Source : Josianne Desloges, Le Soleil, le 3 janvier 2010
(Québec) Le projet de construction d’une passerelle au-dessus de la rivière Saint-Charles, dans le quartier Les Saules, est en voix de devenir une véritable saga. La facture est passée de 1,3 à 2,7 millions $ en deux ans en raison, notamment, des exigences du ministère de l’Environnement, et tout indique que l’inauguration prévue pour le printemps 2010 sera reportée d’un an.
Les travaux aux abords de la rivière devaient débuter l’automne dernier, et les modules devant constituer le pont devaient être fabriqués en usine cet hiver. La Ville ne prévoyait dépenser que 1,3 million $ pour monter une structure sur pieux, longue de 150 mètres, avec des escaliers à chaque extrémité.
3 janvier 2010 à 10 h 23
Après avoir lu l’article du Soleil, j’aurais tendance à laisser tomber le projet. Les autres passerelles sur le parcourt de la rivière ont tous des escaliers et je ne pense pas qu’on verra des « personnes à mobilité réduite » et des poussettes traverser le pont pour aller aux Galeries de la Capitale à pied.
Monsieur Poirier est très probablement de bonne foi dans ce dossier, mais il faudrait rester réaliste.
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3 janvier 2010 à 11 h 24
Quel commentaire stupide ! Ça te « surprendrait ». Tu en sais quoi ? Les autres ont des marches, donc celui-ci doit en avoir. Les gens à mobilité réduite, les poussettes, les vélos ne peuvent pas passer ailleurs. Donc ils ne doivent pas passer sur le nouveau. Il semble bien que tout le monde ne soit arrivé en même temps en 2010… Pour ton information, le handicap et les contraintes viennent d’un état, le reste d’un handicap vient des contraintes qu’on met. Par ailleurs, la conception du projet a été faite par des incompétents. Est-ce qu’on envisagerait de construire un pont pour les voitures avec des marches ? Non. Un lien piétonnier inclusif de tous les usagers relève de la même conclusion. Et par rapport à l’hiver, quel entretien envisage-t-on ? A-t-on pensé que des marches sont une contrainte supplémentaire au déneigement ? Et finalement par rapport au coût, c’est drôle, je n’entends jamais personne scandalisée lorsque le coût d’un projet routier explose.. C’est simple : l’asphalte et le béton pour les bagnoles, ça fait bander bien des gens au Québec.
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3 janvier 2010 à 11 h 55
Au contraire… projet routier ou autre, il y en a toujours plusieurs pour manifester leur mécontentement.
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3 janvier 2010 à 16 h 50
T’es pas obligé d’être aussi agressif mon grand…
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3 janvier 2010 à 18 h 16
Agressif ? T’es pas mal chochotte mon petit !
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3 janvier 2010 à 11 h 47
Moi je déteste leur ponts de merde et leur satanées pistes en poussières boueuse qui construisent sur le bord de cette rivière. Qu’ils fassent donc des pistes en bois ou en pavé de pierre (vraies ou fasses) accessible à tout le monde qui se rendent quelque part! Là, on a plusieurs pistes qui longent les routes, des ponts construits à côté de ponts routiers, c’est plein de boue, des escaliers cheap… Je n’en reviens pas du gaspillage d’argent! Si ce pont là peut être fait pour être vraiment utile à tout le monde et SURTOUT accessible et sécuritaire l’hiver! ce serait probablement une des premiers constructions vraiment utile qu’ils font dans ce coin là.
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3 janvier 2010 à 12 h 07
j’en peux plus de te lire Pier Luc..
depuis ton arrivée, je me désintéresse tranquillement de lire les commentaires parce que je sais que tu y aura une opinion niaise et impertinente..
Je suis un utilisateur passif du site, alors ne me la ramène pas avec des « si t’a qqch de plus intéressant a dire…blahblahblah.. »
À tous les autres, merci de faire de Q.U. une expérience agréable
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3 janvier 2010 à 16 h 56
A moins que je ne me trompe ce blog est public, donc tous ont le droit de s’y exprimer à moins que les modérateurs s’y opposent.
