Source: Catherine Bergeron Le Journal de Québec, 25 juillet 2006
Même si Québec est une destination de choix pour les touristes, s’orienter avec des panneaux unilingues francophones n’est pas une mince affaire pour eux. «C’est très difficile de s’orienter et de trouver son chemin», se sont exclamés Suzanne et Winfrid, un couple venant d’Allemagne, en regardant une carte de la ville. Pour les touristes qui ne comprennent pas le français, se diriger dans les différentes rues de Québec est un véritable défi.
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25 juillet 2006 à 09 h 56
http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2006/07/21/AR2006072100501.html?sub=AR
(l’article du Washington Post)
P.S. Créer un hyperlien fut impossible (un message indique que ce serait du spam).
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25 juillet 2006 à 10 h 06
C’est dont ben stupide comme commentaire! Ben oui, les pancartes sont francophones, on est francophone.
Quand j’étais en Allemagne, je n’y comprenais rien aux noms de rues car c’était en allemand même dans les centre-ville. Est-ce que j’en étais surpris?
Ca ajoute au dépaysement non? Surtout qu’à Québec, c’est facile de trouver des gens qui parlent anglais pour aider les touristes.
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25 juillet 2006 à 10 h 21
En tant que passionné des langues, j’avoue que j’aimerais bien voir apparaître des panneaux multilingues au centre-ville, un peu comme c’est le cas à Paris où les indications sont données en français, anglais, espagnol, italien, allemand, néérlandais et japonais. Pour le reste, la rue Sous-le-Cap ne peut tout de même pas devenir la « Under-the-Cape Street » ;-)
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25 juillet 2006 à 10 h 28
Je suis complètement d’accord avec la stupidité de la chose. Il ne faut vraiment pas avoir beaucoup voyagé pour soulever ce problème!
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25 juillet 2006 à 11 h 01
Le problème n’est pas tant les pancartes écrites en français, effectivement dans la plupart des autres villes du monde elles sont uniquement dans la langue locale (bien que l’anglais soit aussi une des deux langues officielles du Canada – mais dans ce cas, il faut mettre des panneaux en français au Canada anglophone), mais plutôt le manque de panneaux d’indication routière.
En effet, avez-vous remarqué qu’aux croisement de routes, de rues etc… il n’y a jamais aucun panneau indiquant quel chemin on peut prendre ?
C’est comme ça dans les grandes villes, les villages, les petites villes, la campagne, la montagne, partout !
Parfois, rarement tout de même, on nous indique un numéro de route… c’est assez déroutant en somme.
Il faudrait faire une gros effort d’installation de panneaux indicateurs partout. Du genre : « Montréal-> » ou «
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25 juillet 2006 à 11 h 37
J’arrive de l’ontario et je peut vous dire que ya une chose pratique que, même moi qui réside à Québec, voudrais bien voir ici.
environs 10m avant une rue ils l’annonce, et la grosseur du paneau indique la grosseur de la circulation de cette rue…
Maudit que ça serais le fun de savoir ou on arrive AVANT d’être dedans à Qc! je suis sur que ça éviterais des accrochages en prime!
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25 juillet 2006 à 12 h 37
j’ai des clients a l’hotel qui m’appellent apres 2 heures qu’ils tournent en rond et ils sont fachés. Pourquoi attendre 2 heures au fait?
Ce qui serait bien ce serait de les cartes montre le sens des rues!
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25 juillet 2006 à 13 h 59
Un autre article publiée sur Québec Urbain il y a quelques jours faisait état de la baisse de la clientèle touristique à Québec cet été. Peut-être que si on tentait de leur faciliter la vie, ils resteraient plus longtemps à Québec et/ou ils auraient plus le gout de revenir.
Et leur faciliter la vie pourrais vouloir dire de la signalisation billingue dans le Vieux-Québec et des cartes touristiques (qui inclueraient des explications sur les directions à prendre) rédigées en anglais, en espagnol ou en allemand s’il le faut. Évidemment, les noms des rues resteraient francophones.
Je ne crois pas qu’utiliser de la signalisation routière et touristique billingue dans la Vieille Ville et aux abords de celle-çi nuises à la survie et au développement de notre culture québécoise francophone. Ceux qui pense le contraire devraient plutot partir en croisade contre toute la musique anglophone qui inondes les oreilles de notre jeunesse!
