C’est exactement ce que je me suis dit en lisant l’article. C’est pas des plaques que ca prend, mais de flics qui donnent des tickets. Quand même vous aurez une plaque, si le flics sont en grève….
Juste une question, Fernand: utilisez-vous le vélo de temps à autre pour vos déplacements quotidiens, ou simplement pour vous détendre? Moi, oui! Et même s’il m’arrive d’être distrait, je me considère à ce chapitre comme un citoyen RESPONSABLE, car je ne suis pas esclave du bazou. L’impact au plan environnemental et social de mon mode de transport est infime. De plus, c’est bon pour mon coeur, ma santé, et mon moral!
À écouter la logique de certains réactionnaires, il faudrait aussi imposer la plaque aux piétons, en ville!!
Sur un point, on sera d’accord: il faut sévir par des amendes salées contre les VRAIS irresponsables en vélo. Lesquels? Par exemple, les « totos à calottes » qui empruntent les trottoirs et d’autres qui se baladent « mains libres », l’une avec le foutu et détestable « téléphone à poche » collé à l’oreille (scène vue récemment sur la 18e Rue)!!
PS: En vivant dans les quartiers centraux, grâce au « cocktail-covoiturage-autobus-vélo-marche » (mon lieu de travail est à 6,5 km de chez moi, et je le fais 2 à 3 fois par semaine à pied), il m’en coûte moins de 250$ de frais de déplacement à l’année, en ville. Je suis fier de vous partager cette forme de simplicité volontaire, et je souhaite d’autres témoignages du genre sur Québec Urbain de la part d’autres « barbus socialistes »! ;-)
Moi je trouve ca triste… si le 250$ est vrai. Cela veux dire que Jean ne sort pas beaucoup de son coin.
Il ne dois pas souvent aller à Montreal, à Charlevoix, à Gatineau, à Gaspé, il ne peux pas sortir de chez lui, aller dans les parc nationaux, partir à l’aventure en dehors des possibilité du vélo. il ne doit pas aller au mont Mégantic pour voir le ciel étoilé.
Il ne dois pas avoir souvent besoin d’un taxi dans l’année pour respecter le 250$ annuel, donc il n’a surement pas beaucoup de possessions matériel ce qui respecte sa simplicité volontaire et son esprit libre. Mais ca doit être plate pareil d’être TOUJOURS dépendant des autres pour le transport qui nécessite plus de 2 roues.
Il ne dois pas avoir de famille à aller visiter en dehors de Québec. Et il ne dois pas aller souvent dans les commerces ou restaurants de la ville qui ne se trouve pas proche des lignes de metrobus. Le pire c’est pour le cinéma, être obligé d’aller au cinéma sur Charest :-(
Malheureusement je comprends mieux pourquoi il a déjà utilisé le terme « champs de patate » pour décrire l’autre côté des ponts et la rive-sud immédiate de Québec ( L’établissement de la Boîte à science dans le Parc des Chutes-de-la-Chaudière à Charny ).
C’est un choix de vie qui se respecte, mais moi je trouve ca triste.
Matrix, on peut faire un bon bout de chemin – et même sortir de la ville – sans avoir sa propre auto….
-Co-voiturage
-Allo-stop
-Voiture de location
-Autobus
Même si je sors de la ville à tous les mois, en utilisant judicieusement ces moyens de transport ca revient quand même moins cher que toutes les dépenses liées à un véhicule. Pour un aller-retour Montréal/Chicoutimi/Sherbrooke/etc, le co-voiturage/allo-stop revient à ~20-30$ alors que l’autobus c’est 60$. En faisait une moyenne, un aller-retour par mois à Montréal revient à environ 45$. Pour les endroits plus creux (pas desservis par autobus/allo-stop – genre parc national), on peut essayer de s’organiser à plusieurs ou pour une petite escapade en couple, louer une voiture.
Le seul avantage à posséder une auto est la « liberté », mais avec un peu d’organisation ca revient pas mal au même. Et les milliers de dollars que j’économise par année en ayant pas d’auto me pemettent de voyager (min 2 voyages en avion par an) et justement de sortir un peu de la ville… donc pas besoin de pleurer sur mon sort :)
J’ai… volontairement précisé « en ville »! Et non, ma vie est loin d’être « platte », et il m’arrive souvent d’aller en région… grâce entre autres à ces économies! ;-)
Cela dit, je ne cherche nullement à imposer mes choix de valeurs, de forcer tout le monde à vivre dans Limoilou, un quartier qui en passant déborde d’enfants manifestant une grande joie de vivre et qui sont loin d’être des délinquants en puissance parce qu’ils sont élevés dans les quartiers centraux!
Je reconnais par ailleurs posséder un grand privilège: celui d’être en forme au point de déborder de joie à l’idée de marcher, « kodak » à la main, 8 km quand il fait beau comme en cette journée de congé!
Alors, on repassera pour « la vie est triste »…
Donnez-moi enfin la permission de faire cette petite publicité pour MonLimoilou:
Jean…. vous aller en région en autobus j’espère !! Vous n’êtes pas un de ces pollueurs irresponsable qui utilisent leur libârté personnelle pour faire des caprices égocentrique sans se soucier des impacts sur la planète entière !!
PS : j’avais vu la nuance du « en ville » mais je voulais vous faire réagir ;)
Pire encore, en plus d’être irresponsable , tu es aussi un « maudit pollueurs » , toujours à cause de cette même voiture. (ce qu’on a pu lire dans les commentaires d’un billet récent)
Vous savez, Matrix, je partage votre tristesse pour M. Jean Cazes. Mais pas pour les mêmes raisons. Vous êtes triste parce que Jean n’a pas de voiture. Serait-elle devenue aussi naturelle que la respiration?
Moi je suis triste parce que Jean ne peut pas sortir facilement de Québec; le tout-à-l’auto lui fait payer très chèrement son audace.
Soit que le service est inexistant (ce qui est le cas généralement), soit qu’il est exhorbitant. Si malgré tout, il persiste et utilise son vélo, il doit le faire souvent au péril de sa vie.
Pourquoi ne pas s’inspirer des pays scandinaves? La voiture individuelle a toujours sa place, mais pas TOUTE la place. Les parcs nationaux y sont facilement accessibles en transport en commun. Naturellement, le service est bon marché, fréquent et facilement accessible. Question de «civilisation».
Charles,
je suis un des partisans d’un transport en commun mieux développé dans une ville mieux développé qui n’est pas conçu autour de l’auto.
Je suis totalement d’accord avec votre concept seulement il faut respecter le libre choix de chaque individu.
Je suis seulement contre cette attitude hautaine et l’acharnement répété ici pour démoniser un groupe de gens majoritaire qui font un choix qui leur convient le mieux.