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4 janvier 2010 à 14 h 19
Il me semble que ce droit de s’exprimer donne aussi le droit à Lecteur Blasé d’exprimer son point de vue sur un participant non ? Il n’a pas demandé à Pier Luc d’arrêter d’écrire.
Ceci dit, la contribution de Lecteur Blasé serait plus pertinent s’il confrontait Pier Luc sur ses idées plutôt que sa personne.
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3 janvier 2010 à 17 h 06
Donc on oublie tout les gens qui marchent le long de ces sentiers pour le simple plaisirs et non pas pour leur côté pratique.
Tu devrais t’assoir quelques instant le long d’un de ces sentier et essayer de voir qui se balade et qui transite.
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3 janvier 2010 à 18 h 17
@ Louis
t’a malheureusement raison…
sans rancunes Pier Luc
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3 janvier 2010 à 11 h 53
Ce projet est comme celui du prolongement du métro de Montréal, toutes proportions gardées. Il n’y a pas de dépassements de coûts, mais des mauvaises estimations basées sur des mauvais paramètres. Ça a l’avantage de faire avaler facilement la pilule. Ainsi, sous-estimer la zone inondable ou carrément ne pas tenir compte, a des incidences : dans le contexte d’inondations, quels impacts auront-elles sur l’infrastructure comme sur le milieu humide ? Quelle improvisation !
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4 janvier 2010 à 11 h 23
Le plus gros coût est de changer la portée du projet. Initialement, ça prenait une passerelle pour que les gens ne traversent plus sur le pont de glace, et maintenant, c’est rendu une voix utilisable par tout le monde (sans escaliers). Si le besoin avait été clair depuis le début, on aurait sauvé des mois dans la réalisation du projet et on aurait évité de publier des chiffres qui ne correspondent pas à la réalité.
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3 janvier 2010 à 11 h 58
Curieux que l’article ne mentionne pas que ce n’est pas la première fois que le projet est reporté. La passerelle devait d’abord voir le jour à l’été 2008 il me semble.
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3 janvier 2010 à 12 h 18
Il y a des opposants sur des projets routiers, oui, mais quand entend-on les bons contribuables scandalisés des dépassements de coûts ? J’ai hâte de voir le coût total de l’autoroute dans le parc, qui aura certainement des dépassements importants, et la réaction du public.
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3 janvier 2010 à 12 h 58
j’ai cherché et çà semblait trop loin..mais je me souviens d’un projet qui était une passerelle incurvée qui avait plus l’air d’un oeuvre d’art que d’autre choses, est-ce que c’était le même projet ?
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3 janvier 2010 à 16 h 26
Pour répondre à ton interrogation, non il ne s’agit pas de même projet. Le projet dont tu fais mention était une initiative privé d’un artiste qui voulait implanter une passerelle entre le Parc Victoria et la rue Bourdages pour un accès au Boul. Hamel. Je ne sais pas, par contre, de ce qu’il est advenu de ce projet de pont piétonnier. Il est probablement « tomber à l’eau » fautes de financement.
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4 janvier 2010 à 16 h 31
300 mètres c,est long, ce que l’on m’a expliqué c’est que le site est des plus complexe, accès et surtout conditions environnementales très restrictives. L’écart de cout provient de la problématique de la mise en oeuvre sur le site, dommage, j’ai hâte de voir le résultat construit.
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4 janvier 2010 à 18 h 10
Bon, l’écart de coût semble être justifié : contraintes environnementale, il faut allonger le pont; et contraintes d’utilisateurs suite aux demandes des citoyens, il ne faut pas qu’il y ait de marches pour les gens avec les poussettes, les cyclistes et les gens à mobilité réduite.
Alors comme tout s’explique, et que ce pont semble un besoin urgent pour ce secteur, laissons la Ville trouver le manque à gagner et construisons-le ce pont!