Une ville comme Québec dont une partie de l’économie reposes sur le tourisme ne peut pas se permettre d’ignorer les besoins particuliers de ses visiteurs dont celui de pouvoir s’orienter un peu par eux-mêmes.
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25 juillet 2006 à 16 h 11
La plupart des touristes n’ont pas de carte ou plan de la ville. Il me semble que c’est un minimum quand tu voyage…non?
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25 juillet 2006 à 16 h 38
Oui c’est certains qu’ils devraient avoir des cartes et des plans. Mais en général ils ont seulement le guide, avec un petit plan pas génial dedans. Illisible ou presque. Pas plus tard que ce matin, j’en ai rencontré 4 qui m’ont demandé le chemin. J’ai dû sortir le plan de Québec que j’ai dans la voiture… :-)
Je crois qu’ils s’attendent tous à trouver un plan gratuit à l’office de tourisme. et je pense qu’il y en a.
Peut-être une (bonne) idée : dans chaque guide, on trouve des infos non pas sur une seule ville (généralement) mais sur une province entière, voire le pays tout entier. Pourquoi ne pas faire des « compilations » de plans de villes d’une région, province, pays ? Le tout dans un guide « cartographique » ?
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25 juillet 2006 à 16 h 51
Lors de nes promenades en Haute-Ville et en Basse-Ville, il se passe rarement une occasion où un touriste ne s’informe pas. Je dois avoir la gueule d’un guide (hihihihi). Encore récemment, on a dirigé un couple américain sur la rue St-Joseph afin qu’il la découvre. Faut dire que rien annonce la présence et les attraits de cette rue à un touriste qui se promène dans le coin.
Mais je fais un constat: Les informations ne leur sont disponibles que dans les hôtels, et les endroits identifiés comme tels sont fort rares. La Maison de l’Information derrière le bunker n’est pas sur un circuit piétonnier habituel pour un touriste.
Et il manque (c’est mon idée) un ascenseur entre la Basse-Ville et la Haute-Ville, à la hauteur d’Honoré Mercier de telle sorte que les touristes aient l’occasion de découvrir les deux endroits.
Enfin, la possibilité de louer un baladeur avec description d’un circuit piétonnier n’existerait pas, ce qui m’a été demandé récemment par un touriste ontarien qui aurait bien aimé l’initiative.
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25 juillet 2006 à 17 h 22
PS: J’ai ajouté le code HTML pour faire un lien comme étant du spam. Ça m’évite bien des problèmes qui serait trop compliqué à expliquer ici.
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25 juillet 2006 à 21 h 17
Bein ils s’attendent à quoi lol… de l’espéranto!? Non, mais sans plaisanter j’ai beau très peu parler anglais, mais je ne me suis jamais privé d’aller aux États-Unis c’est complètement ridicule il faut toujours que le français au Québec se fasse critiquer comme un frein à n’importe de quoi 8-)
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25 juillet 2006 à 21 h 47
Ok Francis. Merci :)
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25 juillet 2006 à 22 h 20
J’ai jamais compris l’histoire des touristes qui ont des problèmes d’orientation en raison de l’unilinguisme des panneaux routies. Entre « Rue Sainte-Angèle » et « Rue Sainte-Angèle / Sainte-Angèle Street / Sainte-Angèle Straße / Via Sainte-Angèle / calle Sainte-Angèle / Sainte-Angèle شارع », qu’est-ce qui est utile? La portion traduite ou la portion qui ne change pas?
Je repose mon cas, comme qu’on dit.
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26 juillet 2006 à 09 h 48
Ce sont les entrées et les sorties d’autoroutes et boulevards qui sont problématiques, et pas seulement pour la ville de Québec. Le problème n’est pas la langue mais la disposition, comme le mentionnait quelqu’un un peu plus haut.
Quant aux panneaux bilingues, je ne suis pas d’accord. La sécurité ne passe pas par le bilinguisme des panneaux.
Je serais curieux de savoir comment le problème a été soulevé, puis retranscrit par la journaliste. Ça a sans doute été une remarque de la part de ces touristes, sans plus, sans drame. Je dirais la même chose en allemagne, et ça fait partie du jeu: il faut se débrouiller et faire ses devoirs de touristes.