Je dis plutôt : trouver des incitatifs et favoriser les changements, trouver un moyen de rendre les changements attrayants, ET TRES IMPORTANT trouver un moyen pour que les individus puissent y trouver leur compte. Le monde a toujours fonctionné ainsi et c’est pas prêt de changer.
Si peu de gens utilise le transport en commun c’est qu’il y a une raison !
C’est pas par des reproches, les stigmatiser et utiliser la cause écologique comme étant la nouvelle religion, que vous aller changer les choses.
Matrix, tout à fait d’accord. C’est pas par la « contrainte » que les gens vont laisser l’auto à la maison mais par « l’incitation positive ». Mais pour ca les moyens sont plutôt absent. Mauvais transport en commun en banlieue et absence totale de tel transport en campagne. Des problèmes a corriger.
Effectivement si le transport en commun est sous-utilisé c’est qu’il y a une raison. En fait à l’heure de pointe, il ne suffit simplement pas à la demande alors que bien des gens n’attendent que l’amélioration de l’offre de service pour sauter à leur tour dans le bus. Hors-pointe, le service est tellement pourri dans 90% de la ville que juste les gens mal pris s’en servent. Cette tendance pourrait aussi être renversée, surtout que pour cela, le matériel roulant dort au garage et s’agit juste de $$$ pour payer des chauffeurs pour les conduire. Les gens croint à tort que si un bus roule aux 30 minutes avec seulement 20 personnes à bord, que si on le met aux 15 minutes il n’y aura plus que 10 personnes par bus. Ils ont rien compris!
Par contre il faut être réaliste, même avec un super-bon transport en commun qui desservirait chaque quartier et chaque village de campagne, il resterait toujours des besoins spécifiaux justifiant l’usage d’automobile. La preuve c’est qu’il y a encore des autos en Europe…
Ce que je remarque actuellement c’est des changements dans la société qui font augmenter ces « cas spéciaux », comme par exemple les couples séparés qui demeurent à chaque bout de la ville et doivent aller y porter les enfants tous les jours (navettage en 3 points) ainsi que les parents qui choisissent l’école de leur flots plutôt que l’école la plus proche comme autrefois (un autre cas de navettage en 3 points). Quand on croise ces deux cas avec plusieurs enfants allant à plusieurs écoles et provenant de familles reconstituées, on en vient à des « vies de fous » avec des déplacements en 4,5,6… points.
Hum ! le jour que tu aura des commentaires et opinions constructif je crois que je sortirais la bouteille de champagne pour fêter cela (je fais référence en rapport aux commentaires face aux autres) ;-)
Moi je trouve, que oui il y a peu-être un problème avec certain cyclistes qui adoptent un comportement dangereux, mais de la a encore imposer une loi et des réglementation pour régler le problème je ne suis pas d’accord. Un devrais s’asser sur la prévention et peut-être esseyer de cibler les « trouble maker » au lieu d’infliger plus de règle a tout le monde qui y sont pour rien. Moi je fais du bmx ce n’est pas pour aller au travail c’est simplement un sport. Je fais des trucs casses coût, mais je me sert de ma tête, j’essaie pas de faire peure au piétons ou de couper des voitures ou peu importe. J’ai pas envie de me faire arreter à cause de quel que uns qui ne savent pas réfléchir. Top souvent la masse se voi infliger des règle pour des mineurité et ce au nom de la sécurité plus souvent qu’autrement et ce au prix de la liberté
Moi je que j’adore dans cette lettre d’opinion, c’est la phrase finale suggérant de cesser l’aménagement de nouvelles pistes cyclables et la destruction de celles existantes.
Je n’ai rien demandé mais je vous ai informé et je n’avait pas l’intention d’intervenir. Maintenant que je suis dans le panier de crabe et que vous me forcez ma main, je vais donner ma version. Comme Labeaume je suis capable de parler franc et me tenir debout et sans suivre le courant que certains veulent nous imposer. Même Martin Pouliot du FM93 a fait une émission sur le sujet cette semaine : Devrait-on immatriculer les vélos ? Je ne suis pas intervenu mais j’ai écouté. Allez voir les interventions sur leur site…
Oui Jean, j’utilise le vélo pour me détendre et j’utilise ma voiture pour me rendre à la piste cyclable avec mon vélo dans le coffre. Lorsque j’utiliserai le vélo comme un moyen de transport, j’aurai une plaque et je paierai une assurance-accident. Je suis un citoyen qui assume ses responsabilité pas seulement un homme prudent.
On veut plaquer les voitures électriques pour les handicapés selon un récent jugement de la cour. La SAAQ indemnise autant un cycliste qu’un automobiliste, qu’un motocycliste, qu’un motoneigiste, qu’un handicapé en voiture électrique, etc… Seul le cycliste ne paiera aucune assurance et aucun droit d’immatriculation après qu’on obligera les handicapés à s’immatriculer et payer une assurance accident de la SAAQ… Pourquoi il devrait avoir une exception pour les vélos ???
Pourquoi un motoneigiste ou un conducteur de VTT doit licencer et payer une assurance à la SAAQ alors qu’il n’a même pas droit de circuler sur la route sauf de la traverser seulement ? Est-ce parce qu’il y a eu des accidents et que l’opinion publique a fait pression qu’ils sont plaqués ? Les cyclistes n’ont pas d’accidents eux ??? C’est vrai c’est la faute aux méchants automobilistes. C’est l’art de rejeter sa responsabilité sur les autres…
Il existe certaines pistes cyclables qui exigent un droit de passage pour payer les aménagements et la surveillance, est-ce un crime. Il y a des services semblables sur le réseau de la ville et tout est gratuit. Pourquoi on ne ferai pas payer les améliorations que nos accrocs aux subventions réclament à grand cri, 40 millions ça pousse pas dans les arbres du boisé Neilson. Accès Transport Viables n’a t’il pas comme principal revenu une subvention du RTC et comme revenus secondaires des subventions du Ministèeres de l’Environnement ???
Vélo-sécur c’est subventionné par la Ville à ce que je sache et ça surveille le réseau… Personne ne remets ces acquis en question, même moi. Je parles de justice fiscale…
Jean Cazes a choisi de vivre de la générosité des autres en tout simplicité volontaire, est-ce responsable ? Si tout le monde faisait de même, il n’y aurait plus personne pour payer la facture et tout le monde vivrait au dépend de tout le monde ??? Passez au suivant…
Le gouvernement qu’il soit municipal, provincial et fédéral ne distribue que ce qu’il perçoit après avoir pris une partie importante pour payer l’administration publique que ça prend pour gérer tous ces programmes subventionnés qui parfois se dédoublent ou se contredisent. C’est typique, on réclame mais pour la facture c’est le voisin qui paye. Est-ce responsable économiquement d’être riche avec le porte-feuilles des autres ???