Pas d’quoi discuter pendant 19 commentaires, selon moi…
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4 janvier 2010 à 21 h 47
Une bébelle de ce prix faudrait le mettre payant…
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4 janvier 2010 à 22 h 24
Je me souviens que cette passerelle devait être construite à la hauteur de la rue De Celles, alors je demande bien pourquoi le ministère de l’environnement à zoné les berges inondables, parce que dans les années 80 un barrage fut érigé pour régler justement les problèmes d’inondations sporadiques à l’époque. Étrange…
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4 janvier 2010 à 22 h 29
Oups, j’ai oublié d’écrire que le barrage est en amont de la future passerelle.
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4 janvier 2010 à 22 h 42
Au départ, on souhait faire un pont pour éviter un détour à pied de 3 km… pour des gens qui devront quand même marcher environ 1 km. Aller-retour ça fait quand même 2 km au lieu de 6 km, ce qui n’est pas rien à pied.
Disons qu’on rend ça accessible aux personnes à mobilité réduite. Qu’est-ce que ça va donner? Il n’y a rien de « directement accessible » de chaque côté. Pas de commerce, pas d’école, pas rien… En fait, il y a la promenade du parc linéaire, mais c’est déjà hors de question pour les personnes à mobilité réduite. Il reste dans tous les cas une petite ou bonne marche à faire, peu importe l’origine ou la destination.
Bref, l’idée est de sauver quelques kilomètres de marche, et probablement aussi de désenclaver (pour la marche du moins) tout le secteur Nord des Saules qui n’a que le Boulevard de l’Ormière comme point d’entrée/sortie, pour accéder au parc linéaire, à plus d’autobus ou aux Galeries de la Capitale après une marche de 3km, au lieu de 5km. Dans tous les cas, rendre cela accessible aux personnes à mobilité réduite ne donnera rien.
Je doute qu’il y ait, par année, plus d’une personne ou deux à mobilité réduite qui prendra ce pont pour se sauver 2km de « marche ». Disons 2 par année, 4 aller-retour. 1,4 millions de plus pour 200 passages, ça fait 7 000$ de plus du passage. À ce prix là, on va se cotiser pour offrir un transport adapté à ces gens pour faire le « détour ».
Donc… l’argument des personnes à mobilité réduites est bidon.
Pour les vélos, il suffit d’élargir d’un pied les escalier et de clouer des planches sur les marches qui suivent la pente de l’escalier. Ne reste plus alors qu’à monter ou descender les marches en roulant son vélo à côté de soi.
Quelques milliers de dollars de plus pour l’opération. Pas 1,4 millions.
Les poussettes… d’accord, transformons les escaliers en longues rampes. 100 000$ de plus peut-être, pas 1,4 million.
Et les berges inondables? Là il va falloir qu’on m’explique… il n’y a pas de problème à avoir des pieux dans une zone inondable non? Plusieurs pont ont des pilliers directement dans l’eau. Où est cette complexité accrue? Puis sérieusement, personne à la ville ne se doutait que les berges de la rivière St-Charles étaient inondables? On vérifie automatiquement « l’inondabilité » des berges lorsque quelqu’un demande un permis de construction ou de rénovation, et là on va nous dire qu’en plus d’être trop imbécile pour se douter de l’évidence, on est trop con pour vérifier?
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5 janvier 2010 à 14 h 19
« Et les berges inondables? Là il va falloir qu’on m’explique… »
Je suis pas sur mais ce que je comprends c’est que le projet de base prévoyait un escalier qui aboutissait en zone inondable, ou bien les piliers prévus pour les escaliers n’étaient pas proportionnels au terrain dans lesquels ils étaient plantés. Quelque chose du genre…
Bien sur un pilier peut être planté dans de la « swamp » mais ca coute pas le même prix que sur le rock.
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5 janvier 2010 à 00 h 32
Donc Manu, ça te surprendrait que les personnes à mobilité réduite utilisent cette installation, donc il faut les exclure. C’est bien ce que je comprends ?