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26 juillet 2006 à 10 h 06
« Québec aux yeux des touristes »
…quel pré titre avec ça, et un seul exemple présenté pour tirer un grosse conclusion. Heureusement, il y a du rattrapage dans le reste de l’article, mais où est ce sondage de l’Office du tourisme? De quelle façon a t-il été fait, puis reporté?
Agaçant les titres ficelés par les (soi-disant) journalistes.
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26 juillet 2006 à 10 h 30
Sérieusement, il n’y a rien de vraiment difficile à s’y retrouver à Québec. Il est normal d’avoir à demander son chemin quand on est touriste, mais de là à se plaindre… à moins que les touristes soient de moins en moins futés et qu’ils s’attendent à ce qu’on les prenne par la main avec un plan des rues à tous les coins de rue…
Peut-être en effet qu’il est difficile pour les touristes de se procurer une carte avec les sens unique sur les rues. Toutefois, avec les ressources comme Internet dont on dispose aujourd’hui, je ne vois pas ce qu’il y a de difficile de s’imprimer une petite carte des rues avant de partir de la maison. Ne venez surtout pas me dire que les canadiens anglais et les américains qui viennent à Québec n’ont pas accès à Internet à la maison! Sinon, qu’ils s’achètent un guide « Let’s Go » ou « Lonely Planet » avant de venir ici, il y a là-dedans tout ce qu’il faut, et plus encore. D’ailleurs, les touristes arrivent rarement ici « par hasard ». Normalement, leur visite à Québec est planifiée…
Côté pratico-pratique, on pourrait peut-être ajouter quelques-uns de ces « panneaux bruns qui ressemble à des panneaux de rue », comme ceux qu’on a déjà, qui indiquent quel chemin prendre pour aller à tel ou tel edroit. J’imagine qu’en avoir quelques-uns pour indiquer comment sortir du vieux québec, selon qu’on veuille sortir « par en haut » ou « par en bas ». Peut-être qu’il n’y en a pas assez ou qu’ils ne sont pas assez visibles.
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26 juillet 2006 à 10 h 36
Un peu plus de signalétique, des plans de quartiers aux endroits stratégiques et hop, c’est ok.
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26 juillet 2006 à 11 h 11
C’est quand même drôle que le sujet soit la difficulté de s’orienter… et que sur les cartes routières qui accompagnent l’article du Washington Post, les autoroutes 20 et 40 soient inversées!!!!
No wonder, comme disent les États-Uniens!
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27 juillet 2006 à 10 h 43
Bien que je ne comprenne pas les touristes qui trouvent Québec plus compliquée qu’une autre, on pourrait peut-être installer des grandes cartes avec les principaux attraits touristiques, comme dans les parcs d’attractions ou dans les centres commerciaux. Le tout à dans des endroits stratégiques, comme aux Portes du Vieux-Québec par exemple? Si Québec se sent technologique (ou si budget il y a), pourquoi pas des cartes interactives où on nous indique le chemin à prendre entre un point A et un point B, comme on retrouve d’ailleurs à Place Laurier. Bien sûr, l’échelle est beaucoup plus grande pour une ville que pour un centre d’achats, mais l’idée n’est pas impossible à mon avis…
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27 juillet 2006 à 14 h 43
Ça serait une bonne idée ces cartes interactives.
Je ne suis pas sûr que ça réduirait les « plaintes de désorientation » toutefois. En fait, on ne le mentionne pas vraiment, mais je serais porté à croire que le problème est plus pour les automobilistes qui n’arrivent pas à trouver les bons sens uniques pour se rendre à leur hôtel/auberge/etc. ou qui n’arrivent pas à sortir du Vieux-Québec. Les cartes interactives sont malheureusement peu utiles dans ce cas (sauf celles installés dans les ordinateurs de nagivation dans les voitures)
À pied il est généralement plus facile de trouver son chemin, d’autant plus qu’on n’est pas containt par les sens uniques (et se serait encore mieux avec les cartes interactives…)
Peut-être que ça irait déjà mieux si les établissement qui reçoivent des touristes leur décrivaient un peu mieux le chemin « le plus facile » pour se rendre et qu’ils leur expliquaient aussi comment repartir.
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5 août 2006 à 22 h 20
Ouais, bof, en tant que touriste, tu dois bien avoir un « indice » que Québec est la capital du Québec, province francophone… donc, faut quand même pas exagérer et faire un minimum d’effort… Si encore l’alphabet était différent mais non; même les touristes sont assistés de nos jours !
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