Où est le principe de l’utilisateur payeur pour le vélo qu’on applique à satiété aux automobilistes. Le méchant capitaliste qui prend son auto est rendu à payer de la taxe sur la taxe…
Un automobiliste paye sa part pour le transport en commun sur son permis de conduire pour se faire taper sur la tête avec des campagnes agressives et subventionnées pour l’empêcher de circuler librement après avoir payé la facture. Vous savez aussi qu’une partie des taxes sur l’essence perçue par le Québec sert à subventionner le transport en commun. Le 65 millions pour le garage des autobus articulés provient des revenus de taxes sur l’essence. L’automobiliste est baisé aller-retour.
Vous savez sur un litre d’essence combien il y a de taxes ? Plus de la moitié du prix de l’essence et nos écolos en ont rajouté une autre, la taxe Béchard sur le carbone, (0,02$ du litre) qui permet aux OSBL subventionnés de vivre è nos dépend pour nous faire la leçon de vie verte (300 millions par année). Naturellement , Jean l’adepte de la simplicité volontaire, ne paye rien de tout ça mais veut que j’en paye davantage pour qu’il soit heureux…
À ce que je sache simplicité est assorti du mot VOLONTAIRE pourquoi vouloir m’obliger alors à adopter ce mode de vie en m’affublant de règles, de normes et de taxes de plus en plus lourdes ??? ICI ON NIVÈLE PAR LE BAS…
fernand a dit:
« La SAAQ indemnise autant un cycliste qu’un automobiliste, qu’un motocycliste, qu’un motoneigiste, qu’un handicapé en voiture électrique, etc… Seul le cycliste ne paiera aucune assurance et aucun droit d’immatriculation après qu’on obligera les handicapés à s’immatriculer et payer une assurance accident de la SAAQ… Pourquoi il devrait avoir une exception pour les vélos ??? »
À ce que je sache, les piétons non plus ne paient pas un sou à la SAAQ et ils sont indemnisés en cas de dommages corporels. Suivant votre logique, on devrait aussi immatriculer les piétons?
Il est évident que cet article a été écrit par un provocateur en mal d’attention. Cela me rappelle le combat de certains fumeurs qui s’abrogeaient des droits il n’y a pas si longtemps. Un retour en arrière sur cette question est aujourd’hui impensable.
Cet individu part du principe que les cyclistes et les piétons sont les intrus sur la rue; or, c’est exactement l’inverse. Un véhicule de deux,trois tonnes passant à 70 km/h n’est pas autre chose qu’une agression journalière à laquelle nous nous serions habituée.
À titre d’abonné BIXI (j’habite Montréal la semaine) et d’utilisateur régulier de pistes cyclables, je vous assure que les automobilistes font penser à des poules sans têtes. Je ne cesse de remercier l’administration municipale pour cette heureuse initiative. Le concept BIXI est d’ailleurs en train de s’exporter dans d’autres métropoles, dont Boston et Londres.
Je trouve moi aussi le Bixi une très bonne initative et me demande ce qu’attend Labeaume pour copier Montréal là-dessus. Mais c’est pas ca qui va éliminer les autos, même si c’est un très bon exemple « d’incitation positive » pour certains types de déplacements.
Pour revenir au sujet, et sans égard à la plupart des commentaires ci-haut. je dirais, dans la même veine qu’un commentaire de julien, que tout cela ne sert à rien si on ne met pas en place des mesures pour faire respecter la loi.
Tout ce qui est dit dans l’article n’est pas une question de plaque, mais plutôt de faire respecter la loi. Il y a des gens qui se sont SOUVENT fait condamner pour conduite (automobile) avec facultées affaiblies (par l’alcool). Ils ont une plaque et ce n’est pas ça qui les empêchent d’être de dangereux criminels. Pire encore, après quelques condamnation, ils n’ont souvent plus de permis ni de droit de conduire, mais le font quand même… plusieurs fois! Alors un permis, des cours, etc. ce n’est pas ce qui empêche d’enfreindre la loi.
Faisons plutôt le contraire… plutôt que d’ajouter des conditions pour se conformer à la loi, faisons plutôt respecter les lois qu’on a! trouvons des policiers en forme (je sais à part les recrues, c’est passablement dur à trouver… ce serait un autre problème à régler) qui pourront patrouiller à vélo (comme ça se fait déjà dans certaines villes) et donner des billets d’infractions aux contrevenants. Encore plus simple : un patrouilleur reste grassement assis dans sa voiture pour surveiller une intersection souvent fréquentée par des cycliste, et un autre un peu plus loin, se tient debout en bordure de la piste cyclable pour les arrêter… c’est pas compliqué il me semble.
Les lois existent DÉJÀ! Si on n’est pas capable de les faire respecter aujourd’hui (à en juger par les statistique dans cet « article ») alors pourquoi s’imaginer qu’on pourra le faire demain avec une plaque?
Remarquez que le discours auto-vélo se transpose tout aussi bien dans le cas vélo-piéton.
Les bicyclettes électriques pourraient être des bonnes solutions pour les patrouilleurs à bicyclettes. Au pire si un petit jeune se tire, le flic peut toujours appeler ses chums en auto… C’est déjà ca qu’ils font avec les motos et les ferraris qui se sauvent. De plus il arrive de plus en plus souvent des accidents de bicycles dans les piste cyclables dans des endroits parfois assez isolés. Alors qu’un flic/secouriste soit capable d’intervenir rapidement avec un moyen motorisé n’est pas un luxe.
Un cycliste qui brûle un feu rouge ne risque que sa propre vie. Un automobiliste qui tourne à droite sur un feu protégé de piéton sans ralentir (intersection Charest/Monseigneur-Gauvrau entre autres) est pas mal plus dangereux.
Il n’y a pas vraiment de comparaison possible entre le niveau de dangerosité entre les vélos et auto. Mais il y en a, tout de même, qui méritent des baffes, si le gros bon sens s’impose c’est tout de même le code de la route qui fait loi dans la rue.
On pourrait aussi parler des piétons. Je pense, personnellement, que le problème est a tous les niveaux, du piéton aux camions et qu’une licence ne changera absolument rien, a moins d’avoir un système carrément répressif.
Nos policiers, en bon fonctionnaires, iront toujours vers la facilité: constats d’infraction aux piétons et vélos, les voitures ça demande plus d’efforts.
Je suis cycliste et piéton, je n’ai pas de voiture et n’ai pas de permis de conduire et ma vie est parfois en danger tant a pied qu’en vélo.
