que je juge à propos que tu juge et on n’en sortira pas ;)
Pour ton propos au sujet de la consommation et la surconsommation est un bel exemple. Toi tu considère que TES achats sont de la consommation normal. Mais je pourrais surement te trouver des gens qui vont considérer que tu t’es payé un luxe et donc que tu fais de la consommation non nécessaire. Je pense que tu devrais faire plus de retenu quand tu fais des affirmations sur la consommation des gens. J’en connais pas moi de monde dans mon entourage qui surconsomme. Mais je connais des gens qui se paie des petits luxes qui sont pleinement mérité.
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7 février 2009 à 14 h 45
Je pense que ce qui manque le plus chez les gens qui travaillent, c’est le temps. On est toujours pressé, fatigué et stressé, si bien que parfois on en a plus conscience que notre corps a de la misère. Le luxe que l’on se paye dans ce contexte devient vite le bonbon qui nous fait du bien. Je crois que le « vide intérieur » n’a rien à voir. On travail simplement trop.
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7 février 2009 à 16 h 44
Effectivement, si les gens veulent consommer, c’est leur affaire.
Toutefois, cette consommation doit être soutenable d’un point vue environnemental et équitable d’un point de vue social.
Il m’apparait assez évident que notre mode de vie ne rencontre ni l’une ni l’autre de ces conditions. Donc, effectivement, il faut revoir notre manière de vivre. Et je ne parle pas de retourner à l’âge de pierre.
Je crois qu’une partie de la solution repose sur une amélioration des équipements et infrastructures collectifs, qu’ils soient de nature publique (transport en commun) ou privée (cinéma de proximité).
Je crois qu’il n’est pas soutenable d’avoir une auto par personne de plus de 16 ans et une maison assez grande pour contenir un quasi écran de cinéma et ce quasi écran de cinéma.
Toutefois, en investissant dans les équipements collectifs, on fait des économies d’échelle et d’efficacité qui nous permettent de continuer à être mobile (transport en commun) et à consommer de la culture (cinéma de proximité).
Toutefois, pour réaliser ce tournant, il faudra revoir notre manière de construire nos villes. Voilà pour le lien avec QuébecURBAIN :-)
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7 février 2009 à 20 h 12
1 – Manque-t-on d’espace à Québec? non
2 – Supposons que la ville de Québec adopte un plan d’urbanisme très restrictif e.g. maisons en rangées seulement, condos, tours, interdiction de construire à Val-Bélair, Lac-St-Charles, etc., qu’arriverait-il?
Les gens iraient ailleurs, à Lévis, saint-augustin, Boischatel, etc.
3 – Ok, pour densifier la ville, on pourrait construire des maisons à d’estimauville, à la ferme SMA? On pourrait faire des condos à Sillery sur les anciens monastères, qu’en pensez-vous?
4 – L’ingénierie sociale j’y crois plus ou moins en passant… Si on veut que les gens utilisent plus le transport en commun, il serait préférable de taxer davantage l’essence que de pelleter des nuages.
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8 février 2009 à 00 h 57
La question n’est pas de savoir si on MANQUE d’espace à Québec, mais est-ce que l’on prend TROP d’espace pour rien? A quoi ça sert de prendre autant d’espace si c’est pour faire des horreurs comme le Boulevard Hamel ou le Boulevard Henri-Bourassa? Non seulement ça a un effet désastreux sur l’environnement, mais ça rend les villes vraiment moins agréables (esthétisme baclé, vie de quartier presque inexistante, etc).
Amusez-vous à comparer la Ville de Québec à Paris: on prend plus de place pour loger 725 000 personnes que les deux millions de Parisiens qui vivent à l’intérieur du périphérique!
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8 février 2009 à 09 h 16
« Pour ton propos au sujet de la consommation et la surconsommation est un bel exemple. Toi tu considère que TES achats sont de la consommation normal. »!
« On dirait Carol que tu traces la ligne ou ça fait ton affaire. C’est plutôt toi qui semble faire preuve d’hypocrisie. »
TRES GROS SOUPIR – CIBOLE vous êtes pas capable de me poser des questions pour vérifier ce que je voulais dire par mes commentaires et opinion. Au lieu de deviner et d’essayer de me coller toutes sortes d’intention tordue!
Peut-être que je tombe quelques fois moi aussi dans ce piège de juger, mais je ne le fais point par mauvaise intention, ni condescendance, ni mépris, ni prétention contrairement à ce que certain pensent ):(
Ah les pseudo communication par internet ! donne plus d’incompréhension que de clarté !
