Dans le projet d’origine quant à l’hôtel, ce que vous voyez devenait le hall d’entrée.
Merci à Martin Otis pour ce billet
Dans le projet d’origine quant à l’hôtel, ce que vous voyez devenait le hall d’entrée.
Merci à Martin Otis pour ce billet
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Commercial, Photographies citadines.
7 novembre 2009 à 23 h 05
C’est triste de voir qu’on a perdu une partie de ce patrimoine, raison supplémentaire pour sauver la facade!
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8 novembre 2009 à 04 h 01
Le patrimoine, le patrimoine .. Y a pas juste la le patrimoine!
Si on garde toujours le « patrimoine » à quoi vas ressembler la ville dans 100 ans?
Aucune innovation, aucun renouveau, une ville qui a gardé que ses vieilleries.
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10 novembre 2009 à 21 h 26
Ben oui,qu’est-ce qu’on attend pour démolir le Vieux-Québec? Pis le Château Frontenac? On pourrait construire des condos en résine de synthèse acrylique à la place tant qu’à faire..
Tiens j’ai une bonne idée! On démolit toute la ville au 10 ans et on repart à neuf à chaque fois. Comme ça pas de chicane de patrimoine, pas de veillerie, tout le monde est content … Nos villes vont ressembler à Berlin-Est.
Bravo !
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8 novembre 2009 à 06 h 54
Tenez pour votre info: Art sacré, Actes créateurs(2008). Editions Commission de la Capitale et Sylvain Harvey. Toutes les églises
de Québec, dont St-Vincent-de-Paul et d’autres disparues.
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8 novembre 2009 à 08 h 38
Évidemment que la valeur architecturale et patrimoniale du lieu ne fait aucun doute et que cela aurait été un hall impresionnant. C’est une vraie perte de ne pas l’avoir préservé. J’ai récemment visité l’Édifice Flagler à St-Augustine en Floride, un édifice patrimonial où les éléments architecturaux ont été méticuleusement conservés. Il fait partie du circuit touristique et c’est un des édifices les plus visités de la ville.
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8 novembre 2009 à 08 h 56
Patro St-Vincent (1861-1984)
J’ai assisté hier soir aux retrouvailles des anciens et anciennes du Patro St-Vincent pour l’occasion du 25ième anniversaire de la fermeture de ses activités comme œuvre sociale à Québec.
Les anciens de la côte… de la côte d’Abraham naturellement!
Même si aujourd’hui ses quelques vieilles pierres font l’objet d’une polémique à l’effet de les faire disparaître ou de les conserver comme un arc de triomphe à la gloire de la décadence de l’église catholique dans notre Québec moderne, il n’en demeure pas moins que la véritable œuvre du Patro St-Vincent se retrouve dans ses « pierres vivantes » dispersées dans la société d’aujourd’hui.
Des groupes d’anciens et anciennes de ses 50 dernières années de fonctionnement tissé serrés (es) par générations étaient heureux de se saluer et admiratifs de prendre des nouvelles des uns (es) et des autres.
Les plus anciens des anciens se souviendront du chant :
« …et nous irons jusqu’au bout du monde, le patronage ne périra pas… le patronage oui, oui, oui, le patronage non, non, non,
le patronage ne périra pas! »
Et que vive en nos vies cette valeureuse œuvre des Religieux de St-Vincent de Paul.
Soyons unis !
Raymond Bilodeau
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8 novembre 2009 à 09 h 43
Oui, ça aurait été mieux qu’une simple facade lézardée qui reste.
Mais le permis de démolition a été donné par le comité d’urbanisme de la Ville dont Jacques Joli-Coeur et Yvon Bussières en étaient les conseillers présents…
Trop tard pour pleurer car le lait est versé !!!
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8 novembre 2009 à 15 h 07
Mes grands parents maternels s’y sont mariés ; mes parents s’y sont mariés le 31 octobre 1953, mes oncles et tantes également ; j’y ai été baptisé le 2 août 1956. J’y ai tout fais sauf mon mariage car ma belle-mère trouvait le quartier trop défavorisé pour son standing grrrrr !!!!!
:-(((
Les frères nous accueillaient, nous enfants pauvres et nous avions le Patro pour nous distraire tout à fait gratuitement. On allait y chercher nourriture et vêtements chauds au besoin. Les moindres recoins de cette Église sont gravés dans mon coeur pour toujours et à jamais.
Le petit frère Sauvageau, Wilfrid, nous accueillait pour nous donner des bouteilles d’eau bénites directement à la fontaine de Saint-Vincent-de-Paul qui se trouvait dans son bureau dont les murs étaient tout en bois. La statue se trouvait près de la fenêtre. J’apportais cette bouteille à ma mère qui croyait en ses vertus curative.
Martin, Merci beaucoup pour ce magnifique partage ; j’en suis émue aux larmes. Merci, merci du fond du coeur !
Merci, Michelle, de me l’avoir envoyée par e-mail ; je l’ai conservé sur mon bureau et il y restera toujours.
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8 novembre 2009 à 15 h 10
J’oubliais, mes salutations à Gérald que je n’ai pas vu depuis trop longtemps ainsi qu’aux précieux collaborateurs de QU.
