Patrick Bellerose
Jobboom.com
En 2020… Le quartier Saint-Roch de Québec est devenu un haut lieu de la créativité mondiale, à mi-chemin entre SoHo et la Silicon Valley. Artistes, scientifiques et ingénieurs en technologies de pointe s’y retrouvent dans les cafés pour discuter de la prochaine start-up à succès. Le soir venu, ils se dirigent vers le Diamant, le nouveau complexe théâtral construit à même un tunnel d’autoroute désaffecté, imaginé par le créateur de renommée internationale Robert Lepage.
17 janvier 2010 à 23 h 58
Vous êtes chanceux de compter sur des génies tel Lepage et Lalibertée, bien que ce dernier n’est pas souvent là, il brasse lui aussi de beaux projets pour la région de la Capitale, une sorte de projet de tourisme de luxe à la St-Sauveur nottament.
Pour ce qui est de ce projet de complex culturel dans le cap diamant, je ne sais pas de quoi ça peut avoir l’air, mais si c’est une idée de Robert Lepage…Checkez bein ça.
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18 janvier 2010 à 06 h 44
« En 2020… Le quartier Saint-Roch de Québec est devenu un haut lieu de la créativité mondiale, à mi-chemin entre SoHo et la Silicon Valley. »
Wow…St-Roch a un bon potentiel de la à dire que ça va devenir un haut lieu de la créativité mondiale je crois qu’il serait temps que certaines personnes reviennent sur terre.
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18 janvier 2010 à 19 h 53
Tout à fait d’accord. Faut quand même pas capoter… C’est vraiment le complexe de la grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le boeuf.
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18 janvier 2010 à 08 h 48
Petit détail : rendu dans la « caverne », on est dans St-Jean-Baptiste, et non plus dans St-Roch. Du moins, il me semble…
Mais bon, ça ne change rien au projet qui, je l’espère, sera à la hauteur de ce à quoi on s’attend avec Lepage.
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18 janvier 2010 à 11 h 16
ça dépend si l’accès se fait par la basse ville, on aura plus tendance à dire que c’est dans St-Roch…Les bretelles d’autoroute démolies qui y donnaient accès étaient dans St-roch.
Mais, il me semble que la Cap Diamant est plus sur les plaines d’Abraham et que ce projet est plutôt le Diamant de Robert Lepage…
Mais, je ne proposerai pas de changement de noms de peur de raviver certains vieux débats ;-)
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18 janvier 2010 à 12 h 38
Le « Cap Diamant » est le promontoire sur lequel est situé la partie est de la haute-ville, notamment son quartier historique. C’est ce qu’on trouve comme « définition » un peu partout, mais ça n’en donne pas les limites.
Je ne trouve pas non plus nulle part où on précise si ses limites son « humaines » (i.e. à partir d’un certain point on donne un autre nom) ou plutôt géologique (selon le roc en dessous par exemple).
Je sais toutefois que de St-Jean-Baptiste à Ste-Foy (inclusivement il me semble, donc disons jusqu’à Cap Rouge), tout le versant Nord (grosso modo au nord du chemin Ste-Foy/rue St-Jean, mais peut-être jusqu’à la Grande-Allée là où c’est en pente jusque là) s’appelle ou s’appellait « côteau Ste-Geneviève ». Aujourd’hui je crois que tout ce qu’on appelle ainsi c’est la lisière boisée dans la falaise, plus ou moins abrupte qu’on retrouve de Ste-Foy à St-Jean-Baptiste.
Alors peut-être qu’on a décidé un jour que la falaise s’appellai Cap-Diamant à partir de la Côte d’Abraham. Ce me semble être le cas d’après ce qu’on en dit, mais je n’en suis vraiment pas certain.
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18 janvier 2010 à 12 h 39
Excusez les pleins de nombreuses fautes… ça ne me rentrera jamais dans la tête de me connecter d’abord!
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18 janvier 2010 à 14 h 41
Définition de « cap » selon http://fr.wikipedia.org/wiki/Cap :
Un cap, est une avancée du littoral dans une étendue d’eau.
J’ai lu quelquepart qu’au début de la colonie il y avait de l’eau jusqu’au pied de la côte d’Abraham.
Donc
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18 janvier 2010 à 22 h 37
L’estuaire ou l’embouchure (je ne sais trop) de la rivière St-Charles, se rendait près de la rue St-Roch, qui fut tracée près de la rive il a fort longtemps… Le reste (à l’exception du côté sud-ouest de la rue Sous-le-Cap) est du remplissage. Pour être téteux, ça voudrait dire que, selon la définition ci-dessous, le cap se teminerait à peu près chez Emmaüs. Mais bon… quand on passe par là, ça donne quand même envie d’appeler un cap. Tout comme le château Frontenac n’est pas vraiment un « château » pour certains.
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18 janvier 2010 à 11 h 18
Il faudrait en profiter pour créer un lien piéton et souterrain entre la haute et la basse-ville, en profitant des tunels déjà existant. C’est bête à dire, mais c’est la partie de la ville la plus exposée aux intempéries et l’hivers c’est particulièrement difficile. Alors, s’il y avait un couloir publique qui longerait le complexe culturel, cela serait très visible!
Avec un ascenseur…
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18 janvier 2010 à 12 h 21
Le maire souhaitait voir une remontée mécanique pour vélos dans le coin… il y aurait peut-être moyen de combiner tout ça.
Ça pourrait aussi être l’occasion, si ce n’est pas déjà dans les plans, de relier Place Québec et la Place d’Youville au Diamant et donc à ce couloir
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18 janvier 2010 à 13 h 35
Historiquement, le Côteau Ste-Geneviève est la terre, d’une trentaine d’arpents, appartenant à Abraham Martin. Elle était localisée entre ce qui est aujourd’hui la rue Claire-Fontaine et la Côte Ste-Geneviève, depuis, en gros, René-Lévesque jusqu’à la limite de la falaise.
Géomorphologiquement, le cap Diamant est l’extrémité est de ce qui était, y a quelques 15,000 ans, une ile qui émergeait dans la Mer de Champlain entre ce cap jusqu’aux hauteurs de Cap Rouge.
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18 janvier 2010 à 15 h 37
Science-Fiction.
La Ville a des endroit pas mal importants où dépenser les taxes de ses citoyens.
Continuez de rêver….
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18 janvier 2010 à 16 h 34
C’est une vision audacieuse, mais inspirante. Beaucoup de potentiel, à mon avis, et je ne trouve pas que c’est de la science fiction de rêver à un pôle international des arts. Tout le nécessaire est déjà présent et il ne reste qu’à créer de l’infrastruction et assurer la cohésion de la communauté. Donc, la supporter.
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19 janvier 2010 à 08 h 18
St-Roch est déjà à mi-chemin entre SoHo et Sillicon Valley!
D’accord… géographiquement parlant seulement. C’est probablement irréaliste de croire à une telle prestance de St-Roch dans le monde, mais une chose est certaine, on peut faire encore mieux que ce qu’on a déjà là, et cela semble invitant d’essayer.
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20 janvier 2010 à 11 h 13
Une chose est certaine, que cela soit pour ce projet ou un autre, la localisation prévue comblerait un trou béant entre St-Roch et la basse-ville du vieux. Entre le dessous des bretelles et la place ou le musée de la mairesse était supposée être construit, il y a quantité de lieux où développer. Des projets seraient le bienvenu dans ce secteur de la ville. Ils permettraient aussi de donner une chance à l’extrémité est de la rue St-Joseph, qui ne se remet toujours pas du mail…
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