Avant de tirer sur les vélos il y aurait peut-être un petit ménage à faire chez les motorisés et c’est pas une question d’écologie ici mais de sécurité.
On s’entend que 2 tonnes vs 80 kilos c’est comme un train vs une auto.
En effet, on ne cesse d’entendre aux nouvelles des histoires du genre: «Un autre cycliste a happé mortellement un automobiliste ce matin. Après les faits, il aurait pris la fuite et a été épinglé quelques minutes plus tard grâce à des traces de peinture sur son guidon…»
Ce qui serait utile, ce serait de pouvoir déterminer si le cycliste en est à sa 3e ou 4e… ou 20e offense au code de la route. Les pénalités devrait être plus forte contre les récédivistes, mais l’imatriculation permetterait difficilement cela, surtout quand on emprunte le vélo d’un autre.
L’assurance obligatoire pourquoi? Normalement quand un vélo frappe accroche une voiture, le vélo est pas mal plus brisé que la voiture. Même que ça peut être le seul brisé. À moins que la voiture frappe le vélo. Mais dans ce cas, c’est la faute de l’automobiliste.
Détruire les pistes-cyclables… que je déteste ces gens qui se braquent contre le progrès!
Quand aux cyclistes qui roulent dans la rue, c’est normal. C’est là que doivent rouler les cyclistes quand il n’y a pas de piste cyclable ou que celle en place sont inutilisable (ça arrive). Et puis, normalement un cycliste est prioritaire. Cependant, les automobilistes s’en foutent et le cycliste comme le piéton doit foncer dans le tas pour traverser la rue. À moins de rouler en plein milieu et de suivre le trafic. Mais ça, ça peut être un peu suicidaire…
Que les vélos roulent dans la rue, ça ne me dérange pas…
sauf lorsqu’il y a une belle piste cyclable sur le côté de la rue ou à quelques pas.
Ça m’arrive souvent de voir des cyclistes sur Prince-Édouard faire des manoeuvres dangereuses au croisement de Laurentien et Prince-Édouard. Je pense que ces gens feraient mieux de prendre la belle piste cyclable le long de la rivière beaucoup plus sécuritaire et qui évite les intersections.
Les ginos à cuissards dédaignent les piste cyclables entres autres parce que leurs petits pneus s’enfoncent dans le gravier. C’est leur problème à eux s’ils utilisent des bicycles concus pour tourner en rond dans un vélodrome plutôt qu’un véhicule construit pour les déplacements en campagne. Est-ce que vous faites du patin dans des pistes de ski de fond, vous autres, c’est à peu près pareille.
Ils veulent faire du « sport » et de la « vitesse » sur une infrastructure qui n’est pas faite pour cela, un peu comme certains malades de la vitesse dégourdissent leurs bolides sur les routes publiques plutôt que les autodromes conçus pour cela.
Selon le code de la route un vélo a le droit de circuler sur la route en l’abscence de piste cyclable. Les cyclistes qui roulent dnas la rue quand une piste cyclable est présente mérite aucun respect
En effet, article 492 du Code de la sécurité routière :
492. Lorsque le chemin public comporte une voie
cyclable, le conducteur d’une bicyclette, autre
qu’une bicyclette assistée, doit l’emprunter.
Toutefois, absolument rien n’oblige un cycliste à changer de rue s’il y a une piste cyclable dans la « rue d’à côté ». Il s’agit de deux voies pubiques distinctes.
J’hallucine! Une autre taxe déguisée. Quand je pense que mon bike m’a coûté 150$ Non mais, ça va être quoi ensuite, un cours de conduite obligatoire avec permis? Sans oublier les hausses de coûts pour le système administratif, on nage en plein délire. Que fait-on des rollerbladers et joggers? Si ça passe, je déménage à campagne, travaille avec les Mexicains dans les champs de fraises et relaxe l’hiver sur le chômage avec un peu de job au noir. Pi pas toujours de besoin de pistes cyclables pour circuler, ya le bord de la rue et le trottoir lorsque des chars stationnés, tant que tu ne pédales pas en fou, jamais eu de contraventions. À croire que nous sommes une gang de touristes.
24 septembre 2009 à 23 h 04
Les automobilistes ont une plaque et ça ne les rends pas plus civilisés sur la route.
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25 septembre 2009 à 13 h 44
C’est exactement ce que je me suis dit en lisant l’article. C’est pas des plaques que ca prend, mais de flics qui donnent des tickets. Quand même vous aurez une plaque, si le flics sont en grève….
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24 septembre 2009 à 23 h 23
Juste une question, Fernand: utilisez-vous le vélo de temps à autre pour vos déplacements quotidiens, ou simplement pour vous détendre? Moi, oui! Et même s’il m’arrive d’être distrait, je me considère à ce chapitre comme un citoyen RESPONSABLE, car je ne suis pas esclave du bazou. L’impact au plan environnemental et social de mon mode de transport est infime. De plus, c’est bon pour mon coeur, ma santé, et mon moral!
À écouter la logique de certains réactionnaires, il faudrait aussi imposer la plaque aux piétons, en ville!!
Sur un point, on sera d’accord: il faut sévir par des amendes salées contre les VRAIS irresponsables en vélo. Lesquels? Par exemple, les « totos à calottes » qui empruntent les trottoirs et d’autres qui se baladent « mains libres », l’une avec le foutu et détestable « téléphone à poche » collé à l’oreille (scène vue récemment sur la 18e Rue)!!
PS: En vivant dans les quartiers centraux, grâce au « cocktail-covoiturage-autobus-vélo-marche » (mon lieu de travail est à 6,5 km de chez moi, et je le fais 2 à 3 fois par semaine à pied), il m’en coûte moins de 250$ de frais de déplacement à l’année, en ville. Je suis fier de vous partager cette forme de simplicité volontaire, et je souhaite d’autres témoignages du genre sur Québec Urbain de la part d’autres « barbus socialistes »! ;-)
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25 septembre 2009 à 10 h 20
250$ par année, très impressionnant.
Si je fais un calcul rapide, c’est environ 100 billets d’autobus par année.
Et même si on exclus le côté environnement, cela doit être bénéfique pour votre santé!
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25 septembre 2009 à 10 h 37
Moi je trouve ca triste… si le 250$ est vrai. Cela veux dire que Jean ne sort pas beaucoup de son coin.
Il ne dois pas souvent aller à Montreal, à Charlevoix, à Gatineau, à Gaspé, il ne peux pas sortir de chez lui, aller dans les parc nationaux, partir à l’aventure en dehors des possibilité du vélo. il ne doit pas aller au mont Mégantic pour voir le ciel étoilé.
