et c’est quoi qu’on y retrouve ? je vous trouve courageux Seb…
par contre avec la renaturalisation des berges de la St-Charles, le poisson remonte-t-il plus ? j’y ai vu des canards à profusion mais mes yeux aussi perçants soient-ils n’y ont pas vu de « nageoires » ?
Il y a un barrage derrière la gare du palais, le poisson ne peut pas remonter dans la St-Charles. Les poissons sont capturés en aval de ce barrage et ce sont des poissons du fleuve.
Cet été a été médiocre puisque la ville a vidé la rivière à plusieurs reprises pour effectuer des travaux. Le débit a beaucoup fluctué et j’ai l’impression que ça a nuit à la régularité de la fréquentation des poissons ou, du moins, à leur répartition spatiale.
Les gens y pêchent majoritairement le doré, le brochet, l’achigan. On peut aussi s’amuser à capturer des barbues et des carpes allemandes.
Doré, brochet, barbotte, truite, bar rayé (ensemmencé depuis quelques années – pas le droit de les garder), et probablement quelques poissons à trois yeux!
Croyez le ou non mais vous pouvez manger plus de doré par mois si il vient du fleuve que si vous l’avez pêché au réservoir Gouin en plein milieu de la nature…
Il faut dès maintenant prévoir le retour de la pêche récréative sur le fleuve devant Québec : « Les programmes entrepris visant à restaurer les habitats ou les lieux de fraie d’espèces telles l’éperlan et le bar rayé conduiront probablement dans un avenir pas si lointain à un retour significatif dans les eaux fluviales (dans la région de Québec) de ces deux espèces particulièrement prisées par les pêcheurs. D’autres espèces halieutiques suivront au fur et à mesure de l’amélioration de la qualité de l’eau du fleuve et de la restauration d’habitats naturels ou artificiels. »
« C’est donc dès maintenant qu’on doit envisager un retour graduel de la pêche récréative et d’opérations commerciales de pêche touristique – comme pour les villes riveraines des Grands lacs – soit à partir de structures fixes au fond du fleuve, soit à partir de quais tels le quai Irving ou autres types d’infrastructures, soit avec des bateaux d’excursions de pêche, des chaloupes, toutes activités commerciales ou non de type récréo-touristiques appelées à se développer dans l’avenir. »
« Par conséquent, il serait souhaitable que ces navires de pêche disposent d’endroits convenables pour s’amarrer et aussi de l’espace à quai pour desservir leurs clientèles. Il faut prévoir des stationnements pour ces futurs usagers du fleuve ou pour la clientèle des armateurs en tourisme fluvial (navettes, croisières-excursions, etc). »
« Compte tenu que la configuration actuelle des quais devant le Vieux-Québec ne permet guère le développement de quelque pêche récréative embarquée que ce soit, il faut s’attendre à ce que le quai Irving soit sollicité par plus d’un armateur privé qui voudra l’utiliser au départ et à l’arrivée de voyages de pêche sur le fleuve, en sus de la navette dont il est actuellement question. De fait, le quai réaménagé pourrait bien trouver son utilité surtout pour des excursions de pêche commerciale ainsi que pour l’accostage de kayaks, chaloupes et autres petites embarcations (boating). »
29 septembre 2009 à 12 h 26
Personellement, je mange même les poissons que j’y pêche.
Contrairement à ce qu’on pense, on peut manger une bonne quantité de poisson provenant du fleuve à chaque mois sans risque pour notre santé.
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29 septembre 2009 à 13 h 31
Il y a de la pêche à la station des Cageux (Promenade Samuel-De Champlain)
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29 septembre 2009 à 12 h 38
et c’est quoi qu’on y retrouve ? je vous trouve courageux Seb…
par contre avec la renaturalisation des berges de la St-Charles, le poisson remonte-t-il plus ? j’y ai vu des canards à profusion mais mes yeux aussi perçants soient-ils n’y ont pas vu de « nageoires » ?
