Pierre-André Normandin
Le Soleil
(Québec) Les commerçants du secteur Cartier craignant de voir disparaître jusqu’à 350 places de stationnement sur le boulevard René-Lévesque peuvent souffler un peu. Le Réseau de transport de la Capitale repousse à l’an prochain son projet d’améliorer ses voies réservées.
Ses autobus étant souvent pris dans le trafic malgré une chaussée prioritaire, le transporteur cherchait à mettre de l’avant une solution permanente dès l’été 2009. Un mandat avait ainsi été confié à la firme Génivar en octobre 2006 afin de trouver une solution. Le rapport final était attendu en mars dernier.
8 mai 2009 à 09 h 49
Encore des sous de nos taxes dépensés inutilement pour une étude qui a duré trois ans et doit être reprise. La firme Génivar ne doit pas y trouver d’inconvénients …
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8 mai 2009 à 10 h 35
Il faut relativiser les chiffres. Les 350 places de stationnement supprimées sont sur tout le tracé de René-Lévesque, non ?. Combien de places de stationnement se trouve-il entre Bourlamaque et Turnbull sur René-Lévesque?
J’ai tendance, peut-être est-ce une erreur de ma part ayant déjà habité ce quartier, à considérer ces commerces comme des commerces de proximité – où je faisais tous mes achats du quotidien soit dit en passant. Je trouve donc abérrant de priviligier quelles places de stationnement, afin d’ouvrir ces commerces à une plus large clientèle, au rendement d’un service public, la voie la plus achalandée de transport en commun de Québec en plus de ça. Ces commerces se trouvent dans l’un des quartiers les plus densément peuplé et l’un des plus riches de la ville de Québec, ils devraient pouvoir prospérer sans ça, non ?
Je suis persuadé au contraire que supprimer ces places de stationnement permettrait de rendre les abords des commerces plus attrayants et permettraient à davantage de résidants de se réapproprier ces lieux et par conséquent à ces commerces de trouver de nouveaux clients.
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8 mai 2009 à 11 h 01
La voie réservée est pour toute la longueur de René-Lévesque, voilà pourquoi on parle de 350 places.
Le problèeme se rétrécissement de la voie entre Des Érables et Turnbull est un casse-tête insolubre. Il est vrai que certains commerces pour l’hôpital vétérinaire pourrait souffrir d’une plus grande distance entre le stationnement et leur commerce. D’autres commerces ont besoin dÙ,espace de débarcadère. Faut choisir entre la survie de commerces déjà fort réglementés et du transport en commun et des vélos qui veulent emprunter cette voie réservée.
Je vous rappelle que les vélos ne sont pas immatriculés pour circuler sur la voie publique et n’ont aucune assurance-accident…
Je penses que ce dossier fera partie des consultrations du plan Vert-Bleu-Blanc qui s’amorce le mardi 12 mai prochain à Maizerets. N’ayez crainte, j’ai une réunion de la Société Saint-Vincent-de-Paul à la même heure…
J’aurais aimé y être pour ressuciter le dossier du Littoral-est. Lui aussi souffre d’une piste cyclable mal placée contournant deux dépotoirs à neige et ne voyant pas le fleuve car l’autoroute est entre le fleuve et la piste permettant des visiteurs encombrants se montrant la quéquette… C’est vrai c’est à l’ouest que tout se passe…
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8 mai 2009 à 12 h 11
350 place c’est donc un chiffre qui « existe » (si on suppose que c’est sur l’ensemble de René-
Lévesque), mais il est absolument hors propos!
D’une part, il y a bien des endroits où l’emprise est assez large pour des espaces de stationnement ET une voie réservée. Donc ce n’est pas 350 qui partiraient.
D’autre part, est-ce que quelqu’un peut m’expliquer en quoi la disparition possible de cases de stationnement à la hauteur de Marguerite-Bourgeois par exemple peu affecter les commerçants du secteur de la rue Cartier?
Il ne faudrait donc considéré que les quelques dizaines d’espaces dans ce secteur, et non 350! Cela semble plutôt être un chiffre qu’ils vont balancer de temps à autres pour exagérer l’ampleur des conséquences sur leurs commerces d’un quelconque projet.