J’ai dit !!! (très grosse irritation)
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8 février 2009 à 11 h 10
Peut-être, mais ton attitude ou tu juges constamment les gens en les accusant de surconsommer, ça commence mal.
Connais-tu l’expression « vivre et laisser vivre » ?
Si quelqu’un veut vivre en ville, tant mieux!
Si quelqu’un veut vivre en banlieue, ben c’est son choix.
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8 février 2009 à 12 h 37
Il est pratiquement impossible de tracer une ligne entre concommation et surconsommation. Alors inutile d’en jaser plus longtemps, si ce n’est pour dire qu’on s’entend qu’il y en a une, mais elle n’est pas la même pour chacun.
Il est aussi inutile de jouer les moralisateurs sur ce que les gens doivent faire ou ne pas faire.
SAUF que…
Là où je me permet de le faire, en quelque sorte, c’est en rappelant ici à plusieurs que ce n’est pas LEUR argent que les gens dépensent de plus, en plus. Non, c’est du crédit. Il s’agit de l’argent de banques, d’autres institution financières, etc. et eux prennent cet argent ailleurs. Sans m’éterniser sur le sujet, disons simplement que c’est en bonne partie la cause des problèmes économiques actuels. « On » (les gens, les banques, etc.) a trop dépensé à crédit.
Les gens aujourd’hui ne sont pas plus riches qu’avant, il ont au contraire plus de dettes! (mais comme elles sont utilisées pour consommer des biens palpables, ils ont l’air plus riches). S’il s’agissait uniquement de bien durable dont la valeur ne déprécie pas avec le temps, ça serait correct (toute dette serait garantie par une bien de valeur équivalente). Mais ce n’est évidemment pas le cas.
Alors oui, il y a des problèmes économiques à cause d’un tapon de nonos (individus ou employés d’institutions) qui ne savent pas faire un budget. Et à Québec, goutte d’eau dans la mer de l’économie mondiale, si on s’en sort, c’est à cause d’autres facteurs qui nous sont propres, et non parce qu’on est plus fins que les autres.
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8 février 2009 à 14 h 21
Bon ben c’est décidé je vais m’acheter une bébelle: un beau vélo pour en faire avec Jean et Carol…
Oups c’est vrai c,est pas de la consommation, un vélo c’est esàun bien essentiel…
Ne désespère pas Carol de me voit arriver sur mon vélo sur les pistes cyclables…
Je sais ce que tu vas répondre : TRES GROS SOUPIR – CIBOLE
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8 février 2009 à 16 h 24
Je suis d’accord avec toi Manu !
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8 février 2009 à 19 h 18
Je vous invite sur mon blogue ou justement j’aborde la cause de la crise financière.
http://fernandtrudel.blogspot.com/
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8 février 2009 à 21 h 36
je me demande quel genre de blog d’urbanisme c’est en train de devenir…
Bon je suis pressé… je vais m’acheter un télé lcd 46 pouce 1080p pour écouter tout le monde en parle!
a+
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8 février 2009 à 22 h 45
Ben regarde,
Ya des gens sur ce blogue qui se sentent moralement supérieur à d’autres et qui se permettent de juger …
Normal que ça fasse des flamèches.
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9 février 2009 à 00 h 16
Goldoche,
Vivre en banlieue (ou du mois la surbanlieusarisation massive) est un choix qui a un impact économique, social et environnemental sur toute la collectivité.
La liberté s’arrête là où celle des autres commence.
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9 février 2009 à 08 h 24
Jean C. est clairement contre les « gros méchants » entrepôt. C’est très gauchiste, mais ô surprise! Au moins dorénavant on sait à qui on a affaire et on va se passer de ses articles et le biais d’opiniâtre qu’il y met.
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9 février 2009 à 08 h 29
Note: je tiens moi aussi à désapprouvé publiquement Carol. Ses raisonnements sont capiteux, prétentieux et empestent la mauvaise foi malhabille.
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9 février 2009 à 09 h 51
pis à part ca, si les gens ne vont pas acheter bien va falloir mettre ces travailleurs au chômage. Ca va monter le taux de la région et comme ca on se comparera aux autres régions. Tous égaux comme est la pensée de l’initiateur de billet.
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9 février 2009 à 12 h 37
(les commentaires devraient être fermés pendant un petit moment sur Québec Urbain : parce que ça devient franchement désagréable depuis un certain temps)
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9 février 2009 à 13 h 41
psa votre commentaire est à point.
