François Cattapan
Journal de l’Habitation
Les marchés immobiliers des arrondissements Sainte-Foy/Sillery et Laurentien diffèrent fortement l’un de l’autre. Cependant, on relève une légère hausse du prix médian des maisons unifamiliales dans les deux secteurs
25 octobre 2009 à 08 h 31
Ceux qui attendent en vain une baisse importante du prix des maisons risquent de plus en plus de se retrouver les mains vides.
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 09 h 56
Pas sûr de cela.
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 10 h 52
Il n’y aura pas de baisses de prix généralisées à Québec, enlevez-vous ça de la tête.
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 10 h 56
Messieurs, ce serait bien d’étoffer l’argumentation, non?
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 11 h 57
J’ai déjà amplement étoffé mon argumentation dans le passé sur
ce forum. Par contre, ce que je peux rajouter c’est que:
1/La hausse des intérêts est inévitables.
(http://video.aol.co.uk/video-detail/taux-dintrts-en-2010-la-hausse-est-invitable-mtouati/3636099275)
Entraînant dans son sillage les cohortes des surendettés (114% au
Québec)
2/La hausse du prix des immeubles entraînant inévitablement:
A/La hausse des taxes scolaires
B/La hausse des taxes tout court, malgrès les promesses de
Régis.
3/L’augmentation famélique des salaires de la majorité, qui peineras a suivre les hausses citées plus haut.
4/La reprise économique mondiale qui entraîneras une hausse de
la demande d’énergie comme l’essence donc du baril de pétrole.
Nous assisterons dons a une poussée inflationnaire des denrées
de base comme l’alimentation.
5/Le retour inévitable de la crise économique puisque nous
somme semble-t’il dans un processus W, c-a-d une descente,
une montée et une nouvelle chute.
Et je passe sous silence le déficit de la ville de Québec.
Et je ne passe pas sous silence sous sur-endettement des
ménages.
Bon bien toute est place pour un crash immobilier. Attendons la
suite du film
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 14 h 06
Et bien, le prix des maisons augmente plus vite que le salaire moyen. Il est donc de plus en plus difficile d’accéder à la propriété, surtout pour les premiers acheteurs.
Ceux qui attendent un crash au Québec (et surtout à Québec) risquent d’être déçus car le ratio hypothèque sur salaire familial reste en dessous de 3, ce qui est considéré comme très bon. Les américain avaient franchi ce seuil de beaucoup avant l’éclatement de la bulle immobilière. Le crash s’est d’ailleurs récemment stabilisé autour de ce ratio.
C’est clair que plusieurs vont perdre leur maison lorsque les taux vont augmenter. Mais de là à provoquer une baisse du prix moyen ? D’ailleur, même si le prix tombait de 50% (ce qui n’a pratiquement aucune chance d’arriver), le prix reviendrait au niveau de l’an 2000 environ.
De miser là dessus est un très gros risque ; le risque de rester locataire pour le reste de ses jours. Quand on est né pour un petit pain…
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 16 h 38
Hey mon petit pote, arrive en ville. Le choix de rester locataire n’a pas seulement rapport avec l’argent mais aussi avec le goût ou
non de mettre le temps sur l’entretien d’une maison. De quelle
planète tu viens??? Je connais pleins de gens qui son locataire
par choix et qui paie $1200 et plus de loyer par mois. Va voir les
Penthouse de l’édifice St-Laurent tu vas voir si les locataires
sont nés pour un petit pain. je connais aussi des gens qui sont
propriétaire d’un bungalow et qui ce sert continuellement la
ceinture.
« Né pour un petit pain ». Faut tu être décrocher de la réalité.
