Québec Urbain

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Patro Laval : 100 ans de loyaux services

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 mars 2009 1 commentaire

Source : Thaïs Martel, Québec Hebdo, le 24 mars 2009

Le Patro Laval fêtera ses 100 ans l’an prochain. Pour commémorer un siècle de présence dans le quartier Saint-Sauveur, les organisateurs souhaitent honorer la mémoire de gens dévoués qui ont forgé le passé du Patro, mais aussi offrir un legs durable aux générations futures pour la poursuite de la mission. La fête approche à grands pas et les préparatifs sont déjà bien entamés.
«On ne voulait pas se contenter de célébrer le passé. On souhaitait aussi laisser héritage afin de donner un élan nouveau au Patro pour les prochaines années. Parce qu’il faut l’avouer, le Patro Laval n’est pas le plus connu de la région, il n’est pas situé sur une artère passante, c’est une destination en soi et s’il a perduré aussi bien caché, c’est qu’il répond à un réel besoin dans le quartier depuis 100 ans», explique Donald Gingras, directeur général du Patro Laval.
Héritage 2010
C’est donc en deux volets distincts que s’organisent les festivités. Le premier, plus festif, viendra commémorer l’action communautaire du Patro alors que le second, le projet Héritage 2010, se veut un cadeau à la communauté. «On planche là-dessus depuis 2007 : l’installation d’un ascenseur devant la bâtisse et l’aménagement d’un parc de quartier dans la cour. C’était un peu un rêve au début, mais ça devient maintenant réalité», raconte M. Gingras.

la suite


un autre patro mais qui lui a changé de vocation…

Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement La Cité - St-Sauveur, Message d'intérêt public, Québec La cité.


Un commentaire

  1. Fernand

    24 mars 2009 à 19 h 52

    Il y avait St-Vincent de Paul, Roc-Amadour, Charlesbourg, Lévis et Laval tous des patros qui participaient aux défilés et qui servaient de centre sportif.

    Que de souvenir dans les anciennes casernes militaires du Patro Roc-Amadour ou sous les toits percés nous écoutions un film de Tarzan en voyant descendre des gouttes de pluies et en y mettant des seaux pour la récupérer.

    On n’avait rien d’autre que des champs en friche et de l’énergie à brûler. Ste=Odile n’était pas bâti.

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