Source: Jacinmon Reid, Québec Hebdo 5 juin 2006
Fidèles à leur dynamisme légendaire, les membres de l’APEL ont procédé dernièrement à une série de travaux autour du lac Saint-Charles visant à protéger de façon intégrale les habitats fauniques de même que les terrains qui ont autrefois souffert de la présence humaine.
«Notre projet visait à redonner un caractère naturel au site», explique le président de l’Association pour la protection de l’environnement du lac Saint-Charles et des Marais du Nord (APEL), François Morneau. Les travaux, qui ont été réalisés en 2005, ont permis notamment de resserrer la protection des terrains ceinturant la baie Charles-Talbot et de reconstituer des habitats fauniques ayant été détruits ou modifiés par la présence humaine.
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6 juin 2006 à 11 h 30
C’est un fait que bon nombre d’humain on un impact non négligable au niveau de l’écologie.
Je me souviens, de mon voyage en Gaspésie, et bien content de respirer l’air de la mer, je baisse le regards et qu’est ce que je vois ?
Devinez… Bouteille de bière, sac de chips et bien d’autres choses…
Disons quelque peu découragé de l’insouciance et de l’inconscience des gens…
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20 février 2007 à 10 h 31
ses beau
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