Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Toponymie et Histoire: La décision pour Henri IV

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 décembre 2009 30 commentaires

Un refus

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Voir aussi : Québec La cité.


30 commentaires

  1. Patrick Matte

    2 décembre 2009 à 14 h 34

    Il faudrait aussi revoir le fameux nom « Robert-Bourassa » donné à la hâte à l’autoroute Du Vallon. Avec le Boulevard Henri-Bourassa, ça fait deux axes nord-sud à Québec qui portent le même nom et je me rend compte à l’usage que les gens sont confus quand ils les nomment.

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  2. Grégoire Moulin

    2 décembre 2009 à 14 h 44

    Ça fait plus de 30 ans que les quartiers Les Saules, Duberger et Neufchâtel sont fusionnés à Québec et, aussi incroyable que celà puisse paraître, des gens continuent d’inscrire le nom de ces anciennes villes comme adresse.

    La fusion des 13 villes de l’ex CUQ avec Québec remonte déjà à près de huit ans et, une fois de plus, plusieurs inscrivent toujours le nom de leur ancienne ville à leur adresse.

    Imaginez donc pendant combien de temps encore l’usage de « du Vallon » sera utilisé avant que le nom change dans la tête des gens… Ce sera long!

    Les choses évoluent lentement à Québec…

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    • julien

      2 décembre 2009 à 15 h 23

      ca prend pas mal de temps en effet, mais on n’entend presque plus St-Cyrille au lieu de René Lévesque…

      Il faut être patient…

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    • Seb

      2 décembre 2009 à 18 h 28

      C’est pas juste à Québec. C’est un comportement humain.
      Les gens ont des habitudes et ça ne change pas du jour au lendemain.

      Par exemple, Baie-Comeau a fusionné dans les années 80 et la plupart des résidents utilisent encore les dénominations Hauterive et Baie-Comeau pour désigner le secteur où ils habitent.

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  3. sgauvin Utilisateur de Québec Urbain

    2 décembre 2009 à 15 h 45

    Heureux de la décision du comité. Monsieur Deltell devrait concentrer ses efforts sur quelque chose de plus important. Car comme projet principal pour le nouveau chef de l’ADQ, ça ne vole pas haut.

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    • heron23

      2 décembre 2009 à 19 h 59

      Ce n’est certainement pas son « projet principal ». Ceci dit, j’aimerais bien qu’on salue la Bravoure (la Lâcheté ?) de nos gouvernements qui envoient NOS frères et soeurs se faire tuer, handicaper ou torturer mentalement en Afghanistan pour une cause perdue d’avance.

      Voire, pour une cause politique qui n’aura jamais rien changé dans la défense de « nos valeurs », et encore moins dans celle des femmes afghanes.

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      • Pat

        3 décembre 2009 à 07 h 44

        À ma connaissance, la totalité de ceux qui vont en Afghnistan se sont enrôlé parfaitement volontiarement, et de faire la guerre doit faire parti de la description de tâche dans le contrat d’embauche…

        Qui plus est, une bonne parti de ceux qui sont en afghanistan ont joint l’armée après le début de cette guerre.

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  4. Charles

    2 décembre 2009 à 16 h 01

    Il y a tellement de nouvelles rues qu’il y en aura sûrement pour commémorer non seulement «la bravoure», mais aussi «la vertu», «la gratuité», «la formation continue», «le bien-être», le «don-de-soi», «la prudence», etc. etc.

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  5. Éric

    2 décembre 2009 à 17 h 18

    Un refus ? Cool !

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  6. dave fortier

    2 décembre 2009 à 17 h 49

    Parfait.De toute façon il était évident que Deltell ce servait de
    ce dossier pour ce faire du capitale politique. Et pour l’imagination,
    nous pouvons dire que Deltell n’était en tête de filé lors de la
    distribution.

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  7. Manu

    2 décembre 2009 à 20 h 36

    Qu’on renomme alors le boulevard Courcelette (ou je ne sais plus trop quel nom) qui passe devant le centre de recherche et la base militaire, jusqu’à Shannon (et au-delà de Shannon si on le veut bien). À moins que « Courcelette » (qui est le nom de la « municipalité » où se trouve la base) ait une valeur historique?