Par exemple, si on faisait constamment circuler (« spinner » dans le jargon médiatique) le nombre de 31 places (nombre arbitraire, au hasard), personne ne se ralierait à la cause des commerçants tellement cela semblerait insignifiant. Par contre, si les commerçants reviennent constamment avec « 350 », là tout d’un coup, ceux qui ne prennent pas le temps de réfléchir et qui entendent toujours parler de 350 places vont finir par se dire que c’est terrible ce qui risque d’arriver aux commerçants. Évidmment, ce 350 serait, comme dans le cas présent, tout à fait hors-contexte et rien de moins que de la désinformation.
Il y a *continuellement* des commerces qui ouvrent et qui ferment dans ce secteur, et ce ne sont pas quelques espaces de stationnement le long d’une seule artère qui vont faire la différence. Et MÊME SI certains commerces fermaient réellement parce que plusieurs de leurs clients refusaient d’y aller sous prétexte qu’il n’y a plus de stationnement disponible sur René-Lévesque tout près dudit commerce, même si cette absurdité devait se produire, il y aura tout simplement un autre commerce qui comblera les lieux laissés vacants par le précédent, comme ça se fait maintenant pour tout plein d’autres raisons, aussi variées que le nombre de commerces qui ferment et ouvrent.
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8 mai 2009 à 12 h 12
oups… « Il ne faudrait donc considéreR… »
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8 mai 2009 à 14 h 10
Texte paru mercredi le 6 mai dans le Soleil
Un boulevard trop étroit?
À M. Normandin,
La lecture de votre article intitulé « René-Lévesque, le boulevard des miroirs arrachés » démontre qu’il y a manifestement un problème sur le tronçon du boulevard René-Lévesque entre les avenues Turnbull et Des Érables où la largeur du boulevard est réduite.
La difficulté ne vient pas tant des projets de bande cyclable ou des voies réservées aux autobus que du stationnement qui est autorisé sur le côté Nord du boulevard, grugeant pratiquement une voie au boulevard qui en conserve seulement trois et demie. Aussi longtemps que le stationnement restera autorisé à cet endroit, on ne pourra améliorer l’efficacité du transport collectif dans le secteur ou laisser la juste place aux transports actifs comme le vélo.
Ces espaces de stationnement sont-ils si importants pour le quartier et ses commerçants ? Les commerçants de l’espace Cartier affirment sur leur site Web qu’il y a dans le secteur plus de 500 espaces sur rue, avec ou sans parcomètre, et 400 hors-rue qui sont payants. En faisant le décompte des espaces sur René-Lévesque, on réalise qu’il n’y a que trente cases dans le segment le plus étroit, entre Turnbull et Cartier, et 55 sur l’ensemble du tronçon, souvent partiellement inoccupés. Cela ne représente que 6% de l’ensemble des places de stationnement du secteur. Est-ce suffisant pour mettre en péril la survie des commerces si une piste cyclable ou des voies réservées conséquentes éliminaient ces espaces? On peut en douter. À titre d’exemple, le seul stationnement de surface situé sur Salaberry, face au théâtre Périscope, offre plus de 55 espaces, l’équivalent des places sur rue problématiques.
Contrairement à la croyance, les transports collectifs et actifs prennent beaucoup moins d’espace que la voiture. Certains sont réticents à leur accorder plus de place, prétextant que la perte de voies et de stationnements pour l’automobile limiteraient l’accès aux commerces. Pourtant les vélos ne requièrent qu’une mince bande pour circuler et prennent environ vingt fois moins d’espace à stationner. Un autobus remplace quant à lui 40 voitures en prenant l’espace de seulement trois véhicules.
Et si c’était l’automobile qui prenait trop de place et limitait l’accès des citoyens de Québec aux zones achalandées de la Ville ?
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8 mai 2009 à 15 h 46
Tiens !!!, le lobby d’Accès Transports Viables. Au moins ou sait ou vous voius situez. Favorable à privilégier les bus, le tramway et les vélos…
Je vais vous rappeler une phrase du président de TRAQ qui m’a impressionné et qui s’applique au transport en commun.