Signaler ce commentaire
26 octobre 2009 à 19 h 03
Monsieur Fortier,
Gardez votre sang froid, je n’attaquais personne en particulier. Les gens qui choisissent de vivre en loyer ont tout mon respect. Par contre, ceux qui aspire à la propriété et qui restent locataire en attendant un crash qui ne vient pas sont à mon sens effectivement nés pour un petit pain. Je connais des gens qui attendent ainsi depuis des décennies…
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 14 h 55
Sur le long terme la hausse moyenne du prix des maisons est la suivante :
La hausse de la productivité moyenne de la région + l’inflation.
Québec est une région dynamique, ce n,est pas le Lac-St-Jean ou l’Amiante, par conséquent il serait difficile de penser que la productivité de la région diminue de façon importante.
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 20 h 20
@Goldoche.
Sachant que depuis 2000 la hausse des prix d’une maison est de 120 % (journal L ‘Actualité), et que l’inflation est d’environ 2.5 % par an, soit 25 % en 9 ans, cela donne donc une hausse de productivité de : 76 % !!!
Raisonnablement, je pense plutôt que la hausse de productivité a été de 30 % (soit 2.95 % par an, déjà pas mal). Il reste donc 35 % de hausse « inexpliquée », qui en fait correspond à la surévaluation actuelle …
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 22 h 16
Encore là de 90 à 2000, le prix de maison a très peu augmenté, il s’agit en fait d’un rattrapage.
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 20 h 07
Je crois que je l’ai déjà posté sur un autre sujet, mais c’est toujours d’actualité (graphiques mis à jour début octobre). Voici un site qui présente l’évolution relative depuis le début des années 90 du prix des maisons à Montréal et celui des revenus. Vu ces résultats, difficile de croire qu’il n’y a pas de bulle immobilière au Québec, et à Québec donc. La baisse des taux hypothécaires actuelle ne fait à mon avis que projeter encore plus haut les prix, et la bulle…
http://bulle-immo-quebec.hautetfort.com/
Signaler ce commentaire
26 octobre 2009 à 01 h 25
On en peut pas faire le lien « au Québec » et « à Québec ». La ville de Québec est une petite partie du marché du Québec. La majeure partie de la valeur du parc immobilier québécois est dans l’agglomération Montréalaise.
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 20 h 16
Cela dit la bulle est une moyenne pour un pays donné, il peut y a voir des disparités régionales importantes entre les différentes régions.
De plus au Canada, on a la SCHL, l’obligation de donner 5% du prix de la maison aurait évité une certaine spéculation. Également, ici les intérêts ne sont pas déductibles d’impôt contrairement aux états-unis.
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 20 h 27
Je suis pas convaincu que la SCHL nous mette à l’abri… Je pense plûtôt qu’elle participe à la poussée des prix. A ce propos voir l’article ci-dessous.
Enfin, la non-déductibilité des intérêts n’empêchent pas la formation d’une bulle : une bulle immo vient d’éclater en France, et il n’y a pas de tel dispositif dans ce pays…
« La croissance de la SCHL soulève des inquiétudes »
http://argent.canoe.ca/lca/affaires/canada/archives/2009/10/20091019-094042.html
Et voici l’article original anglais du Globe and Mail. Il est plus long et plus complet, et a plus de 90 commentaires… :
http://www.theglobeandmail.com/report-on-business/crash-and-recovery/cmhcs-growth-fuels-worries-over-new-risks/article1327491/
Signaler ce commentaire
25 octobre 2009 à 21 h 04
Les taux d’intérêts sont très bas en ce moment, ça aide à maintenir le prix des maisons élevées. De plus avec la force du dollar canadien, la banque du Canada ne veut pas élever son taux directeur, car cela aurait pour effet d’augmenter l’attrait du dollar pour les investisseurs.
je ne dis pas que la déductibilité des impôts aient créé la bulle aux états-unis, mais plusieurs programmes dont celui-là ont sans aucun doute contribué à amplifier la bulle.
Moi je n’y crois pas qu’il y ait une bulle, de 1990 à 2000 le prix des maisons à Québec a peu augmenté. En quelque sorte, depuis 2000, on a une sorte de rattrapage.
Signaler ce commentaire