    Il y a aussi le boulevard Pie-XI parallèle à Henri-IV sur toute la longueur de Val-Bélair et qui devient justement le boulevard Courcelette devant le centre de recherche. Ne venez pas me dire qu’un pape ait pu faire quoi que ce soit pour Québec (ou même mériter qu’on lui nomme un boulevard de manière générale, pour un pape conservateur dans la suite de Benoît XV). Le seul lien, aussi ténu puisse-t-il être, est d’avoir canonisé Ste-Thérèse-de-Lisieux en 1925. C’était bien avant que la municipalité du même nom ainsi que Val-Bélair fassent partie de Québec.

    Finalement, on peut toujours changer le nom du boulevard de la Colline… semble-t-il qu’il il y a des centaines de militaires qui passent par là tous les jours (d’ici à ce que la rue Lepire soit prolongée pour relier Lac-St-Charles au boulevard Valcartier)

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      2 décembre 2009 à 20 h 55

      Quelque soit le moyen pour atteindre la fin désirée, la proposition de la Commission de toponymie est pleine de sens. Et l’Assemblée Nationale devrait le reconnaître, en le disant clairement.
      Il faut aussi (à mon avis) souligner l’intervention des sociétés d’histoire du Québec. Et le louvoiement du Premier Citoyen de Québec. Que tous connaissent.

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    • Charles

      3 décembre 2009 à 10 h 52

      «Qu’on renomme alors le boulevard Courcelette (ou je ne sais plus trop quel nom) qui passe devant le centre de recherche et la base militaire, jusqu’à Shannon (et au-delà de Shannon si on le veut bien). À moins que « Courcelette » (qui est le nom de la « municipalité » où se trouve la base) ait une valeur historique?»

      Courcelette, Manu, que tu veux faire disparaître est le nom du village du nord de la France où eu lieu la célèbre bataille de la Somme, en novembre 1916. (1ère guerre mondiale, 1914-1918, 50 millions de morts….)

      On reconnaît là l’un des plus grands faits d’armes de cette guerre où nos soldats du 22 ème régiment s’étaient brillamment illustrés en gardant les Allemands à distance malgré leurs assaults répétés.

      Ce n’est pas de ta faute, l’histoire n’est plus enseignée, alors c’est normal, on ne sait pas, ou alors on oublie…

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      • Manu

        3 décembre 2009 à 22 h 08

        Il restera toujours la municipalité de Courcelette où se trouve la base… et il me semble que ce serait justement le bon endroit pour renommer le chemin qui le traverse.

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  8. Georges

    3 décembre 2009 à 08 h 16

    C’est principalement parce que les corps des soldats empruntent l’autoroute pour aller à la base. C’est même pas nécessaire de la renommer au complet juste une partie ça aurait faite l’affaire. La Commission est dans le champs! De « l’enculage de mouches » bureaucratique encore, avec de l’aide du gouvernement Charest!!!!

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    • Pat

      3 décembre 2009 à 08 h 33

      Alors, ils n’ont qu’à renommer la Base de Valcartier – Base de la Bravoure. Je me demande bien c’est qui qui encule des mouches par ici…

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    • Frédéric Utilisateur de Québec Urbain

      3 décembre 2009 à 09 h 30

      La Commission a répondu à une demande précise, voulant que l’autoroute au complet soit renommée. La Commission s’est prononcée sur le projet déposé.

      Les contrepropositions, comme celle voulant que seulement une portion soit renommée, seront semble-t-il étudiées dans un deuxième temps, et certaines proviendront de la Commission elle-même, à n’en pas douter.

      Un organisme comme la Commission de toponymie n’a pas à se prononcer sur un projet non présenté, sur une rumeur de projet, ou sur un amendement apporté après le dépôt du projet.

      Ce n’est pas de l’enculage de mouche, ce sont les règles du jeu.