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29 septembre 2009 à 18 h 11
Il y a un barrage derrière la gare du palais, le poisson ne peut pas remonter dans la St-Charles. Les poissons sont capturés en aval de ce barrage et ce sont des poissons du fleuve.
Cet été a été médiocre puisque la ville a vidé la rivière à plusieurs reprises pour effectuer des travaux. Le débit a beaucoup fluctué et j’ai l’impression que ça a nuit à la régularité de la fréquentation des poissons ou, du moins, à leur répartition spatiale.
Les gens y pêchent majoritairement le doré, le brochet, l’achigan. On peut aussi s’amuser à capturer des barbues et des carpes allemandes.
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29 septembre 2009 à 13 h 22
Doré, brochet, barbotte, truite, bar rayé (ensemmencé depuis quelques années – pas le droit de les garder), et probablement quelques poissons à trois yeux!
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29 septembre 2009 à 16 h 48
Il y a aussi quelques hérons.
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29 septembre 2009 à 17 h 16
Quelques sandales Crocs?
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29 septembre 2009 à 19 h 18
Merci …je les cherchais.
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29 septembre 2009 à 17 h 53
Croyez le ou non mais vous pouvez manger plus de doré par mois si il vient du fleuve que si vous l’avez pêché au réservoir Gouin en plein milieu de la nature…
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29 septembre 2009 à 19 h 20
Bon sujet de photo encore une fois Carol, d’un angle assez rare en +.
Bravo.
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29 septembre 2009 à 19 h 29
Un seul par mois mais il faut pas déborder et abuser. J’ai connu un pêcheur friand de doré intoxicé au mercure…
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29 septembre 2009 à 22 h 00
Par dessus tout, quelle bonne photo, Carol !
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29 septembre 2009 à 23 h 39
Merci !
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30 septembre 2009 à 08 h 58
Il faut dès maintenant prévoir le retour de la pêche récréative sur le fleuve devant Québec : « Les programmes entrepris visant à restaurer les habitats ou les lieux de fraie d’espèces telles l’éperlan et le bar rayé conduiront probablement dans un avenir pas si lointain à un retour significatif dans les eaux fluviales (dans la région de Québec) de ces deux espèces particulièrement prisées par les pêcheurs. D’autres espèces halieutiques suivront au fur et à mesure de l’amélioration de la qualité de l’eau du fleuve et de la restauration d’habitats naturels ou artificiels. »
« C’est donc dès maintenant qu’on doit envisager un retour graduel de la pêche récréative et d’opérations commerciales de pêche touristique – comme pour les villes riveraines des Grands lacs – soit à partir de structures fixes au fond du fleuve, soit à partir de quais tels le quai Irving ou autres types d’infrastructures, soit avec des bateaux d’excursions de pêche, des chaloupes, toutes activités commerciales ou non de type récréo-touristiques appelées à se développer dans l’avenir. »
« Par conséquent, il serait souhaitable que ces navires de pêche disposent d’endroits convenables pour s’amarrer et aussi de l’espace à quai pour desservir leurs clientèles. Il faut prévoir des stationnements pour ces futurs usagers du fleuve ou pour la clientèle des armateurs en tourisme fluvial (navettes, croisières-excursions, etc). »
« Compte tenu que la configuration actuelle des quais devant le Vieux-Québec ne permet guère le développement de quelque pêche récréative embarquée que ce soit, il faut s’attendre à ce que le quai Irving soit sollicité par plus d’un armateur privé qui voudra l’utiliser au départ et à l’arrivée de voyages de pêche sur le fleuve, en sus de la navette dont il est actuellement question. De fait, le quai réaménagé pourrait bien trouver son utilité surtout pour des excursions de pêche commerciale ainsi que pour l’accostage de kayaks, chaloupes et autres petites embarcations (boating). »
Extrait de: http://www.gensdebaignade.org/Un_quai_doit_donner_acces.pdf
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30 septembre 2009 à 18 h 07
Il me semble qu’il y a une pourvoirie sur la rive-sud.
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