« On fait souvent référence à l’Europe. Mais eux ont eu deux guerres qui ont tout détruit et ils ont reconstruit autour des rails. »
Le changement de largeur de René Lévesque dans la portion mentionnée existe et ca va prendre une démolition du coté sud pour satisfaire tout le monde et là c’st des frais $$$. Il faut savoir si les vélos ou les autos qui sont les plus prioritaires. Moi je penses qu’il passe plus d’autos que de vélos…
De toute façon tant qu’on ne légalisera pas leur partage de la voie carossable, je ne changerai pas d’idée. Je vous rappelle que les vélos ne sont pas immatriculés pour circuler sur la voie publique et n’ont aucune assurance-accident.
Enfin, il faut savoir si les commercants qui ont leur lobby eux aussi, sont prêt à des compromis et quel est l’impact monétaire en dessous de celui-ci. Exigeront-ils compensation ou simplement l’aménagement d’autres stationnements. C’est tout des coûts. Il faudra savoir enfin qui payera la facture…..
Entre des commerces qui tentent de survivre avec toutes les enfarges et réglements qu’on leur impose, puis un lobby subventionné qui exige tout le temps des autorités gouvernementales. Comme libertarien, j’ai plutôt tendance à laisser le libre commerce tenter de faire prospérer notre ville…
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8 mai 2009 à 17 h 48
Il y a des centaines de milliers de personnes qui empruntent le 800 et le 801 chaque année. Arrêtez de dire que l’efficacité du réseau de transport public n’est que l’affaire d’un petit lobby qui quémande des subventions. Vous êtes de mauvaise foi ou quoi !!!
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8 mai 2009 à 18 h 12
@Fernand
Fernand ne soyez pas si démagogue « tous ces mots à 15 sous et quart » que vous utilisés au coeur de phrases décousue n’impressionne pas grand monde à part vous même!
Quand vous dites que l’Europe c’est rebâtit grace aux chemins de fer vous oublier volontairement de mentionné que le Canada c’est bâtit grace au chemins de fer lui aussi!
Ici on parle de transport en commun du genre BRT et ne vous en déplaise à vous et au lobby des pétrolières l’ère de l’automobile tire à sa fin et la ville est en devoir de préparé des solutions efficace pour sa population en générale et non seulement pour quelques privilégier qui auront encore le privilège de se payez une voiture dans les prochaines décénies! Car les ressouces premières sur la terres et l’asie, l’amérique du sud, l’affrique réclamme eux aussi leur juste part et l’europe l’a constaté bien avant nous les nord américains mais là même les Américains l’ont compris et ils ont déjà en train d’apporté des ajustements et quand les américains réagissent « ils ne lessinent pas ils agissent »!!
Alors un peu de respect de votre part serait apprécier pour tous ces gens qui par choix ou par obligation devrons utilisez les transport en commun et les moyens de transport alternatif!
Mais il y a aussi la problèmatique de l’environnement qui vous échappes totalement que je constate mais sur ce sujets comme pour bien d’autres sujets je constate encore une fois vous êtes complètement déconnecté de la réalité.
Et celà est bien triste mais surtout pour vous même!
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8 mai 2009 à 19 h 28
Gilbert, l’ère de l’automobile ne tire pas à sa fin. Ce qu’on recherche même chez les pétrolièeres, c’est de remplacer une ressource non renouvelable: le pétrole, qui va s’épuiser dans environ 60 ans. Pourtant les sables bitumineux ont une réserve estimée à 250 ans et nous permettent d’être autosuffisants énergétiquement. Actuellement l’exploitation est au ralenti car le seuil de rentabilité n’y est pas à cause du prix du baril en bas de 50$. Il remonte car les pays producteurs de pétrole ont fermé la chantepleure pour faire remonter le prix.
La recherche avance et les innovations telles les hybrides encore trop chères pour l’économie de consommation ont encore des croûtes à manger avant de supplanter la voiture conventionnelle.
Ce qu’on tente de faire est de changer l’esprit des gens pour les amener à utiliser plus de transports collectifs : les autobus du RTC. C’est beau mais pour être attractif il faut qu’on montre une efficacité et un avantage certain de sauver du temps, si précieux qu’on courre après… Le réseau n’est pas efficace actuellement et le plan stratégique de développement cherche à l’améliorer. Penser à une intermodalité coordonnée dans la région prendra plusieurs décennies à se réaliser et plusieurs centaines de millions. Soyez patient, Paris ne s’est pas bâti dans un jour…
Le RTC est loin de la coupe aux lèvres. À mesure qu’il améliore son réseau, il récolte des abonnés un à un. Mais ne rêvez pas que toutes les automobiles auront disparus du même souffle è moins de faire comme Bordeaux, des stationnements souterrains aux terminus d’autobus.(Bordeaux ont fait 2,200 stationnements souterrains aux diverses stations du tramway pour laisser croire que l’auto avait disparu du paysage).
