Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Nouvelle publication: « Les Anglos — La Face cachée de Québec – Tome II – Depuis 1850 » (Éditions Sylvain Harvey)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 décembre 2005 2 commentaires

Louisa Blair, auteure. Photo: Raynald Lavoie, Le Soleil, 3 décembre 2005.

Espèce en voie de disparition

Source: Le Soleil, 3 décembre 2005.

(…) En 1933, un relevé effectué dans deux artères principales de la ville révèle que plus de la moitié des enseignes sont en anglais, alors que les anglos ne représentent plus que 7 % de la population. À la même époque, environ 90 % des bâtiments qui subsistent dans le Vieux-Québec présentent une architecture d’inspiration britannique. (…)

De toute évidence, Louisa Blair [entrevue à Indicatif Présent, R.-C.] a écrit une lettre d’amour à la ville qui l’a vue naître et qu’elle a choisie pour y vivre.

Elle raconte sans amertume et sans esprit de revanche l’agonie ou la lutte pour la survie d’institutions chères à la communauté anglophone: l’hôpital Jeffery Hale a fusionné avec le Saint Brigid’s Home et le centre Holland; le Ladies’ Protestant Home a fermé ses portes en 1989; le Quebec Chronicle Telegraph, le plus vieux journal de Québec à 240 ans, est publié dans un sous-sol de Sainte-Foy et survit avec 1800 abonnés. (…)

Suite de l’article.

Les Anglos — La Face cachée de Québec – Tome II – Depuis 1850 (Éditions Sylvain Harvey)

de Louisa Blair
Ouvrage de 144 pages
Couverture rigide
Nombreuses illustrations

Prix de détail : 34,95 $

Voir aussi : Voyage dans le temps.


2 commentaires

  1. gérald gobeil

    6 décembre 2005 à 11 h 37

    Autant le tome 1 que le tome 2 sont passionnants à lire. On y fait des découvertes fort intéressantes. Et on apprends beaucoup sur le passé anglo de Québec.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  2. Casanova

    6 décembre 2005 à 12 h 57

    J’étudie à St-Lawrence College, le seul cégep anglophone dans la région de Québec. Je suis donc souvent en contact avec des jeunes qui viennent de familles anglophones. Chaque jour, je me plaîs à être avec eux; c’est du très bon monde qui ont fortement participé à l’histoire de notre ville alors j’ai beaucoup de respect pour eux.

    — 2 familles unient dans 1 belle grande ville —

    Signaler ce commentaire

     ou annuler