Il ne dois pas avoir souvent besoin d’un taxi dans l’année pour respecter le 250$ annuel, donc il n’a surement pas beaucoup de possessions matériel ce qui respecte sa simplicité volontaire et son esprit libre. Mais ca doit être plate pareil d’être TOUJOURS dépendant des autres pour le transport qui nécessite plus de 2 roues.
Il ne dois pas avoir de famille à aller visiter en dehors de Québec. Et il ne dois pas aller souvent dans les commerces ou restaurants de la ville qui ne se trouve pas proche des lignes de metrobus. Le pire c’est pour le cinéma, être obligé d’aller au cinéma sur Charest :-(
Malheureusement je comprends mieux pourquoi il a déjà utilisé le terme « champs de patate » pour décrire l’autre côté des ponts et la rive-sud immédiate de Québec ( L’établissement de la Boîte à science dans le Parc des Chutes-de-la-Chaudière à Charny ).
C’est un choix de vie qui se respecte, mais moi je trouve ca triste.
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25 septembre 2009 à 12 h 08
Matrix, on peut faire un bon bout de chemin – et même sortir de la ville – sans avoir sa propre auto….
-Co-voiturage
-Allo-stop
-Voiture de location
-Autobus
Même si je sors de la ville à tous les mois, en utilisant judicieusement ces moyens de transport ca revient quand même moins cher que toutes les dépenses liées à un véhicule. Pour un aller-retour Montréal/Chicoutimi/Sherbrooke/etc, le co-voiturage/allo-stop revient à ~20-30$ alors que l’autobus c’est 60$. En faisait une moyenne, un aller-retour par mois à Montréal revient à environ 45$. Pour les endroits plus creux (pas desservis par autobus/allo-stop – genre parc national), on peut essayer de s’organiser à plusieurs ou pour une petite escapade en couple, louer une voiture.
Le seul avantage à posséder une auto est la « liberté », mais avec un peu d’organisation ca revient pas mal au même. Et les milliers de dollars que j’économise par année en ayant pas d’auto me pemettent de voyager (min 2 voyages en avion par an) et justement de sortir un peu de la ville… donc pas besoin de pleurer sur mon sort :)
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25 septembre 2009 à 13 h 10
PhilT, je sais que c’est possible, je me suis passé d’auto pendant presque une dizaine d’année !! Je voulais le faire réagir ;-)
C’est une question de choix, et on a pas a juger les autres sur ce choix tant qu’ils en assument les conséquences.
Ceci dit je suis tanné d’entendre les mêmes toujours frapper sur les automobilistes et avoir un air hautain.
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25 septembre 2009 à 12 h 05
« …frais de déplacement à l’année, en ville »
J’ai… volontairement précisé « en ville »! Et non, ma vie est loin d’être « platte », et il m’arrive souvent d’aller en région… grâce entre autres à ces économies! ;-)
Cela dit, je ne cherche nullement à imposer mes choix de valeurs, de forcer tout le monde à vivre dans Limoilou, un quartier qui en passant déborde d’enfants manifestant une grande joie de vivre et qui sont loin d’être des délinquants en puissance parce qu’ils sont élevés dans les quartiers centraux!
Je reconnais par ailleurs posséder un grand privilège: celui d’être en forme au point de déborder de joie à l’idée de marcher, « kodak » à la main, 8 km quand il fait beau comme en cette journée de congé!
Alors, on repassera pour « la vie est triste »…
Donnez-moi enfin la permission de faire cette petite publicité pour MonLimoilou:
http://blog.monlimoilou.com/index.php/2009/rentree-ecole-saint-fidele-limoilou
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25 septembre 2009 à 13 h 15
Jean…. vous aller en région en autobus j’espère !! Vous n’êtes pas un de ces pollueurs irresponsable qui utilisent leur libârté personnelle pour faire des caprices égocentrique sans se soucier des impacts sur la planète entière !!
PS : j’avais vu la nuance du « en ville » mais je voulais vous faire réagir ;)
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24 septembre 2009 à 23 h 38
@ Jean Caze
Simplicité Volontaire…bien qu’il n’y ai rien de mal à ça, je suis sûr que ta simplicité a rien de « volontaire ».
Je ne suis pas un citoyen responsable parce que j’ai une voiture? Dans une ville comme Québec???????
N’importe quoi!
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25 septembre 2009 à 08 h 05
@Rémis
Pire encore, en plus d’être irresponsable , tu es aussi un « maudit pollueurs » , toujours à cause de cette même voiture. (ce qu’on a pu lire dans les commentaires d’un billet récent)
Comme tu dis : n’importe quoi
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25 septembre 2009 à 12 h 05
Vous savez, Matrix, je partage votre tristesse pour M. Jean Cazes. Mais pas pour les mêmes raisons. Vous êtes triste parce que Jean n’a pas de voiture. Serait-elle devenue aussi naturelle que la respiration?
Moi je suis triste parce que Jean ne peut pas sortir facilement de Québec; le tout-à-l’auto lui fait payer très chèrement son audace.
Soit que le service est inexistant (ce qui est le cas généralement), soit qu’il est exhorbitant. Si malgré tout, il persiste et utilise son vélo, il doit le faire souvent au péril de sa vie.
Pourquoi ne pas s’inspirer des pays scandinaves? La voiture individuelle a toujours sa place, mais pas TOUTE la place. Les parcs nationaux y sont facilement accessibles en transport en commun. Naturellement, le service est bon marché, fréquent et facilement accessible. Question de «civilisation».
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25 septembre 2009 à 13 h 24
Charles,
je suis un des partisans d’un transport en commun mieux développé dans une ville mieux développé qui n’est pas conçu autour de l’auto.
Je suis totalement d’accord avec votre concept seulement il faut respecter le libre choix de chaque individu.
Je suis seulement contre cette attitude hautaine et l’acharnement répété ici pour démoniser un groupe de gens majoritaire qui font un choix qui leur convient le mieux.
Je dis plutôt : trouver des incitatifs et favoriser les changements, trouver un moyen de rendre les changements attrayants, ET TRES IMPORTANT trouver un moyen pour que les individus puissent y trouver leur compte. Le monde a toujours fonctionné ainsi et c’est pas prêt de changer.
Si peu de gens utilise le transport en commun c’est qu’il y a une raison !
C’est pas par des reproches, les stigmatiser et utiliser la cause écologique comme étant la nouvelle religion, que vous aller changer les choses.
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25 septembre 2009 à 14 h 07
Matrix, tout à fait d’accord. C’est pas par la « contrainte » que les gens vont laisser l’auto à la maison mais par « l’incitation positive ». Mais pour ca les moyens sont plutôt absent. Mauvais transport en commun en banlieue et absence totale de tel transport en campagne. Des problèmes a corriger.