La venue d’internet crée moins un esprit collectif que d’attiser les récriminations individuelles. Dans un siècle de communication, les individus agissent en égoïste face au reste
de la société. Il sont mieux informés et réclament le respect des droits individuels au détriment des droits collectifs.
Quant à l’environnement, mis à part de retourner à l’âge des cavernes ou de vivre comme les autochtones, chaque geste humain a sa part de pollution, même péter exulte du méthane, suer sur un vélo aussi…
Faut avoir un juste milieu en tout car la société qui nous fait vivre disparaîtra et ce ne sera pas les théologiens comme Steven Guilbault qui vont nous faire vivre. L’anticapitalisme est supportée par la gauche, les verts et les altermondialistes. En Europe ils ont même fondé un parti. Voivàci le lien : http://www.npa2009.org/content/d%C3%A9claration-de-l%E2%80%99assembl%C3%A9e-des-mouvements-sociaux-lors-du-forum-social-mondial-2009
Voici comment ils vont résoudre la crise financière actuelle : « Nous ne payerons pas la crise ! Que les riches la paient ! Pour des alternatives anti-impérialistes, anti-capitalistes, féministes, écologistes et socialistes ! » Ouin, on pousse aux autres la facture…
Ces environnementalistes ont attaqué les compagnies forestières et maintenant s’attaquent au secteur minier. On sait combien de chômeurs ont créé leur religion environnementale. Notre ville nous demande de recycler mais les lobbys écolos enlèvent les produits en papier recyclé du marché. Quelle belle logique.
Regardez aujourd’hui la papetière Stadacona qui ferme 4 moulins faute de client. Abitibi-Bowater malgré les $$$ étatiques n’aura pas plus de débouchés pour le papier journal remplacé par l’ordinateur et les blogues. C’est beau l’environnement mais on arrête ou la saignée de l’économie ??? Ça doit être que je fabule et que je ne voit pas rien venir…
Ça sera pas une catastrophe climatique mais bien une catastrophe économique qui nous pend au bout du nez si on ne se réveille pas. L’argent ça pousse pas dans les arbres et on en a besoin pour se nourrir, se vêtir et se chauffer.
Déjà on parlait cette semaine que 124 millions d’habitants de la planète n’étaient plus en mesure de manger à leur faim. Un quart de la population mondiale n’a pas accès à de l’eau potable. Ça vous fait rien en autant que vous pouvez vous promener en vélo sur René-Lévesque…
Le monde courre à sa perte et les gourous des médias les alignent dans cette direction. On vous manipule, un point c’est tout… Les gens ne pensent plus, ils se font dicter leur conduite par l ‘état ou les beaux parleurs…
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8 mai 2009 à 19 h 57
Louis vous charriez. Accès Transport Viables est un organisme subventionné par des fonds publics dont le seul but est de faire la promotion du transport en commun avec du personnel payé à même ces subventions. Cet organisme essaie d’influencer la discussion de façon intéressée. il est juge et partie…
Ce qu’on discute est un tronçon qui est étroit et tout le monde réclame la priorité. Mais à quel prix ???
1) Les commercants qui s’y sont établis méritent d’être respectés et de vivre de leur activité économique. En plus de la taxe foncière, les commerçants payent aussi une taxe d’affaires aussi lourde que l’autre. Ils doivent s’astreindre à une foule de normes gouvernementales dont l’accès aux handicapés à leur commerce, etc…
2) Le RTC souhaite un corridor mais il faut déplacer le stationnement de la clientèle de ces commerces. Quel sera l’impact d’une telle décision sur la survie de certains commerces ? Gilbert en vélo s’en fout. Lui paye rien pour utiliser la voie publique (aucune immatriculation, ni assurance-accident)…
Si j’ai pris l’a phrase sur l’Europe c’est qu’en reconstruisant après les guerres, ils pouvaient planifier des rues suffisamment larges pour acceuillir tous les genres de tranports. Nous on a une situation différente. Nous avons un tronçon que seul une démolition (sûrement pas par la guerre) permettrait à tous d’y trouver son compte. En tout cas, ce problème d’exiguïté de ce tronçon n’a pas fini de susciter des discussions.
