Source: François Cattapan, Le journal de l’habitation, 27 juin 2006.
À l’approche de la période faste des déménagements, la Ville de Québec rappelle aux citoyens que des services leur sont offerts pour se départir de gros rebuts, tels que sofas, tapis, matelas, réfrigérateurs, micro-ondes et autres «monstres» ménagers. (…)
27 juin 2006 à 10 h 17
J’habite dans un quartier tres tres tres pauvre de Trois-Rivières. Dès que je mets un de ces objets sur le bord de la ruelle, je suis certaine qu’il n’y est plus apres 5 minutes! C’est moins compliqué, je fais des contents et je suis certaine que mes anciennes choses sont récupérés.
N’oubliez pas qu’il y a presque toujours une 2e vie à vos objets et meubles. Il y a de nombreux organismes qui se déplacent (voir article). C’est important!
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27 juin 2006 à 10 h 23
Moi lorsque j’ai vidée la maison de mon père décédé, j’étais à Loretteville, et je peux te dire que certain objets que je laissais pour les monstres, partait vite…aussi
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27 juin 2006 à 13 h 05
Mon père est décédé en 1995. Il est mort seul, chez lui, assis sur une chaise de bureau pivotante près d’un calorifère à 30 degrés celcius et a été découvert que 4 jours plus tard ; il était dans un état de putréfaction très avancé. Bien évidemment, nous avons mis la chaise sur laquelle il était assis aux ordures pour être ramassé à la porte de son domicile. Un homme a passé et s’est arrêté pour en faire l’acquisition. Ma belle-soeur a tenté en vain de l’avertir de ne pas y toucher mais malheureusement l’auto était déjà repartie.
Mis à part cette chaise, bon nombre de choses ont également été mis aux rebus et ont très vite disparus.
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29 juin 2006 à 20 h 18
autant de détails étaient t’ils vraiement nécessaires a votre anecdote Lisette?
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29 juin 2006 à 21 h 02
Parce que vous considérez ceci comme une anecdote ? Une anecdote pour moi signifie une situation cocasse et je ne crois pas, qu’en fait, il y ait quoi que ce soit se réjouir de mon récit, loin de là voir même. Mais quels mots aurais-je du employer pour dépeindre la situation ?
La citation pour le moins contreversé ne voulait en rien signifier soit un manque de respect ou de mauvais goût envers un parent trop tôt disparu. Non, cela m’apparaissait plutôt comme la narration d’une triste, vraiment triste situation dans le contexte du sujet actuel ; de la pauvreté à la mort. Pour vous avoir involontairement choquée, je suis stupéfaite que vous en ayez pas saisi le sens.
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30 juin 2006 à 02 h 31
Personnellement, j’ai trouvé ça certes un peu macabre, mais ça illustrait drôlement bien le propos!
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