Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le Centre de génomique humaine et microbienne de Québec verra le jour bientôt

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 février 2006 6 commentaires

Grand format 737 X 600. Source: Le Soleil.

Un pas solide vers la médecine de l’avenir

Source: Le Soleil (reportage publicitaire), 12 février 2006.

(…) D’ci un an, les chercheurs et étudiants qui s’entassent dans les locaux du Centre de recherche [du Centre hospitalier de l’Université Laval]pourront bénéficier de nouveaux équipements à la fine pointe de la technologie réparties dans de nouveaux locaux aménagés sur trois étages, totalisant plus de 8000 mètres carrés de superficie. Un investissement de quelque 57M $, dont 30M $ en équipement qui permettra l’ajout de 400 nouveaux postes au CRCHUL. (…)

À noter que la forme du futur immeuble abritant ce centre imaginé par le docteur Fernand Labrie et ses collègue diffère sensiblement de sa première version dessinée en 2002.

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge.


6 commentaires

  1. ArtByte

    14 février 2006 à 12 h 35

    Où va être situé cet édifice? Il me semble que la première version fait plus joli…

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  2. antoine

    14 février 2006 à 15 h 18

    Effectivement la première version était plus intéressante… là ca fait années 80… pas très réussi comme projet…. encore une fois

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  3. Manu

    15 février 2006 à 00 h 17

    Hmm… je trouve plutôt que ça a l’air de « l’an 2000 » tel qu’on le pensait en 1980…

    Mais bon, je trouve que pour un centre de génomique, le style boîte à lunch en inox lui va quand même bien

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  4. Lisette

    15 février 2006 à 07 h 41

    Personnellement je préfère la première version, 2002.

    Je suis tout à fait d’accord avec Manu. « Hmm… je trouve plutôt que ça a l’air de « l’an 2000″ tel qu’on le pensait en 1980 ».

    Dans les années 80, cela aurait été pour le moins moderne…

    Je ne suis pas du tout surprise de l’opinion d’Antoine qui se veut somme toute d’ordre générale !

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  5. antoine

    15 février 2006 à 09 h 40

    Lisette voici mes commentaires moins « généraux… »

    En premier il s’agit d’un agrandissement, c’est à dire qu,ils ajoutent plusieurs étages au bâtiments. L’ajout initial avait la qualité de conserver les principes qui ont été utilisés à la base, horizontalité, fenestration, etc… tout en se dissociant, là ca ressemble à une belle grosse boite en aluminium, mur rideau d’aluminium ordinaire comme on le voyait sur les bâtiments des années 80… aucun relief, aucun traitement du toit, aucune finesse…

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  6. André Voyer

    15 février 2006 à 18 h 01

    Lorsque je lis des commentaires sur des projets d’architecture, il m’arrive de me reporter en juin 1960, à mon premier emploi dans une firme d’architectes. Nous recevions alors deux revues américaines ; Architectural Record et Progressive Architecture. À chaque nouvelle parution, c’était immanquable, les projets présentés étaient toujours critiqués, fussent-ils de Le Corbusier, Yamasaky (WTC), F. Ll Wright ou plus près de nous : Gauthier, Guithé et Roy ou encore Côté, Blather et Caron. Et celle qui me faisait alors le plus rire c’était: «si c’était moi, ce n’est pas ce que j’aurais fait». Plus tard au Service de l’urbanisme de la Ville de Québec, en plus des revues précitées, nous recevions, durant les années « fastes » les revues italiennes : Abitare et Domus. Encore là les projets faisaient toujours l’objet de critiques, souvent sévères.

    L’architecture est un art au même titre que la peinture ou la sculpture entre autre. Je comprends très bien que les projets ne fassent pas l’unanimité et qu’il est bon de s’exprimer sur ce qui nous agace. Force est d’admettre qu’en certaines occasions les concepteurs ne se forcent pas trop les méninges. Souvent, on fait dans la facilité. Budget oblige???

    Je me souviens d’une anecdote lors de mon premier emploi. Un client potentiel avait rencontré mon patron, avec son programme et son budget pour une bâtisse commerciale. Je ne me souviens pas des détails, mais pour rencontrer ses demandes, les estimés préliminaires étaient disons de 200 000$ et son budget de 100 000$. Mon patron tenta de lui expliqué que : soit on coupe dans les demandes, soit on augmente le budget. Le client tenait mordicus à son programme. Ce qu’il fit; il alla consulté un autre architecte qui lui dit: «pas de problème». Il a construit selon son programme original, et déboursé près du 200 000$. Tout ça pour dire que souvent de l’extérieur il nous manque, parfois, des données.

    Aussi touts les goûts sont dans la nature. Certains se rappelleront peut-être les prix Reconnaissance de la Commission d’urbanisme fin des années 90. Le prix du public avait alors été attribué ex-aequo à Ameublement Tanguay, sur l’Ormière et au Laboratoire (?) Eaterna Zentris sur le boulevard du Parc technologique (coin Hamel et Henri IV). Deux bâtiments aux antipodes de l’esthétisme.

    Alors vive la liberté d’expression (et je ne suis pas un X).

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