Ce qu’on voit comme valeur québécoise est issue du refus du système économique des nouvelles générations reçu en héritage par les boomers…
Il faut combattre les sables bitumineux car les réserves peuvent approvisonner le monde pour 250 ans et ca entre en contradiction d’abattre le système des méchants capitalistes. Pour eux, l’état est la seule alternative et c’est carrément une théorie socialiste.
La gauche québécoise a pris le plancher et dire le contraire est proscrit. Ainsi la symbiose entre les écolos et les socialistes s’est faite au niveau politique.
Au Québec, Québec Solidaire en appelle à l’alliance de la gauche : Socialistes, altermondialiste et écologistes. Le président des verts s’est présenté pour ce parti quoique les accointances avec le bloc et le PQ sont possibles. Par contre, Mme Marois est trop au centre pour eux…
On constate de plus en plus cette union de la gauche dans les manifestations dans la rue : CSN, Bloc, Québec-Solidaire, Parti Communiste, groupes écolos, etc… Nos activistes sont à l’oeuvre…
En Europe, le mouvement Utopia tente de réunir les socialistes, les écolos et les altermondialistes. Ils réclament la justice climatique. L’histoire climatique est pour eux un véhicule pour attaquer le système.
http://www.mouvementutopia.org/blog/
Ils sont maintenant à fonder un parti anticapitaliste.
http://www.npa2009.org/
Voici le titre de leur déclaration commune…
Belém : Nous ne payerons pas la crise ! Que les riches la paient ! Pour des alternatives anti-impérialistes, anti-capitalistes, féministes, écologistes et socialistes !
Parler contre les sables bitumineux, c’est abattre le système économique car les réserve peuvent approvisionner le monde pour 250 ans. Nous sommes devenus le pays ayant la plus grande réserve d’énergie. Pour eux faut stopper ca même au risque de devenir un tiers-monde et de mettre tout le pays au chômage…
Quand je les contredit avec des arguments documentés, ils me démonisent car je suis la fausse note dans leur propagande. Voilà ce qui se passe entre certains intervenants et moi…
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9 février 2009 à 13 h 44
A Quebec on se croit à l’abris de la tumulte à cause que presque tout le monde travaille pour le Gouvernement du Québec, ou pour des sous-contractants du Gouvernement, ou pour des entreprises dont les clients sont tous des fonctionnaires, sous-contractants ou travaillent pour d’autres entreprises dont la clientèle est du même genre. Donc: tant que le gouvernement va tout va!
Mais attention le flottage sur les nuages, la saison des impôts arrive à grand pas… La principale source de financement gouvernement qui fait vivre Québec c’est le ministère du Revenu, et qui dit pertes d’emploi, baisse de profits ou dans les autres régions du Québec, dit aussi moins de revenus pour le Gouvernement du Québec. Tôt ou tard le Gouvernement va être pris à la gorge et va se mettre à couper partout. Il va évidemment essayer de couper dans ses fonctionnaires comme d’habitude, mais il va aussi couper dans les contrats et remettre aux calendes grecques tout ce qu’il est capable de reporter… A ce moment là on va arrêter de flotter!
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9 février 2009 à 17 h 54
Le seul commentaire qui me semble avoir du bon sens dans cette file est celui de liliL
« Les commentaires devraient être fermés pendant un petit moment sur Québec Urbain : parce que ça devient franchement désagréable depuis un certain temps. »
Je suis assez d’accord, c’est en train de devenir un match de boxe pour « les-gens-qui-n’aiment-pas-la-banlieue-pis-Wall-Mart » contre « les-gens-qui-n’aiment-pas-les-gauchistes-du-centre-ville ».
C’est vraiment devenu le festival des lieux communs, des préjugés et de la polarisation. D’un côté Fernand(et ses sbires) et de l’autre Jean (et ses fidèles). Moi j’ai un bicycle, lalalèreuuu, contre moi je n’en ai pas, lalalaaa.
Cela n’a rien d’un débat, c’est une engueulade perpétuelle et plus je vous lis, plus je perçois que tout ce que vous arrivez à faire, c’est de nuire aux idées que vous prétendez défendre en polarisant ce qui pourrait éventuellement être une réelle discussion. Quel gâchis…
Peut-être faudrait-il réfléchir à l’impact des commentaires très éditoriaux (qui penchent généralement du même côté), et du malin plaisir qu’on certains commentateurs à y réagir de manière aussi puérile? Et aussi à une politique éditoriale claire pour les commentaires, du type « hors sujet = out ». Ce n’est pas de la censure que de s’assurer de la pertinence et de la qualité des interventions, c’est du bon sens éditorial.