Lisette
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8 novembre 2009 à 15 h 46
:-)
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8 novembre 2009 à 15 h 38
Je me souviens que le dimanche matin à 5 heures, il y avait une messe et qu’en rentrant d’aller veiller, on y allait avant d’aller se coucher. On étaient tous frippés, les filles en robe de bal et les gars en veston cravate…
Je me souviens aussi du Frère Sauvageau qui quêtait à l’année pour les oeuvres du Patro St-Vincent-de-Paul. Qui ne l’a pas rencontré dans un bureau ou à la taverne du coin tendre la main…
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8 novembre 2009 à 18 h 50
On ne vas quand même pas garder la laideur qui reste parce qu’avant c’était beau! Ils auraient pas du démolir car ça aurait pu s’intégrer dans un bâtiment contemporain et être très beau. Sauf que là, il reste juste le devant tout brisé et ça n’a plus rien d’intéressant.
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8 novembre 2009 à 19 h 36
Je vais dire comme Pierre-Luc!
Je pense qu’un bon projet serait des condos (plusieurs étages) avec certains logements sociaux à l’intérieur.
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9 novembre 2009 à 00 h 28
Oui, le petit frère Sauvageau était l’ami de mon grand père. J’ai beaucoup aimé cet homme et j’en garde un bon souvenir. C’était un quartier pauvre, mais riche de gens uniques dont il faisait parti. Ils auraient du faire des condos avec l’Église ; cela aurait donné une architecture incroyablement belle ; c’est dommage :-(
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9 novembre 2009 à 09 h 16
Je lis dans le commentaire de Sim21 que le patrimoine, ce sont de «Vieilleries»? Ein? C’est grâce à quoi que les touristes viennent voir Québec? Grâce au Complexe G? Grâce au Grand Théâtre? Toutes ces horreurs facturées au double du prix par le cartel du béton? Ou c’est sûrement pour venir voir le futur édifice Cominar? Ou la banale tour Beenox ? Il y en a des dizaines semblables à Philadelphie, Ottawa et Montréal, Denver, Toronto, etc.
Ben non Sim21, les touristes viennent voir Québec à cause des fortifications, du Château frontenac, etc.! Le patrimoine, c’est notre fonds de commerce, pauvre concombre. Conserver une façade, un vieil édifice, un réseau de vieilles églises, c’Est comme conserver les châteaux de la Loire pour les Français : c’est payant et ça rend la ville attrayante.
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9 novembre 2009 à 09 h 40
Démolir la façade de cette Église et ne pas l’incorporer dans un projet de construction future sous prétexte qu’il ne reste que cela, est comme dire que l’on devrait démolir les ruines du Colisée de Rome ; exemple tiré par les cheveux vous en conviendrez mais ça m’interpelle. Ah, si j’étais pas aussi sentimentale aussi !!!
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9 novembre 2009 à 11 h 22
Il y a une chose de sure, l’église n’aurait jamais dû être démolie. Que ce soit la faute du promoteur ou de la ville, aucun des deux n’avait le droit de faire ce qu’il a fait, car le secteur est sous la juridiction du ministère de la culture.
Pourquoi personne n’a payé pour cette gaffe monumentale?
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9 novembre 2009 à 12 h 47
Ils ont commencé par démolir le côté droit du Patro pour faire place à l’autoroute Dufferin ; ce fut le début de la fin. Elle était si belle, toute peinte en rose et vert tendre.
À l’origine, Saint-Vincent-de-Paul était un homme qui prenait soin des gens pauvres. Des squatters s’y sont installés ; sur une ancienne photo de l’Église laissée à l’abandon que QU a antérieurement publiée, les sans abris allaient s’y réfugier. Pourquoi, si l’idée des condos, d’un hôtel ou autre n’aurait pas fonctionné, ils auraient pu faire un site pour les sans abris ; cela aurait conservé l’aspect d’origine qu’est la Saint-Vincent-de-Paul comme nous la connaissons encore aujourd’hui.
C’était un bijou architectural ; de l’extérieur, non, mais l’intérieur c’était magnifique. Enfin, le mal est fait maintenant :-(((
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9 novembre 2009 à 13 h 23
Tant que la façade tiendra là, debout, il y a de l’espoir…
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10 novembre 2009 à 12 h 39
M. Roberge vous avez entièrement raison, quant à toi sim21, je crois que le professeur d’histoire que tu as eu à l’école ne s’est pas bien fait comprendre ou encore c’est que tu n’allais pas à tes cours.
Le patrimoine ce n’est pas des vieilleries… alors j’aimerais que tu entre dans ta petite tête les phrases que mon professeur d’histoire m’a dit un jour «L’histoire a été écrite pour que l’homme ne fasse pas deux fois la même erreur» et c’est pour cela qu’il y a des «vieilleries» comme tu dis, pour que quand on les voit on se souvienne…. Alors sans patrimoine réponds donc toi même à ta question… A quoi ressemblera la ville dans cent ans???????????
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12 novembre 2009 à 08 h 47
Très bonne question Carmen. Imaginons ce que serait Québec si Lord Dufferin n’avait pas mené sa bataille pour conserver les fortifications. Québec n’a pas besoin d’un faiseur de marketing (genre Clotaire Racaille) pour se faire dire ce qu’elle est. Son image de marque, elle le doit à un acte de conservation du patrimoine fort : la conservation de ce que d’aucuns, à l’époque, qualifiaient de vieilleries inutiles, les fortifications. Après, tout découle : le style architectural de Québec inspiré d’un moyen-âge qui n’a pas vraiment existé, mais qu’on a pu imaginer grâce à la présence de vieilles fortifications. Les tourelles, les toits de cuivre, etc.
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