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5 janvier 2010 à 12 h 29
C’est peut-être ce que tu comprends, nul autre ne le sait, mais ce n’est vraiment pas ce que je disais.
Un handicap qui implique « mobilité réduite » signifie justement qu’il n’est pas possible, pour une personne affligée de ce handicap, de se déplacer partout de la même manière qu’une personne qui n’en est pas affectée. On peut généralement palier à ce handicap, mais pas toujours. Par exemple, il serait déraisonnable de paver une plage sous prétexte de la rendre « accessible ». Toutefois, dans les cas plus « quotidiens », on trouve généralement une alternative raisonnable comme, par exemple, des rampes d’accès au lieu de quelques marches pour atteindre la porte d’un édifice. Une alternative déraisonnable seraut de niveler la ville pour que les portes du rez-de-chaussée d’un édifice arrivent au niveau de la rue de tous côtés.
Ainsi, plutôt que d’exclure ces personnes, je suggérais qu’on envisage d’autres solutions. Notamment, offrir gratuitement le transport adapté, sur demande, serait probablement coûteux et exagéré comme solution, mais tout de même moins coûteux que les modifications envisagées. De plus, puisque les points d’intérêts (incluant les résidences) de part et d’autres de la rivière sont pas mal tous de 500 à 2500m de la rivière, le transport adapté serait encore plus pratique.
Mais comme j’arrivais en bout de ligne à suggérer qu’on fasse de longues rampes d’accès plutôt que des marches (et à y penser, on peut très bien faire les deux) pour le cas des poussettes, cela pourrait aussi convenir à plusieurs types de handicap relatifs à la mobilité.
Est-ce plus clair ainsi?
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5 janvier 2010 à 13 h 53
La solution du transport adapté est une fausse solution, d’abord parce que, oui, elle serait plus coûteuse comme tu le mentionnes, mais surtout compliquée à gérer. Mais encore une fois, ça va dans le sens de l’exclusion. C’est vrai que le handicap ne permet pas d’avoir accès partout et n’importe quand. Tout le monde s’entend là-dessus. Par contre, dans ce dossier on est dans un mauvais projet mal planifié dès le départ. Il faut que les devoirs soient refaits. Dans la philosophie d’une adaptation à la plus large clientèle possible.
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6 janvier 2010 à 08 h 16
youhou! Le transport adapté n’était pas une solution sérieuse, c’était seulement pour illustrer que même cette « solution » qui n’est pas très raisonnable serait moins coûteuse que la proposition actuelle.
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6 janvier 2010 à 17 h 48
si elle n’était pas une solution, on n’en parle pas alors ! Tant qu’à dire n’importe quoi !
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6 janvier 2010 à 23 h 48
Comme je viens de l’expliquer et que je vais dire autrement, c’était pour illustrer à quel point l’augmentation de coût de 1,4 millions était « déplacée », considérant que même une alternative déraisonable et trop chère seraient moins coûteuse.
Pas facile la vie….
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7 janvier 2010 à 11 h 59
Je comprenais très bien. Que ton intervention portait uniquement sur une question de coûts, mais tout de même, tu écris plus haut que l’argument de la mobilité réduite « c’est un argument bidon ». Je conclus que tu n’as pas de solution sérieuse. Comme j’ai écrit : dès le départ, ce projet a été établi à partir des mauvais paramètres, si on veut faire un projet cohérent et actuel, il faut qu’il permette un large usage par une large clientèle.
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5 janvier 2010 à 14 h 11
C’était probablement « voulu » dès le départ de mettre des escaliers pour se débarasser des cyclistes qui ont la mauvaise habitude de « foncer dans le tas » (en parlant des piétons). Evidemment ceux qui en font les frais, ce sont les « vrais » handicapés. Pour ce qui est des poussettes, arrivons en ville, c’est pas justifiable d’augmenter les coûts de construction pour des poussettes. Surtout qu’on parle ici d’un pont utilitaire et non pas d’une ballade du dimanche.
