Lise Fournier
Le Soleil
(Québec) On s’exclame devant la beauté de la promenade Samuel-De Champlain, devant le jardin Saint-Roch ou le parc régional des Chutes-de-la-Chaudière! Mais pourquoi ces endroits nous charment-ils autant? Le plus souvent, on dit qu’ils sont beaux, verts, reposants, inspirants. Pour plusieurs, c’est comme si le paysage dévoilait sa vraie nature. (…) André Nadeau a terminé ses études au début des années 80. Quelques années plus tard, il fondait avec d’autres OPTION aménagement qui loge rue Saint-Vallier, à Québec. Pour lui, l’architecture du paysage consiste à mettre en valeur des environnements que les gens auront du plaisir à regarder et à fréquenter parce qu’ils y trouveront des repères visuels, historiques, arboricoles, fauniques et même aromatiques.
15 août 2009 à 10 h 39
Encore fait-il mettre cette charmante théorie en pratique.
Moi ce que je constate, quand arrive le choix entre un stationnement
ou un aménagement arboricole, cette dernière option est vite
oublié. Ex de dégradation absolu sur « les beaux paysages »: Les
plaines ou ce tiennent les spectacles du festival d’été, il suffit
de s’installer sur le promontoire de la citadelle pour voir devant un paysage lunaire sur la garnotte. De là a dire que le festival est
anti-écologique, inadapté au nouvelles exigences du 21ème
siècle, disons que c’est un pas que j’ose franchir.
En fait à Québec, nous avons de très belle place…entouré de
champs de ruines: Ex, le parc Maizeret, très beau parc et a 500
mètres a côté…d’Estimauville.
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