Effectivement si le transport en commun est sous-utilisé c’est qu’il y a une raison. En fait à l’heure de pointe, il ne suffit simplement pas à la demande alors que bien des gens n’attendent que l’amélioration de l’offre de service pour sauter à leur tour dans le bus. Hors-pointe, le service est tellement pourri dans 90% de la ville que juste les gens mal pris s’en servent. Cette tendance pourrait aussi être renversée, surtout que pour cela, le matériel roulant dort au garage et s’agit juste de $$$ pour payer des chauffeurs pour les conduire. Les gens croint à tort que si un bus roule aux 30 minutes avec seulement 20 personnes à bord, que si on le met aux 15 minutes il n’y aura plus que 10 personnes par bus. Ils ont rien compris!
Par contre il faut être réaliste, même avec un super-bon transport en commun qui desservirait chaque quartier et chaque village de campagne, il resterait toujours des besoins spécifiaux justifiant l’usage d’automobile. La preuve c’est qu’il y a encore des autos en Europe…
Ce que je remarque actuellement c’est des changements dans la société qui font augmenter ces « cas spéciaux », comme par exemple les couples séparés qui demeurent à chaque bout de la ville et doivent aller y porter les enfants tous les jours (navettage en 3 points) ainsi que les parents qui choisissent l’école de leur flots plutôt que l’école la plus proche comme autrefois (un autre cas de navettage en 3 points). Quand on croise ces deux cas avec plusieurs enfants allant à plusieurs écoles et provenant de familles reconstituées, on en vient à des « vies de fous » avec des déplacements en 4,5,6… points.
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25 septembre 2009 à 15 h 35
Hum ! le jour que tu aura des commentaires et opinions constructif je crois que je sortirais la bouteille de champagne pour fêter cela (je fais référence en rapport aux commentaires face aux autres) ;-)
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24 septembre 2009 à 23 h 47
Moi je trouve, que oui il y a peu-être un problème avec certain cyclistes qui adoptent un comportement dangereux, mais de la a encore imposer une loi et des réglementation pour régler le problème je ne suis pas d’accord. Un devrais s’asser sur la prévention et peut-être esseyer de cibler les « trouble maker » au lieu d’infliger plus de règle a tout le monde qui y sont pour rien. Moi je fais du bmx ce n’est pas pour aller au travail c’est simplement un sport. Je fais des trucs casses coût, mais je me sert de ma tête, j’essaie pas de faire peure au piétons ou de couper des voitures ou peu importe. J’ai pas envie de me faire arreter à cause de quel que uns qui ne savent pas réfléchir. Top souvent la masse se voi infliger des règle pour des mineurité et ce au nom de la sécurité plus souvent qu’autrement et ce au prix de la liberté
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25 septembre 2009 à 06 h 01
La plaque permet d’identifier le vélo… pas le cycliste… La seule utilité serait si on veut installer des photo radars à cyclistes… ;-)
Sinon, les cyclistes peuvent déjà recevoir des contraventions et même avoir des points de démérite…
alors, il fuadrait trouver une autre utilité à la plaque si on veut absolument en avoir une…
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25 septembre 2009 à 14 h 10
J’ai vu ca la semaine dernière… une limite de vitesse de 30 km/h dans une piste cyclable!!!!
Une plaque peut toujours vous empêcher de vous faire arroser le dos quand vous roulez dans la bouette…..
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25 septembre 2009 à 09 h 21
Moi je que j’adore dans cette lettre d’opinion, c’est la phrase finale suggérant de cesser l’aménagement de nouvelles pistes cyclables et la destruction de celles existantes.
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25 septembre 2009 à 10 h 35
Je n’ai rien demandé mais je vous ai informé et je n’avait pas l’intention d’intervenir. Maintenant que je suis dans le panier de crabe et que vous me forcez ma main, je vais donner ma version. Comme Labeaume je suis capable de parler franc et me tenir debout et sans suivre le courant que certains veulent nous imposer. Même Martin Pouliot du FM93 a fait une émission sur le sujet cette semaine : Devrait-on immatriculer les vélos ? Je ne suis pas intervenu mais j’ai écouté. Allez voir les interventions sur leur site…
Oui Jean, j’utilise le vélo pour me détendre et j’utilise ma voiture pour me rendre à la piste cyclable avec mon vélo dans le coffre. Lorsque j’utiliserai le vélo comme un moyen de transport, j’aurai une plaque et je paierai une assurance-accident. Je suis un citoyen qui assume ses responsabilité pas seulement un homme prudent.
On veut plaquer les voitures électriques pour les handicapés selon un récent jugement de la cour. La SAAQ indemnise autant un cycliste qu’un automobiliste, qu’un motocycliste, qu’un motoneigiste, qu’un handicapé en voiture électrique, etc… Seul le cycliste ne paiera aucune assurance et aucun droit d’immatriculation après qu’on obligera les handicapés à s’immatriculer et payer une assurance accident de la SAAQ… Pourquoi il devrait avoir une exception pour les vélos ???
Pourquoi un motoneigiste ou un conducteur de VTT doit licencer et payer une assurance à la SAAQ alors qu’il n’a même pas droit de circuler sur la route sauf de la traverser seulement ? Est-ce parce qu’il y a eu des accidents et que l’opinion publique a fait pression qu’ils sont plaqués ? Les cyclistes n’ont pas d’accidents eux ??? C’est vrai c’est la faute aux méchants automobilistes. C’est l’art de rejeter sa responsabilité sur les autres…
Il existe certaines pistes cyclables qui exigent un droit de passage pour payer les aménagements et la surveillance, est-ce un crime. Il y a des services semblables sur le réseau de la ville et tout est gratuit. Pourquoi on ne ferai pas payer les améliorations que nos accrocs aux subventions réclament à grand cri, 40 millions ça pousse pas dans les arbres du boisé Neilson. Accès Transport Viables n’a t’il pas comme principal revenu une subvention du RTC et comme revenus secondaires des subventions du Ministèeres de l’Environnement ???
Vélo-sécur c’est subventionné par la Ville à ce que je sache et ça surveille le réseau… Personne ne remets ces acquis en question, même moi. Je parles de justice fiscale…
Jean Cazes a choisi de vivre de la générosité des autres en tout simplicité volontaire, est-ce responsable ? Si tout le monde faisait de même, il n’y aurait plus personne pour payer la facture et tout le monde vivrait au dépend de tout le monde ??? Passez au suivant…
Le gouvernement qu’il soit municipal, provincial et fédéral ne distribue que ce qu’il perçoit après avoir pris une partie importante pour payer l’administration publique que ça prend pour gérer tous ces programmes subventionnés qui parfois se dédoublent ou se contredisent. C’est typique, on réclame mais pour la facture c’est le voisin qui paye. Est-ce responsable économiquement d’être riche avec le porte-feuilles des autres ???
