Source: Michel Bédard Québec Hebdo, 13 juin 2006
Si le gouvernement ne revoit pas son système de réglementation du prix de la bière, seuls les dépanneurs en affaires depuis de nombreuses années qui n’ont pas de dettes et sont capables de supporter un gros inventaire survivront».
C’est l’avis d’un commerçant de Beauport qui désire conserver l’anonymat sur le dossier chaud du prix minimum de la bière, fixé annuellement par la Régie des alcools, des courses et des jeux (RACJ), qui serait trop bas et placerait de nombreux dépanneurs face à des fermetures et des faillites n’étant plus capables de compétitionner avec les grandes surfaces.