Haute-densité… mais sans les avantages : un court mais brillant texte (en anglais) qui s’applique très bien a Québec.
Avant de quitter madame Québec urbain il y a un mois ou deux, nous avions commencé à magasiner, plus ou moins sérieusement, un lieu de vie commun. Problème : Elle était, et elle est probablement toujours, une fille de banlieue. Moi, vous vous en doutez un peu, je suis un gars de ville. Une maison individuelle? Ce n’est pas pour moi. J’étais cependant près à faire cette concession (je suis si gentil) SI je pouvais avoir une rue commerçante à moins de cinq minutes à pied. Nous avons trouvé un seul endroit propice : un développement récent sur la rue des Compagnons, à vingt pas de chez moi, qui avait un accès facile à la rue du Campanile. Problème : c’était 300000$ et plus.
Les édifices à condo récent, comme le développement Lebourgneuf et celui de la montagne des Roches n’offrent aucun service de proximité et oblige les résidents à utiliser leur voiture pour aller acheter un deux litres de lait au dépanneur.
La non-mixité des fonctions, c’était l’avantage concurrentielle de la banlieue. Mais c’est aujourd’hui ce qui la tue.
20 avril 2004 à 10 h 36
Bon un an plus tard je n’ai toujours pas eu ma photo des aménagements au Alcôves du Palais.
Bon trop tard je prends l’avion au départ de Lyon la semaine prochaine et je vais aller voir moi-même…
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21 avril 2004 à 18 h 00
Eh Bien !
Francis profite d’un billet sur l’urbanisme pour dire qu’il n’est plus avec madame Québec Urbain, et déjà qu’une demoiselle annonce qu’elle va prendre l’avion de Lyon pour venir voir… ;)))
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25 août 2008 à 18 h 59
Aujourd’hui, en 2008, il y a maintenant un Super-IGA et un Jardin Mobile à proximité des rues Montagne-des-Roches et Aigue-Marine, et pas loin de la rue des Diamants.
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