Où est le principe de l’utilisateur payeur pour le vélo qu’on applique à satiété aux automobilistes. Le méchant capitaliste qui prend son auto est rendu à payer de la taxe sur la taxe…
Un automobiliste paye sa part pour le transport en commun sur son permis de conduire pour se faire taper sur la tête avec des campagnes agressives et subventionnées pour l’empêcher de circuler librement après avoir payé la facture. Vous savez aussi qu’une partie des taxes sur l’essence perçue par le Québec sert à subventionner le transport en commun. Le 65 millions pour le garage des autobus articulés provient des revenus de taxes sur l’essence. L’automobiliste est baisé aller-retour.
Vous savez sur un litre d’essence combien il y a de taxes ? Plus de la moitié du prix de l’essence et nos écolos en ont rajouté une autre, la taxe Béchard sur le carbone, (0,02$ du litre) qui permet aux OSBL subventionnés de vivre è nos dépend pour nous faire la leçon de vie verte (300 millions par année). Naturellement , Jean l’adepte de la simplicité volontaire, ne paye rien de tout ça mais veut que j’en paye davantage pour qu’il soit heureux…
À ce que je sache simplicité est assorti du mot VOLONTAIRE pourquoi vouloir m’obliger alors à adopter ce mode de vie en m’affublant de règles, de normes et de taxes de plus en plus lourdes ??? ICI ON NIVÈLE PAR LE BAS…
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25 septembre 2009 à 11 h 26
Exact que je vous force un peu la main ! :)
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25 septembre 2009 à 11 h 31
« Vous savez sur un litre d’essence combien il y a de taxes ? Plus de la moitié du prix de l’essence »
Prix moyen du litre actuellement 1$
Détail par litre:
Prix d’acquisition à la pompe: 0.545$
Frais de trais de transport: 0.01388$
Profit: 0.095$
Taxe d’accise fédérale: 0.10$
Taxe prov sur le carburant: 0.1271$
TPS + TVQ (5% + 7,5%) : 0.12$
total des taxes (0.10+ 0.1271 + 0.12) = 0.3471 $
source: Régie de l’énergie
Donc, sur le prix payé à la pompe, vous payez environ 35% en taxes et non « plus de la moitié ».
Votre source ne devait pas être bonne, ou vous avez fait une erreur de calcul…
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25 septembre 2009 à 11 h 52
fernand a dit:
« La SAAQ indemnise autant un cycliste qu’un automobiliste, qu’un motocycliste, qu’un motoneigiste, qu’un handicapé en voiture électrique, etc… Seul le cycliste ne paiera aucune assurance et aucun droit d’immatriculation après qu’on obligera les handicapés à s’immatriculer et payer une assurance accident de la SAAQ… Pourquoi il devrait avoir une exception pour les vélos ??? »
À ce que je sache, les piétons non plus ne paient pas un sou à la SAAQ et ils sont indemnisés en cas de dommages corporels. Suivant votre logique, on devrait aussi immatriculer les piétons?
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25 septembre 2009 à 10 h 53
Il est évident que cet article a été écrit par un provocateur en mal d’attention. Cela me rappelle le combat de certains fumeurs qui s’abrogeaient des droits il n’y a pas si longtemps. Un retour en arrière sur cette question est aujourd’hui impensable.
Cet individu part du principe que les cyclistes et les piétons sont les intrus sur la rue; or, c’est exactement l’inverse. Un véhicule de deux,trois tonnes passant à 70 km/h n’est pas autre chose qu’une agression journalière à laquelle nous nous serions habituée.
À titre d’abonné BIXI (j’habite Montréal la semaine) et d’utilisateur régulier de pistes cyclables, je vous assure que les automobilistes font penser à des poules sans têtes. Je ne cesse de remercier l’administration municipale pour cette heureuse initiative. Le concept BIXI est d’ailleurs en train de s’exporter dans d’autres métropoles, dont Boston et Londres.
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25 septembre 2009 à 14 h 18
Je trouve moi aussi le Bixi une très bonne initative et me demande ce qu’attend Labeaume pour copier Montréal là-dessus. Mais c’est pas ca qui va éliminer les autos, même si c’est un très bon exemple « d’incitation positive » pour certains types de déplacements.
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25 septembre 2009 à 11 h 23
Depuis quand ne pas posséder d’automobile est devenu un crime ou serait le lot de marginaux qu’il faut prendre en pitié ?
Moi, c’est le bedonnant qui prend son auto pour aller acheter son pain au dépanneur dont j’ai pitié, question de valeurs bien sûr.
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25 septembre 2009 à 13 h 25
Pour revenir au sujet, et sans égard à la plupart des commentaires ci-haut. je dirais, dans la même veine qu’un commentaire de julien, que tout cela ne sert à rien si on ne met pas en place des mesures pour faire respecter la loi.
Tout ce qui est dit dans l’article n’est pas une question de plaque, mais plutôt de faire respecter la loi. Il y a des gens qui se sont SOUVENT fait condamner pour conduite (automobile) avec facultées affaiblies (par l’alcool). Ils ont une plaque et ce n’est pas ça qui les empêchent d’être de dangereux criminels. Pire encore, après quelques condamnation, ils n’ont souvent plus de permis ni de droit de conduire, mais le font quand même… plusieurs fois! Alors un permis, des cours, etc. ce n’est pas ce qui empêche d’enfreindre la loi.
Faisons plutôt le contraire… plutôt que d’ajouter des conditions pour se conformer à la loi, faisons plutôt respecter les lois qu’on a! trouvons des policiers en forme (je sais à part les recrues, c’est passablement dur à trouver… ce serait un autre problème à régler) qui pourront patrouiller à vélo (comme ça se fait déjà dans certaines villes) et donner des billets d’infractions aux contrevenants. Encore plus simple : un patrouilleur reste grassement assis dans sa voiture pour surveiller une intersection souvent fréquentée par des cycliste, et un autre un peu plus loin, se tient debout en bordure de la piste cyclable pour les arrêter… c’est pas compliqué il me semble.
Les lois existent DÉJÀ! Si on n’est pas capable de les faire respecter aujourd’hui (à en juger par les statistique dans cet « article ») alors pourquoi s’imaginer qu’on pourra le faire demain avec une plaque?
Remarquez que le discours auto-vélo se transpose tout aussi bien dans le cas vélo-piéton.