Je me désabonne à l’instant du fil RSS alors qu’auparavant je trouvais cela intéressant…
Au revoir QU… :(
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9 février 2009 à 19 h 42
Je ne suis pas un gars de droite en passant, mais disons que je n’aime pas me faire dire quoi penser.
Je pense qu’il y a des points commun entre les adeptes de la densification de la ville et les autres.
Je ne suis pas contre la densification de la ville, loin de là, je l’encourage. J’appuye les travaux dans St-Roch, je pense d’ailleurs qu’il manque de stationnement dans St-Roch. Un genre de stationnement central ou les gens iraient se stationner pour ensuiter aller marcher au travail ou pour aller magasiner.
Je suis d’accord avec l’idée que D’Estimauville devienne un quartier résidentiel « haute-densité » i.e. maison en rangées + condos.
Je suis pour le transport en commun, mais sceptique par rapport au tramway.
Je suis pour qu’on fasse des condos à Sillery, tout en gardant une section réservée pour faire des parcs avec les anciens monastère.
Mais en même temps, je veux qu’on réduise le trafic sur l’autoroute, qu’on cesse de décrier les banlieusard qui vont magasiner. D’arrêter de parler de surconsommation sans arrêt.
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10 février 2009 à 12 h 32
Oh! Lili ne lit pas des chroniques aux lunettes roses qui ne disent que des choses qu’elle veut lire, pour faire des grosses douceurs à ses petites valeurs et demande une censure! Quand des parasites infestent faut nettoyer, et ils ne sont pas toujours ceux que les bien pensants chouchouttent.
Méga truc contre tout ce qui vous déplait: changez de poste pour un plus mièvre qui vous convient sans heurts!
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10 février 2009 à 12 h 42
Merci Michael pour votre déshabonnement, c’est le meilleur moyen de vivre sans nuire aux autres. Pour faire hurler « Jean et ses renifleurs » je vais ici utiliser l’expression anglaise: If you can’t stand de heat, get out of the kitchen (ça vaut aussi pour Lili (« lilil » comme dirait Michael).
J’habite le centre-ville, le tramway est une fumisterie incohérente, que les élus défendent pour faire « cute » et donner des contrat$, et que les verts implorent parce qu’ils n’en voient plus clair tellement ils mordent fort.
J’ai aussi un vélo, ça ne fait pas pour autant de moi un sans génie qui ne distingue pas la différence entre « étalement urbain » et « droit de vivre sans avoir le nez coller dans le *** de son voisin.
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10 février 2009 à 12 h 59
Moi ma mère a me disait de mettre de l’eau dans mon vin.
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10 février 2009 à 23 h 02
Richard,
Je me suis peut-être désabonné du fil RSS, mais cela ne m’empêche pas de lire de temps en temps…
Le problème des commentaires n’est pas le choc des idées: c’est l’absence de pertinence d’une bonne partie de ceux-ci, et l’apparition de thèmes récurrents avec des positions très polarisées. Débattre et discuter, même un peu fort, n’importe quand. Perdre mon temps à lire des trucs stériles pour essayer de trouver une opinion intéressante? Non merci.
Il y a une foutue différence entre chicane stérile et débats utiles. Évidemment, il se trouve toujours qqun pour confondre les deux, et essayer de faire passer ceux qui essaient de dialoguer malgré les désaccords au lieu d’hurler pour des mièvres.
Je ne suis pas du tout certain que le « get out of the kitchen » pour tous ceux qui souhaitent une meilleure modération soit l’option la plus souhaitable pour Québec Urbain à long terme…
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11 février 2009 à 09 h 11
Le désabonnement dont ont s’est précédemment réjouis était donc un acte manqué, de toute évidence.
Le problème… c’est que la conversation avait déjà dévié, je ne pense pas avoir eut besoin de gâcher quoi que ce soit.
Le problème… c’est qu’on fait mine de discuter de bonne foi jusqu’à ce qu’une opinion interressante (i.e. pareille à la sienne) ai le dernier mot, sans quoi on « call » le dérapage, le hors sujet, la stérilité, j’en passe, et de meilleures et des pas mûres.
Le problème… c’est que « hurler pour des mièvres » n’a pas de sens intelligible dit comme ça.
L’expression « get out of the kitchen » rappelle seulement aux censeurs de lire ailleurs plutôt que de décider pour les autres où se trouve la ligne entre l’argumentaire et « l’obstinage ».