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  9. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    3 décembre 2009 à 10 h 09

    Décevant. Si on ne veux pas que le nom d’Henri IV disparaisse on n’a qu’à nommer la Place Royale, lieu hautement touristique et foyer des célébrations des Fêtes de la Nouvelle-France, du mon de  » Place Henri IV  » et ainsi l’histoire sera restaurée…

    Mais que quatre fonfons se butent à refuser un élan du coeur envers nos braves après 7,200 signatures et une motion unanime de l’Assemblée Nationale, ne milite pas pour maintenir cette commission plus longtemps, ces empêcheurs de tourner en rond, ces enculeurs de mouches…

    Après avoir viré à l’envers tout la ville de Québec en changeant 850 noms de rues, les voici tannés de faire des changements pour respecter les citoyens et nos braves soldats qui combattent pour maintenir la paix sur notre terre de liberté. Assez, c’est assez…

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    • Simon Bastien Utilisateur de Québec Urbain

      3 décembre 2009 à 10 h 19

      Tsé, le refus de débaptiser une autoroute pour lui donner une appellation ridicule, ce n’est pas nécessairement un manque de respect envers les citoyens et les militaires, au contraire. Faut pas tout mélanger…

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    • Frédéric Utilisateur de Québec Urbain

      3 décembre 2009 à 10 h 35

      Fernand strikes again.

      1. Renommer la place Royale, l’un des plus vieux toponymes de Québec? Ça, c’est du grand pelletage de problème par avant. Votre sensibilité historique semble particulièrement atrophiée, mon brave…

      2. La réponse de la Commission de toponymie est claire, elle ne rejette pas le principe, mais le moyen. C’est également la position de la Fédération des sociétés d’histoire du Québec. PERSONNE ne casse du sucre sur le dos des militaires dans ce dossier. C’est le MOYEN qui ne fait pas l’unanimité.

      3. Il n’y a PAS de motion unanime de l’Assemblée nationale. J’ai fait des recherches, dans la transcription des débats et auprès de la Bibliothèque de l’Assemblée nationale, et il n’y en a tout simplement pas. L’apparente unanimité politique vient de l’appui du PQ, exprimé en chambre par la députée Carole Poirier, et de l’appui du caucus libéral de la région de Québec. Oui, il y a un appui politique, mais non, il n’y a pas de motion unanime de l’Assemblée nationale.

      4. Il n’y a PAS d’élan du cœur des citoyens. 7200 signatures, c’est une très faible proportion de la population de la capitale. Une pétition contre le projet en recueillerait plus. Autour de moi, je ne connais personne qui approuve le projet, et ce n’est pas faute de ne pas en avoir discuté abondamment. Bonsoir l’élan du cœur.

      5. Vous confondez la Commission de toponymie du Québec et le Comité de toponymie de la Ville de Québec.

      Assez, c’est assez, comme vous dites.

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    • Charles

      3 décembre 2009 à 11 h 13

      Les 850 noms de rues, c’était pour les 13 «rues des érables» et des huit «1ère avenue». Il n’y a pas quatre boulevards Henri IV.

      Revenez-en, à la fin. La fusion Stadacona-Québec en 1608 vous empêche-t-elle encore de dormir?

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    • Manu

      3 décembre 2009 à 22 h 09

      Il y a une rue en cul-de-sac près de chez moi. Je vais proposer qu’on la renomme « rue Fernand Trudel ».

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  10. Marc-Olivier Labrecque

    6 décembre 2009 à 11 h 59

    « qui se battent pour maintenir la paix sur notre terre de liberté »

    Je me suis jamais senti en danger. Non je la prends pas au sens patriotique cette guerre. Je considère plus qu’on est allé pour aider notre ami de l’OTAN les USA.

    Les changements de noms pour la ville Fernand tu sais bin que c’est qu’il y avait des noms pareilles comme rue du Golfe.

    Changer des noms de rues c’est brasser de la marde pour des questions hautement symboliques sans aucune utilité. C’est une job lente d’historiens et de linguistes et non de politiciens, qui eux veulent rapidement du capital. Please come again(Apu)

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