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25 septembre 2009 à 14 h 15
Les bicyclettes électriques pourraient être des bonnes solutions pour les patrouilleurs à bicyclettes. Au pire si un petit jeune se tire, le flic peut toujours appeler ses chums en auto… C’est déjà ca qu’ils font avec les motos et les ferraris qui se sauvent. De plus il arrive de plus en plus souvent des accidents de bicycles dans les piste cyclables dans des endroits parfois assez isolés. Alors qu’un flic/secouriste soit capable d’intervenir rapidement avec un moyen motorisé n’est pas un luxe.
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25 septembre 2009 à 16 h 57
Un cycliste qui brûle un feu rouge ne risque que sa propre vie. Un automobiliste qui tourne à droite sur un feu protégé de piéton sans ralentir (intersection Charest/Monseigneur-Gauvrau entre autres) est pas mal plus dangereux.
Il n’y a pas vraiment de comparaison possible entre le niveau de dangerosité entre les vélos et auto. Mais il y en a, tout de même, qui méritent des baffes, si le gros bon sens s’impose c’est tout de même le code de la route qui fait loi dans la rue.
On pourrait aussi parler des piétons. Je pense, personnellement, que le problème est a tous les niveaux, du piéton aux camions et qu’une licence ne changera absolument rien, a moins d’avoir un système carrément répressif.
Nos policiers, en bon fonctionnaires, iront toujours vers la facilité: constats d’infraction aux piétons et vélos, les voitures ça demande plus d’efforts.
Je suis cycliste et piéton, je n’ai pas de voiture et n’ai pas de permis de conduire et ma vie est parfois en danger tant a pied qu’en vélo.
Avant de tirer sur les vélos il y aurait peut-être un petit ménage à faire chez les motorisés et c’est pas une question d’écologie ici mais de sécurité.
On s’entend que 2 tonnes vs 80 kilos c’est comme un train vs une auto.
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25 septembre 2009 à 17 h 19
Bien dit…
En effet, on ne cesse d’entendre aux nouvelles des histoires du genre: «Un autre cycliste a happé mortellement un automobiliste ce matin. Après les faits, il aurait pris la fuite et a été épinglé quelques minutes plus tard grâce à des traces de peinture sur son guidon…»
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25 septembre 2009 à 17 h 56
Ce qui serait utile, ce serait de pouvoir déterminer si le cycliste en est à sa 3e ou 4e… ou 20e offense au code de la route. Les pénalités devrait être plus forte contre les récédivistes, mais l’imatriculation permetterait difficilement cela, surtout quand on emprunte le vélo d’un autre.
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25 septembre 2009 à 20 h 27
L’assurance obligatoire pourquoi? Normalement quand un vélo frappe accroche une voiture, le vélo est pas mal plus brisé que la voiture. Même que ça peut être le seul brisé. À moins que la voiture frappe le vélo. Mais dans ce cas, c’est la faute de l’automobiliste.
Détruire les pistes-cyclables… que je déteste ces gens qui se braquent contre le progrès!
Quand aux cyclistes qui roulent dans la rue, c’est normal. C’est là que doivent rouler les cyclistes quand il n’y a pas de piste cyclable ou que celle en place sont inutilisable (ça arrive). Et puis, normalement un cycliste est prioritaire. Cependant, les automobilistes s’en foutent et le cycliste comme le piéton doit foncer dans le tas pour traverser la rue. À moins de rouler en plein milieu et de suivre le trafic. Mais ça, ça peut être un peu suicidaire…
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26 septembre 2009 à 07 h 38
À moins que la voiture frappe le vélo. Mais dans ce cas, c’est la faute de l’automobiliste.
Absolument pas, ça peu très bien être la faute du cycliste.
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25 septembre 2009 à 22 h 27
Que les vélos roulent dans la rue, ça ne me dérange pas…
sauf lorsqu’il y a une belle piste cyclable sur le côté de la rue ou à quelques pas.
Ça m’arrive souvent de voir des cyclistes sur Prince-Édouard faire des manoeuvres dangereuses au croisement de Laurentien et Prince-Édouard. Je pense que ces gens feraient mieux de prendre la belle piste cyclable le long de la rivière beaucoup plus sécuritaire et qui évite les intersections.
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26 septembre 2009 à 16 h 31
Gros bon sens…
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26 septembre 2009 à 17 h 26
‘Fectivement, mais certains cyclistes avec vélo de route et cuissard dédaignent les pistes cyclables, peut-être trop ptit peup’?
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28 septembre 2009 à 10 h 55
Les ginos à cuissards dédaignent les piste cyclables entres autres parce que leurs petits pneus s’enfoncent dans le gravier. C’est leur problème à eux s’ils utilisent des bicycles concus pour tourner en rond dans un vélodrome plutôt qu’un véhicule construit pour les déplacements en campagne. Est-ce que vous faites du patin dans des pistes de ski de fond, vous autres, c’est à peu près pareille.
Ils veulent faire du « sport » et de la « vitesse » sur une infrastructure qui n’est pas faite pour cela, un peu comme certains malades de la vitesse dégourdissent leurs bolides sur les routes publiques plutôt que les autodromes conçus pour cela.
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27 septembre 2009 à 14 h 10
Selon le code de la route un vélo a le droit de circuler sur la route en l’abscence de piste cyclable. Les cyclistes qui roulent dnas la rue quand une piste cyclable est présente mérite aucun respect
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27 septembre 2009 à 16 h 17
Des fois c’est plus gris que ça, la piste cyclable est dans la rue à côté…
Oui en théorie ils ont le droit, mais le gbs dirait qu’ils devraient aller le plus possible dans la rue d’à côté.
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28 septembre 2009 à 10 h 56
Ca a été démentit. En présence d’une piste cyclable, les cyclistes sont obligés de l’utiliser.
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28 septembre 2009 à 12 h 38
En effet, article 492 du Code de la sécurité routière :
492. Lorsque le chemin public comporte une voie
cyclable, le conducteur d’une bicyclette, autre
qu’une bicyclette assistée, doit l’emprunter.
Toutefois, absolument rien n’oblige un cycliste à changer de rue s’il y a une piste cyclable dans la « rue d’à côté ». Il s’agit de deux voies pubiques distinctes.
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10 octobre 2009 à 23 h 58
J’hallucine! Une autre taxe déguisée. Quand je pense que mon bike m’a coûté 150$ Non mais, ça va être quoi ensuite, un cours de conduite obligatoire avec permis? Sans oublier les hausses de coûts pour le système administratif, on nage en plein délire. Que fait-on des rollerbladers et joggers? Si ça passe, je déménage à campagne, travaille avec les Mexicains dans les champs de fraises et relaxe l’hiver sur le chômage avec un peu de job au noir. Pi pas toujours de besoin de pistes cyclables pour circuler, ya le bord de la rue et le trottoir lorsque des chars stationnés, tant que tu ne pédales pas en fou, jamais eu de contraventions. À croire que nous sommes une gang de touristes.
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