Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Les fêtes du 400e : Petites ambitions deviendront grandes

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 juillet 2006 1 commentaire

Source: Alain Bergeron. Journal de Québec, 19 juillet 2006

«C’est clair qu’il n’y aura pas d’événements majestueux en 2008, mais ceux que nous aurons devront être vus comme des fleurs de plus dans notre jardin.» De la poésie? Non, de la vision, celle de Denis Paquet, chargé de projets en tourisme sportif à l’Office de tourisme de Québec (OTQ). À ses yeux, le 400e anniversaire de la ville ne doit pas servir de prétexte automatique à des événements à rayonnement international, mais plutôt de laboratoire pour y pratiquer des expériences.

Voir la suite. Voir aussi cet autre article du même auteur.

Voir aussi : Fêtes populaires et événements publics.


Un commentaire

  1. Manu

    20 juillet 2006 à 10 h 10

    (en réaction à l’article) On manque peut-être de leadership à Québec… en fait, je me dis qu’on n’en manque peut-être pas, mais que dans cas, c’est plutôt qu’on a tendance à le bouder.

    En effet, ceux qui ont le plus de leadership sont généralement les mêmes qui créent des entreprises ou qui se retrouvent à la tête de celles-ci. Ces gens doivent continuellement faire preuve de leadership, mais seulement quelques mois à tous les quatre ans comme nos élus.

    De plus, depuis 400 ans, plusieurs compagnies et plusieurs personnages ont façonné Québec.

    Peut-être devrait-on faire plus de place à des compagnies privées qui auraient envie de suggérer, promouvoir ou même organiser des événements, plutôt que de se limiter à des commandites. Bien sûr, à moins d’un élan incroyable de charité, la compagnie élaborerait une événement qui lui profiterait au moins pour la publicité) mais il devra aussi profiter à la population en général pour être accepté (c’est le but des fêtes après tout).

    Sinon, sans que ça soit une compagnie, ça peut être les personnes qui ont justement le leadership dont je parlais ci-haut qui fassent quelque chose en leur nom personnel.

    Il y en aura sûrement des jaloux du succès des autres pour dire que c’est de « l’argent sale » ou je sais quel autre argument qui ne tient pas la route… mais si on veut qu’il se passe de quoi, il ne faudra pas, quant à moi, s’en remettre qu’aux élus et aux comités.

    L’iniative n’est pas un processus réfléchi, ni l’aboutissement d’une discussion dans une réunion. C’est quelque chose de spontané que certains ont et que d’autres n’ont pas.

    Peut-être toutefois qu’on fait déjà tout ce que je viens de suggérer, mais que simplement personne n’est encore venu frapper aux portes des élus et des comités… Peut-être que l’initiative est une ressource quelque peu épuisée à Québec?

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