Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


En parlant de civisme

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 août 2009 11 commentaires

Promenade Samuel-De Champlain Promenade Samuel-De Champlain

La promenade Samuel-De Champlain. Quel endroit extraordinaire! Malheureusement, il arrive que certaines personnes oublient ce qu’est le civisme. Évidemment, nous avons mis à la poubelle, à quelques secondes de marche, les « souvenirs » du passage de ces citoyens peu respectueux de la majesté de l’endroit.

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge.


11 commentaires

  1. Pier Luc

    16 août 2009 à 15 h 44

    Sur le pont du Boulevard Robert-Bourassa qui enjambe la rivière Saint-Charles il y a des imbéciles qui garochent des détritus de rénovation par dessus la rambarde. Comme si les petits poste d’observation que la Ville a emménagé sur le pont c’était fait pour balancer nos poubelles.

    Je ne comprend pas le trouble que le monde se donne pour amener ça là alors qu’ils pourraient le laisser chez eux et appeler la ville pour qu’elle envoie un camion spécial les ramasser.

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    • Louis VI

      16 août 2009 à 19 h 35

      Il y a des gens limités a qui il ne faut pas trop en demander…dit toi que c’est probablement des gens qui habitent pas trop loin du délit…

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  2. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    16 août 2009 à 20 h 31

    C’est un manque de civisme flagrant. Pour que les gens en prennent conscience, il faut se demander ceci: « Si c’était moi qui revenait ici est-ce que je serais heureux de voir de tels détritus goncher le sol ?  »

    Je me pose à chaque fois cette question et je ramasse mes affaires pour laisser la place dans le même état que je l’ai pris. C’est du civisme et on me l’a appris dans les cours de bienséance à l’école comme le salut au drapeau du Québec tous les vendredis de la période scolaire où le directeur nous réunissait dans la grande salle pour ça et donner ses directives de la semaine.

    J’ai même un sac de plastique que j’accroche aprèes ma poignés de ceinture de sécurité pour ramasser mes déchets ( Kleenex, papiers, etc… ) et quand il est plein alors je le vide dans mon bac.

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  3. Pier Luc

    16 août 2009 à 21 h 42

    Ces cours là ça n’existe plus. Moi j’ai fais l’élémentaire à la fin de cette époque. On avait des cours de pastorale, de chants (des chansons complètement nulles…) et on avait des règles assez stricte sur nôtre tenu. Des règles qui ont prit le bord dans les dernières années de mon élémentaire. Aujourd’hui ils mettent bien trop l’accent sur les « connaissances transversales ». Ils nous montrent tellement d’affaires qu’on se noie dans toutes les données qu’on reçoit. À côté de ça, le civisme à complètement pris le bord. Finis l’uniforme scolaire qui était démodé mais qui avait l’avantage de nous faire respecter l’institution, finis les cours de chansons poche qui nous obligeaient à former un groupe. Finis l’époque où on avait juste la morale catholique à apprendre mais où on arrivait à comprendre quelque chose.

    Je ne veux pas que le gouvernement revienne en arrière. Mais, il faudrait vraiment qu’il fasse quelque chose pour que la société se tienne. Qu’elle aie une fierté…

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    • Manu

      16 août 2009 à 23 h 19

      Il y a matière à discussion intéressante là-dedans, mais je doute que ce soit relié au problème de manque de civisme. À ce que je sache, ce n’est pas d’hier que les rivières servent de dépotoir pour certains. C’est un peu comme tenter d’expliquer qu’il y a moins de gens en état d’ébriété aujourd’hui sur les routes qu’il y a 40 ans en fonction du programme éducatif au primaire (dans ce cas, il serait mieux qu’avant)

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    • heron23

      17 août 2009 à 22 h 06

      Ce n’est pas au gouvernement ou aux écoles à faire quoi que ce soit pour que les gens fassent preuve d’un peu plus de « civisme ».

      Le respect ne s’enseigne pas dans les écoles. S’il faut absolument trouver des coupables, remontons un cran plus haut dans ce que les parents permettent à leurs enfants. Ou ce que les parents font eux-mêmes.

      L’ère du « laisser-faire » commence à la maison.

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      • fernand Utilisateur de Québec Urbain

        18 août 2009 à 12 h 27

        Voilà, le civisme s’apprend d’abord à la maison. Mais même si les parents ont abandonné leurs devoirs d’éducation, l’école ne prend pas la relève. Un enseignant enseigne des connaissances et ne’éduque pas les enfants.

        De mon temps les parents éduquaient et l »école les appuyait avec des cours de bienséance. Nous on a appris qu’on est responsable de nos actes, plus les enfants rois qui peuvent tout se permettre.

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  4. Manu

    16 août 2009 à 23 h 27

    J’ai du mal à comprendre ce qui peut se passer dans la tête des gens qui font cela… Mettons de côté les cas peu probables, comme celui ou le groupe qui pique-niquait paisiblement s’est subitement sauvé d’un soudain agresseur.

    Il reste quoi… de l’ignorance (peut-on réellement ignorer qu’on doive jeter nos déchets?), de la malveillance (faire un mauvais coup, peut-être pour se prouver quelque chose), ou un royal je-m’en-foutisme?

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  5. Carol

    17 août 2009 à 10 h 49

    « Mais, il faudrait vraiment qu’il fasse quelque chose pour que la société se tienne. Qu’elle aie une fierté… »

    Ce n’est pas au gouverne-ment de le faire, c’est à chacun de se prendre en main !

    « je-m’en-foutisme? »

    … inconscience, indifférence et autres mots qui se ressemble !

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  6. Anonyme

    17 août 2009 à 11 h 10

    On dirait que les citoyens sont de plus en plus indifférents à leur environnement. Prenez l’exemple du parc de la Montagne-des-Roches, dans l’arrondissement Charlesbourg. C’est superbement aménagé, et idéal pour les familles qui veulent profiter d’un petit ilot de nature.

    Depuis quelque temps, les pompiers doivent s’y rendre régulièrement pour éteindre des feux allumés par les quelques tarés qui y font la fête la nuit.

    Près du petit belvédère qui surplombe le boulevard Loiret, les bouteilles de bière brisées, condoms, et autres détritus s’y accumulent.

    Il y a une limite à ce que la ville peut faire pour maintenir le bon état des lieux. C’est navrant de constater à quel point une bonne partie de nos concitoyens sont de simples abrutis.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      17 août 2009 à 14 h 32

      En passant, ce qui nous a également surpris, c’est l’indifférence des nombreux citoyens qui circulaient. Personne osait prendre l’initiative de « nettoyer » l’endroit. La promenade Samuel-De Champlain est une réussite totale et remarquable quant à son adoption comme parc par les gens de Québec et des alentours. Tant mieux. Avec l’accès maintenant fort facile au fleuve, directement, les pieds dans l’eau, je souhaiterais simplement que les gens s’improvisent, face à de tels gestes, protecteurs de cet espace unique au monde. M’enfin… comme on dit. On verra :)
      Pourquoi ne pas créer un organisme de bénévoles « Les Ami(e)s de la Promenade Samuel-De Champlain » qui verraient à poser ces petits gestes et à renseigner les passants sur les Stations des Quais, la Station des Cageux, l’histoire de Québec à cet endroit ?

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