Québec, le 11 juin 2009 – La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M. Sam Hamad, et le maire de Québec, M. Régis Labeaume, ont dévoilé aujourd’hui le plan d’action quinquennal qui était au cœur des discussions lors de l’événement Québec horizon culture en février dernier, sous la présidence d’honneur de M. Robert Lepage. La ministre a également présenté les membres du comité de suivi qui assurera la mise en œuvre du plan d’action.
11 juin 2009 à 17 h 53
On veut du pain et de la culture. Pis le Québec libre tant qu’à faire!
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11 juin 2009 à 18 h 00
Du pain et des jeux…avec beaucoup de marketing
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11 juin 2009 à 18 h 44
L’espace est ici ouvert à tous ceux qui ne croient pas à la force économique du milieu culturel. La beauté de la chose, c’est qu’en plus de faire rouler la machine à $$$, ça nourrit l’esprit et le coeur… pour ceux que cela intéresse bien entendu. Pour les autres, nous leur souhaitons une équipe de la LNH, comme ça il y en aura pour tout le monde :)
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11 juin 2009 à 19 h 22
Disons que le milieu culturel est un milieu hyper subventionné.
Mais si le ti-peuple désire des dérivatifs pour son vide intérieur,
je n’ai pas de problème avec cela. D’autant plus qu’un ti-peuple
heureux c’est un ti-peuple qui ce tait.
Du pain et des jeux pour le ti-peuple…100% d’accord.
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12 juin 2009 à 15 h 32
Ouais on pourrait dire la même chose pour la MIL Davie. Combien de centaine de millions si ce n’est pas de milliards, de subvention qu’elle à reçu !? depuis ses débuts.
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12 juin 2009 à 18 h 06
Sauf qu’a un moment donné on a fermé le robinet.
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12 juin 2009 à 07 h 12
Mais au delà des propos négatifs de certains, il peut être rentable
d’investir dans la culture, surtout dans un contexte socio-démographique négatif. Par contre l’industrie culturel doit trouver de nouveaux modèles économiques. devant l’effritement des parts de marché des entreprises culturelles, concurrence oblige, de
nombreuses questions ce posent sur le rôle de l’état. Il faut que le
milieux ce nourrissent de différents vecteurs, outre l’état, afin
d’assurer sa survie a long terme. Autrement dit, il faut que le
milieu culturel modifie sa stratégie de financement et trouve une
nouvelle manière d’assurer une certaine rentabilité en cherchant de nouveaux axes de développement.
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12 juin 2009 à 23 h 44
Euh… le Cirquer à St-Roch et le Moulin à Images, ce n’est pas de la nouvelle stratégie ça?
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12 juin 2009 à 09 h 38
La culture ne peut pas être rentable dans un contexte minoritaire, c’est pour cette raison qu’elle est ici subventionnée. Si nous cessons de la soutenir avec des deniers public et laissons opérer les lois du marché (qui, comme on peut le voir ces temps-ci avec l’industrie automobile, ne fonctionnent pas toujours bien elles non plus – et si c’est pas de la grosse subvention ça, qu’est-ce que c’est?), il ne nous restera que la culture rentable, c’est-à-dire américaine.
Disons qu’avec les sommes faramineuses que les gouvernements mettent ces temps-ci dans la tôle, les artistes sont moins gênés d’accepter les grenailles qu’on leur consent.
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12 juin 2009 à 09 h 52
La culture est rentable quand on a un bassin de population suffisant. C’est pour celà qu’il faut sortir du Québec pour est rentable. Demandez à Céline Dion, Luc Plamondon qui ne paye pas une cenne d’impôt au Québec, à André-Philippe Gganon, ils vous le diront…
Plusieurs font carrière en France car là bas il y a 55 millions de frnaçais soit 11 fois plus qu’ici…
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12 juin 2009 à 23 h 53
Pour être exact, il y a 65 millions de Français, 62.5 millions en métropole, plus des centaines de milliers voir des millions de sans-papiers, plus 80 millions d’étrangers qui visitent la France par année.
Méchant plus gros marché que le Québec.
Ce qui fait le charme de la France, c’est non-seulement son patrimoine et sa gastronomie mais le fait qu’il y a plus que 2 villes intéressantes sur le territoire et que l’on évite de construire tout en fonction des chars, en béton et de faire d’interminables boulevards urbains avec des fils électriques et des parkins en face des bâtisses. Bizarement, ce type d’urbanisme n’attire pas beaucoup de riches Éthiopiens qui meurent d’envie de visiter Beauport ou Greenfield Park.
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12 juin 2009 à 13 h 02
« Disons que le milieu culturel est un milieu hyper subventionné.
Mais si le ti-peuple désire des dérivatifs pour son vide intérieur,
je n’ai pas de problème avec cela. D’autant plus qu’un ti-peuple
heureux c’est un ti-peuple qui ce tait… »
Certaines choses ont peu changé depuis les Romains.
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12 juin 2009 à 18 h 56
Vous savez qu’il y a eu de grosses coupures pour les fêtes de quartier? Pourtant, la culture, c’est aussi pour le peuple et ses habitants, pas seulement pour les grosses entreprises culturelles comme les festivals!
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12 juin 2009 à 23 h 54
Même pas de Fête de quartier pour SJB cette année. Shame on you, COMPOP!
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