Est-ce qu’un compromis est possible en relocalisant le stationnement des clients de ces commerces? C’est pas si simplement que certains le laissent croire surtout quand ils font partie d’un groupe favorisant le transport en commun ou le vélo. Une perte d’achalandage et de revenus est une forte probabilité. Une telle perte mérite t’elle un quelconque dédomagement en toute équité ? Et qu’elle en sera le prix ???
Ne sautons pas trop vite aux conclusions surtout quand le conflit d’intérêt est visible à cent lieux. Comme le prônent les environnementalistes avec le « principe de précaution », soyons sûrs que nous ne créons pas d’autres problèmes en voulant en régler d’autres.
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8 mai 2009 à 22 h 01
Fernand, calme toi les nerfs! C’est épouvantable de voir qu’à ton âge tu es toujours aussi mal élevé et emmerdant. T’as pas appris la bienscéance ou bien c’est les pilules qui te rendre chialeux comme ça? Faudrait vraiment changer ta prescription, car j’ai rarement, de toute ma vie, eu à faire à un personnage aussi désagréable.
Pour UNE FOIS que Accès Transport Viable apportait un argument objectif et valide, ça donnait quoi de taper dessus? Peu importe leur but dans la vie, leurs visées, etc. s’ils mentionnent un fait vérifiable, ça demeure aussi valide que si c’était n’importe qui d’autre qui le disait.
On parle d’enlever quelques dizaines cases de stationnement. On enlèver les parcomètres (qu’on peut réinstaller ailleurs), on ajoute quelques petites pancartes d’interdiction de stationner, et voilà! C’est pas ça qui coûte cher. Et même si c’était pas pour les vélo, au moins la circulation serait plus fluide et plus sécuritaire. Donc, ça améliorerait la circulation automobile pour deux raisons :
Premièrement, il deveitn possible de rouler dans la voie de gauche avec un autobus dans la voie de droite (pour l’instant chaque autobus doit empiéter sur la voie de gauche et prendre la place de trois autos dans la seule voie qu’elles peuvent emprunter). Deuxièmement, le traffic n’est plus gêné par des gens qui tentent de se stationner en bordure du boulevard.
Donc, vélo pas vélo, enlevons les stationnement là où ils sont encombrants. Et laissons faire les quelques commerçants qui disent d’un côté qu’il y a du stationnement à profusion dans leur secteur, et d’un autre, que d’en enlever quelques-uns serait néfaste à leur viabilité.
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9 mai 2009 à 03 h 56
Près de la moitié des commerces sur René-Lévesque sont des restaurants, je ne pense pas que ceux-ci souffriraient vraiment de voir les places de stationnement supprimées. En ce qui concerne les débarcadères, de mon point du vue c’est un argument bien plus valable, il est tout à fait possible que celui-ci est lieu seulement hors des heures de pointe, de préférence tôt le matin (5-6h).
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9 mai 2009 à 07 h 41
petite précision: il y a déjà des voies réservées dans les 2 directions sur René-Lévesque.
Le secteur qui est problématique pour le RTC se situe entre Salaberry et Cartier: la voie réservée n’est pas assez large. Pour offrir la largeur nécessaire, il faudra enlever les +/- 30 cases de stationnement du côté nord de ce secteur, et seulement durant les heures d’opération des voies réservées .
Le fait que des voies réservées avec vélo sont plus larges font que la mise en place de ces voies vélo + bus ont un impact sur le stationnement sur toute la longueur de R Lévesque: les 350 cases mentionnées.
Bonne discussion !
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10 mai 2009 à 02 h 20
@Fernand
Steven Guilbault un anti capitalisme a oui vraiement? Comme à votre habitude vous ne savez pas de quoi vous parlez!
Steven Guilbault est un des cofondateurs d’Équiterre qui se veut justement la solution du juste milieu! Et pour le reste comme il est de votre habitude il ne s’agit que de la désinformation de votre part. Mais ce que semblez ignoré c’est que beaucoup de gens sur ce sitene prennent même plus la peine de lire vos commentaires.
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