Scènes urbaines: Pont de Québec 3

La pollution lumineuse que le pont projette…

6 commentaires

mimir

28 juillet 2006 à 10 h 15

Désolée mais je ne peux m’empêcher de trouver cette « pollution » fascinante et jolie. Avec les reflet sur les nuages, on dirait une aurore boréale! ;)

Je ne suis pas pour la mise en lumière de n’importe quel lieu et bâtiment mais celui-ci en vaut la chandelle je crois!

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gérald gobeil

28 juillet 2006 à 10 h 49

« mais celui-ci en vaut la chandelle je crois »: C’est l’cas de le dire! :-)

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Stephen

28 juillet 2006 à 13 h 05

Encore une suite de projet inutile.

J’aimerais savoir quel est la quantité d’électricité consommes ces spots.

C’est du bouffage d’énergie pour pas grand-chose et qui paye la facture d’électricité, c’est nous.
On chiale à chaque année quand on reçoit à la hausse notre compte de taxes municipale.

Dire qu’ Hydro Cubec nous lave les oreilles en publicité (que l’on paye encore) pour qu’on éteindre une ampoule de 40Watt pour sauvé de l’énergie.

Tant qu’à avoir des idées de cave comme ça, on pourrait faire installer des lumières dans le centre du fond du fleuve à chaque kilomètre de Gaspé jusqu’à Ottawa. Ça serait la ligne pointillé du bateauroute du fleuve.

Vu de la lune ça serait super.

Stephen

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29 juillet 2006 à 10 h 16

C’est comme une aurore boréale, sauf que ca empêche de voir les vraies. Si bien que dans quelques années, des enfants de Québec diront des aurores boréales que c’est comme la lumière du pont de Québec.

Ce serait bien que pour le nouveau projet les promoteurs s’engagent à compenser en éteignants des spots ailleurs dans la ville. Comme c’est la chanbre de commerce qui est derrière la relance de ce projet, je pense qu’il devrait être possible de s’entendre par exemple avec les Meubles Léon qui sont des sources importantes de pollution lumineuse.

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Ludovic

29 juillet 2006 à 12 h 09

Parmi les plus grands pollueurs de lumière: les concessionnaires. Quand tu arrives de Laurentienne Nord et que tu descends la côte vers Québec, c’est hallucinant la quantité de lumière qu’il y a dans le secteur qui débute avec le Power Center Lebourneuf et les lumières de Bouvier et des concessionnaires sur la rue Marais.

On se demande pourquoi on met en plus des lampadaires de chaque côté des deux autoroutes, comme si il était nécessaire d’en rajouter.

(Ceci dit, je comprends le besoin des concessionnaires d’éclairer leur parc notamment pour réduire les vols, bien que l’éclairage pourrait être réduit grandement, mais je ne comprends pas la nécessité qu’on éclaire autant nos autoroutes en milieu urbain, on pourrait facilement diviser par deux le nombre de lampadaires et on serait encore capable de lire un roman en plein nuit au bord de l’autoroute, mais la grande question demeure: qui lit au bord de l’autoroute en pleine nuit?).

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