Source: Pierre Asselin, Le Soleil 30 mai 2006
La région de la Capitale nationale aurait plus de succès auprès des immigrants que l’on croyait. Le taux de rétention serait plus élevé que la moyenne provinciale, a soutenu hier la ministre canadienne de l’Immigration et des Communautés culturelles, Lise Thériault.
La ministre s’adressait aux participants du colloque ConcertAction multisectorielle pour l’intégration et le maintien à l’emploi des immigrants.
Voir autre billet.
« Au risque de vous surprendre, a-t-elle déclaré, les dernières données confirment que le taux de rétention des personnes immigrantes dans la région de la Capitale nationale, admises entre 1995 et 2004 et toujours présentes en 2006, se chiffre à 86 %, soit plus que la moyenne provinciale de 80 %.
Ces chiffres vont à l’encontre de toutes les statistiques connues jusqu’ici sur la capacité de Québec à retenir ses immigrants. Selon Mamadou Diop, agent de développement régional du Comité d’adaptation de la main-d’œuvre (CAMO), la performance de Québec la classerait plutôt au 24e rang parmi les 27 régions métropolitaines de recensement à ce chapitre.
31 mai 2006 à 14 h 07
EH BEN CELA RESTE À PROUVER PARCE QUE…
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31 mai 2006 à 20 h 46
Le reste du Québec? Big Deal! Québec retient plus ses immigrant que Natashquan. Y’a de quoi se péter les bretelles?
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1er juin 2006 à 08 h 21
Ben comment ça, ça reste à prouver ?
Parce que quoi ?
Il y a un chiffre précis, et ça ne suffit pas ?
Quels sont vos arguments ?
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1er juin 2006 à 09 h 31
Mes arguments, c’eest qu’ils comparent le taux de rétention avec le reste d ela province, soit une ville de 2 millions, et 1000 villes de 5 a 45000 habitants.
Qu’ils comparent le taux de rétention de Québec avec des villes de taille plus ou moins semblable: Winnipeg, Halifax, Kitchener, Hamilton.
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1er juin 2006 à 22 h 45
Réponse à Francis Vachon,
moi je crois davantage que la moyenne de 80 % de rétention des immigrants dont provenir de MTL puisque c’est là que la plupart des immigrants se rendent au Québec.
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2 juin 2006 à 00 h 19
Je ne suis pas convaincu que le chiffre de 86% soit valide. Il est bien dit que ce chiffre va à l’encontre de toutes les autres statistiques. Eh bien que l’on m’expose les différence méthodologique de toutes ces études, peut être que l’on pourra réellement en discuter plutôt que de se chipoter des suppositions sur les chiffres.
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21 juin 2006 à 09 h 47
While Canada’s major cities grapple with growing diversity, Quebec City remains unique. Less than 3 per cent of its population is foreign-born, according to the 2001 census, a rate that is virtually unchanged in 40 years.
In Winnipeg, a city of similar size, 16 per cent of the population was born outside Canada (compared with 18 per cent in Montreal and 43 per cent in Toronto).
The Globe and Mail
June 17, 2006
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21 juin 2006 à 12 h 19
Pourquoi alors ? Y a cette petite et grande question à laquelle il faudra répondre…
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5 décembre 2007 à 00 h 03
Câlisse d’hostie de tabarnak, ça va-tu finir un jour cette négativité à tout crin?
Le taux de rétention de la population pour la population en général, il est de combien? Combien de citoyens de la région de Québec en 1994 y étaient encore en 2006? C’est *ça* le seul point de comparaison utile. On s’en contresaintciboirise-tu un peu de ce qui se passe à Winnipeg???
Quand les chiffres ne font pas votre affaire, bandes de chiâleux, vous prétendez que la méthodologie est incorrecte. Parce que tout le monde ici a une maîtrise en démographie analytique et une autre en statistique des populations. Parce que Statistique Canada est reconnue à la grandeur de la planête comme une agence de broche à foin, qui confectionne ses documents pour faire plaisir aux politiciens.
Ah, seigneur…
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