Merci à Jean Cazes pour l’information.
Yvon Larose
Au Fil des évènements
Vivre à l’intérieur des remparts
Une étude démontre que, malgré des contraintes évidentes, les résidents du Vieux-Québec aiment leur quartier
Comment les résidents du Vieux-Québec perçoivent-ils leur vie de quartier en 2009? C’est la question à laquelle Israël Dumont et René-Pierre Turmel, deux étudiants de premier cycle en sociologie, ont tenté de répondre durant les sessions d’automne 2008 et d’hiver 2009 dans le cadre du cours Laboratoire de recherche en sociologie. La demande venait du Comité des citoyens du Vieux-Québec. «Une de nos hypothèses, explique Israël Dumont, était que la vie de quartier était vécue différemment selon plusieurs facteurs. Cette hypothèse s’est vérifiée. L’âge, le statut socio-économique et le secteur de résidence jouent sur la perception des résidents. Par exemple, le fait de ne pas avoir de voiture oblige à faire son épicerie dans le quartier, où la nourriture est peu diversifiée et les prix plus élevés qu’ailleurs.»
13 mai 2009 à 09 h 13
Vivre à l’intérieur des remparts … le titre est un peu trompeur, car leur échantillonnage ( très faible d’ailleurs: 9 personnes ) couvre également le secteur Cap Blanc où il y a encore une appartenance historique et le secteur basse-ville/Vieux Port.
Une étude « sociologique » bâclée tant qu’à moi.
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13 mai 2009 à 09 h 18
Je ne dirais pas bâclé mais le terme étude sociologique me semble un peu pompeux dans ce cas. Il s’agit plutôt d’un « sondage maison ». Par contre, les réponses des 9 personnes peuvent quand même être intéressantes.
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13 mai 2009 à 09 h 21
Un échantillonnage de neuf personnnes ainsi qu’une méthodologie douteuse…c’est un peu n’importe quoi.
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13 mai 2009 à 10 h 07
Il serait intéresant d’avoir les commentaires et détails de la part des deux étudiants qui ont fait ce sondage.
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13 mai 2009 à 11 h 27
Ils parlent d’une étude sociologique parce que les méthodes utilisées sont des méthodes de sociologie et elles sont appliquées à un sujet sociologique. Un échantillon de 9 personnes est normal dans ce genre de méthodologie.
Ce genre de méthode est habituellement utilisé en complémentarité avec d’autres méthodes de collecte de l’information, où le nombre de répondants peut être plus grand. Dans un travail scolaire, on ne se rend généralement pas là, surtout au bacc.
Votre souci d’apporter un regard critique sur la rigueur de la démarche méthodologique des études rapportées par la presse vous honore. Aussi, je vous invite, si vous souhaitez pousser la démarche critique plus loin, à consulter les ouvrages qui exposent les différentes méthodes de collecte de l’information en sciences sociales.
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13 mai 2009 à 11 h 36
@ JT
Merci.
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