Pour ce qui est du Ministère de l’Environnement, j’ai pas tout à fait compris ce qu’ils viennent faire là-dedans, mais s’ils imposent des contraintes, ils devraient aussi participer financièrement à la solution.
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5 janvier 2010 à 14 h 13
2.7 millions, il me semble que c’est beaucoup de $$ pour un simple pont piétonnier.
C’est pas des blagues, à ce prix là on peut acheter un autobus à plancher surbaissé (400k) et le faire fonctionner pendant 23 ans temps plein pour faire la navette ! (100k frais d’exploitation par année grosso modo).
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5 janvier 2010 à 14 h 26
Si ce n’était pas que ca aboutit en plein quartier résidentiel du coté ouest, j’aurais fait mieux encore: un pont pour piétons, cycliste et transport en commun (mais PAS d’autos) pour ainsi raccourcir le futur parcours 803 qui est pris pour faire un grand détour via Père-Lelièvre pour rejoindre les Saules. Ca aurait couté pas mal plus cher, mais ca aurait été rentable à long terme. Sauf que ca n’a pas de bon sens de faire passer un métrobus dans un quartier résidentiel aux rues étroites.
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6 janvier 2010 à 08 h 27
J’avais la même réflexion, et je crois d’ailleurs qu’on en avait parlé dans un autre billet. Peut-être…
Ce que je trouve bizarre du côté ouest, c’est qu’il y a un « terrain » (qui n’est même pas tout à fait en ligne avec les autres terrains) de la largeur d’une rue qui a toujours été laissé libre, et qui n’a visibilement jamais reçu la rue (et le pont) qui était prévue. Cette bande de terrain, dans le prolongement de l’avenue Émile-Henriot, est zonée comme une rue, et se rend jusqu’à la rivière, bien qu’une partie soit gazonnée et l’autre boisée.
Toutefois, je ne comprends pas pourquoi on avait prévu prolonger cette petite rue plutôt que le boulevard Fontenelle qui est plus apte à recevoir un trafic de transit (ou encore, pourquoi n’a-t-on pas plutôt le boulevard Fontenelle avec la rue de Celles de l’autre côté lorsqu’on a tracé les rues).
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6 janvier 2010 à 08 h 30
oups! je voulais dire « pourquoi n’a-t-on pas plutôt ALIGNÉ le boulevard Fontenelle… »
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6 janvier 2010 à 10 h 28
Oui je crois en avoir déjà parlé dans un autre billet. Primo parce que mes propres idées se suivent d’un billet à l’autre, de segundo parce que c’est assez logique pour que d’autres que moi en viennent à la même conclusion.
Je vois très bien le terrain dont tu parles sur Google Maps. Bizz. Etait-ce vraiment pour y aménager un pont ou juste pour déboucher une nouvelle rue en boucle pour y desservir d’éventuels résidents dans la falaise? Remarque aussi le parc entre les rues Pl. Henriot et Pl. Fouquet. On peut croire que le but original était de les relier.
On dirait bien qu’ils ont changé d’idée avec le temps, tout comme avec la sortie du boul. de la Capitale qui était supposé entrer directement dans le quartier. Soit que ce changement d’idée était pour contrecarrer le trafic de transit dans le quartier que ca aurait généré, ou soit parce qu’ils ont laissé le promoteur faire ce qui lui chante.
Effectivement Frontenelle aurait été le choix le plus logique, mais je suis surpris de voir que ca s’appelle « boulevard » alors que cette rue n’a absolument rien d’un boulevard. Je me fais ch… à chaque matin à passer par cette maudite rue avec le bus à tous les matins! Le problème c’est surtout d’être aller zoné résidentiel un zone propice à un lien routier important.
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5 janvier 2010 à 22 h 21
En tout cas, à 2,7 M$, j’espère que ce sera plus que deux douzaines d’habitués qui s’en serviront. Un argument de plus pour la densification.
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