Zoos de Québec et de Bordeaux: une même réalité, deux solutions
Source: Radio-Canada, 17 février 2006.
Les villes de Québec et de Bordeaux sont jumelées depuis plus de 40 ans en raison de leurs nombreuses similitudes : une population comparable, un campus, des sites du patrimoine mondial. Elles ont aussi toutes deux la particularité d’avoir un jardin zoologique en difficulté.
Le parc zoologique de Bordeaux-Pessac, fondé en 1976, a déjà attiré plus de 100 000 visiteurs par an, mais les installations vieillissantes, la diminution de l’achalandage et les problèmes financiers ont forcé la fermeture du zoo en février 2004.
Il a toutefois été vite repris par un gestionnaire privé, Stéphane Da Cunha, malgré l’absence de mobilisation pour le sauver. (…)
La suite. Voir aussi cet autre billet.
22 février 2006 à 17 h 46
La seule raison pour laquelle on se compare à Bordeaux ne serait-elle pas un certain acharnement d’un ancien Maire à voyager… et aussi cunn certain plaisir à accueillir des bordelais en difficulté?
Et on a pas un zoo, mais une volière. Et aucune, mais alors aucune propension au marketing intelligent. Si on ne met pas la hache dans le zoo, on serait peut-être mieux de changer les dirigeants qui ont accumulé de mauvaises décisions…
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22 février 2006 à 21 h 30
À se comparer, on se console ou on se désole, c’est selon.
« …on serait peut-être mieux de changer les dirigeants qui ont accumulé de mauvaises décisions… »
Déjà insatisfait de la mairesse ? À moins que sous couvert de bonne décision – fermeture – et le semblant d’effort de la mairesse, incapable de jouer son rôle de leader moderne, à savoir rassembler, y a aussi cette inaptitude à faire du « marketing intelligent » ?
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22 février 2006 à 22 h 55
Le zoo? Alors que la majorité l’ont boudé, aujourd’hui on fait front commun pour le sauver? Si le monde voulait tant sa survie, dites moi donc pourquoi ils n’ont pas fait l’effort de le visiter au moins une fois….et pas avec des invitations gratuites ou des journées « porte ouverte ». À Québec on est bien bon dans les causes perdues. Le problème, c’est qu’on attend d’être rendu là pour réagir.
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