Et tout ça part du fait qu’en faisant semblant de discuter, c’est quand même toujours les mêmes mentalités mono orientées qui sévissent dans certains forum en variant le thème. Alors je réclame le droit de leur dire: « on sait ben vous autres, si c’est pas vert en économie ou bleu en politique c’est le démon ».
On veut cracher sur les consommateurs en les taxant systématiquement de complusifs, on fait du Walmart bashing, … « Profitens-on » pour en faire les coupables pour la dérape économique parce qu’on est jaloux de ceux qui s’achètent enocre des bébelles à la mode. (Et qui ô honte s’y connaissent en mode.)
C’est bien de prétendre qu’on aurait des solutions si on était à la place des autres. Le problème… c’est qu’on ne les a jamais vu marcher alors… Laissez l’économie se redresser comme elle peut et pour ceux qui se reconnaîtront bien, mettez aussi de l’eau (non embouteillée archi contre le suremballage) dans votre vin à vous (ultra bio avec du raisin équitable dans un tétra pack recyclable).
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16 février 2009 à 19 h 43
Cher Richard,
J’avoue que je ne sais même pas par où commencer tellement ton message ne semble pas s’adresser à moi. Allons-y par le commencement…
D’abord, désolé de te décevoir: je passe effectivement encore de temps en temps sur QU. D’ailleurs, je ne sais pas pkoi un désabonnement à un média dont tu sembles pourtant te délecter pourrais te réjouir. C’est un peu paradoxal, non?
Ensuite, j’aimerais te préciser un point qui me semblait pourtant clair: je n’ai pas d’opinion tranchée sur le sujet du billet, et je n’ai jamais fait la moindte intervention polarisée ici. Je ne blâme ni la droite, ni la gauche, ni Fernand, ni Jean: le problème est justement qu’au lieu de débattre des faits, on se polarise (comme tu viens d’en donner un exemple parfait) et on transforme le débat en engueulade. C’est ÇA qui m’énerve.
Si cela peut te faire plaisir, je ne bois pas de vin bio (il est généralement assez ordinaire sauf exception), je suis passablement de droite économiquement, je ne crache pas sur Wal Mart (ils occupent un créneau où je ne me reconnais peu mais ils y ont du succès et tant mieux pour eux!) et je n’aime pas non plus les interventions à sens unique de certains collaborateurs de QU.
Mais je sais vivre, et je pense qu’on arrive davantage à convaincre les gens quand on arrive soi-même à les écouter, et à savoir reconnaître dans les arguments de ceux avec qui on n’est pas d’accord quelques bribes de bon sens.
Si Jean émet souvent des commentaires très éditoriaux dans des billets, c’est justement son droit: toi qui est un tenant de la liberté d’opinion devrait s’en réjouir, et débattre avec lui au lieu de déraper. C’est ce que j’apprécierais faire, et c’est justement pour cela que j’enrage quand, au lieu d’une discussion, il y a une foire d’empoigne où des commentateurs enragés et polarisés portent des jugements à l’emporte-pièce sans prendre le temps de se demander si leur opinion ne serait pas mieux servie s’ils apprenaient parfois à se taire.
Je ne comprend toujours pas d’où vient ton dérapage à propos de l’économie (tes deux derniers paragraphes), ni d’où tu tiens ton opinion que je suis de gauche économiquement. Car il s’agit bien d’une opinion complètement gratuite, mal informée, et non de faits. Ce qui illustre très bien le problème avec les commentaires ici.
Je laisserai les autres lecteurs décider pour eux-mêmes si ton attitude relève davantage de « l’argumentaire que de l’obstinage » comme tu le dis si bien, mais il me semble plutôt limpide que mon intervention visait non pas à prendre position pour un camp ou l’autre mais plutôt à demander aux deux camps de respirer par le nez et de débattre plutôt que de radoter toujours les mêmes choses. Toi qui te prononces aussi ouvertement contre les « mentalités mono orientées » devrait en être content, non?
PS: Je n’ai pas dit « hurler pour des mièvres ». Il y avait une première partie à cette phrase que tu as tronqué. Je voulais dire que si on se plaint du manque de jugement de certains commentateurs, ces mêmes personnes se plaisent à nous qualifier de mièvres ou de censeurs. J’espère que cela est plus clair…
Cette fois, c’est promis, je ne reviendrai pas sur ce billet. Ce n’est pas par intérêt pour ton opinion que je suis revenu ici mais bien pour éviter de laisser planer des doutes sur mes positions.
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