Source : Ville de Québec
Le plan directeur permettra le développement d’un réseau cyclable intégré, aux ramifications dans chaque quartier, reliant les grands parcs et équipements publics. Ce réseau sera connecté à celui du transport en commun et répondra aux attentes de la population pour tous ses déplacements tant utilitaires que récréatifs.
Le plan directeur repose sur trois orientations principales :
Aménager un réseau cyclable continu, intégré et sécuritaire pour tous.
Encourager l’usage du vélo pour les loisirs et les déplacements en complémentarité avec les autres modes de transport.
Contribuer, par l’usage du vélo, à la réduction des coûts économiques, de santé, environnementaux et sociaux liés aux déplacements.
La version finale du Plan directeur du réseau cyclable est en cours d’adoption par le conseil municipal. Le document d’orientation est accompagné d’un plan d’action composé d’une série de mesures et de propositions d’interventions planifiées sur un horizon de dix ans.
Le lien sur le site de la ville ainsi que les documents « pdf » reliés.
Beaucoup d’articles sur le dossier « vélo » sur Québec Urbain. J’ai choisi celui-ci qui nous parlait de la vision du réseau par François Picard.
6 février 2010 à 21 h 33
S’ils peuvent arranger ça pour qu’il n’y aie plus de cul de sac dans les pistes cyclables et qu’il y aie des intersections adaptés aux cyclistes ce serait bien. Selon Transport Québec les vélos sont comme des voitures et doivent traverser avec le trafic lorsque la lumière est verte. Mais, qu’est-ce qu’on est censé faire pour traverser une intersection quand la piste continue tout droit et coupe la rue avec un simple stop? Je ne sais pas si quelqu’un ici comprend ce dont je parle. On arrive sur le coin et on a le choix entre; faire un stop puis continuer tout droit avant que des voitures arrivent ou, aller dans la rue et se mettre dans le trafic pour traverser (ce qui me semble souvent très dangereux). Moi ce que je fais, qui est illégal, j’utilise la traverse pour les piétons.
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6 février 2010 à 21 h 41
Si tu parles d’une bande cyclable, ben tu te mets dans la voie de gauche, je vois pas le problème.
Par contre quand c’est une piste cyclable séparée physiquement ben c’est un peu le bordel mais c’est faisable. Tu continues jusqu’à l’autre côté, tu te mets en avant des chars dans la direction parallèle et tu continues à partie de là.
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7 février 2010 à 14 h 48
et vous avez avec ce lien les différentes pistes de la région ainsi que dans l’ensemble de la province
http://www.ville.quebec.qc.ca/citoyens/loisirs_sports/velo.aspx
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7 février 2010 à 16 h 07
Moi, ce que j’ai hâte de voir confirmer, c’est le budget et surtout l’échéancier de réalisation…
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7 février 2010 à 19 h 29
Le prix par tête de pipee de nouveaux usagers sera faramineux comme toutes les initiatives verdoyantes.
Je suis pourtant pour que le réseau puisse être plus intégré…
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8 février 2010 à 10 h 59
Toute proportion gardé, autant cher que la construction d’un pont pour 90 000 automobilistes de la rive sud? Non j’en doute beaucoup…
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10 février 2010 à 02 h 03
Je suis pour un meilleur réseau de pistes cyclables plus intégré.
Cependant, c’est fallacieux comme argument. Le pont ne sert pas qu’aux gens de la rive-sud. Il sert aussi aux touristes, aux compagnies qui doivent livrer des trucs un peu partout dans le monde. De plus, le pont sert 365 jours par années, la piste cyclable pas autant.
Le pont est nécessaire pour l’économie de Québec. Et comme l’économie de Québec est en bonne santé, il est plus facile d’avoir les moyens de se payer un bon réseau de pistes cyclables.
Je suis pour les pistes cyclables croyez-moi, mais ce genre d’argument (comparer les pistes cyclables au pont Pierre-Laporte) n’apporte rien au débat.
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7 février 2010 à 22 h 32
LE plan directeur blablabla aménager un réseau cyclable blablabla…
On disait la même chose au temps de Lallier avec un échéancier de 5 ans.
Je trouve parfois qu’elle coûte pas mal cher l’administration de la ville pour faire des photocopies…
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8 février 2010 à 14 h 10
Je ne vois pas beaucoup de différences entre cette mouture et la dernière.
Pour le quartier St.Jean Baptiste, il y a encore cette idée de con d’aller foutre une piste sur les rues les plus accidentées (Lockwell, St.Joachim) au lieu de la mettre la ou les gens se promènent: la rue St.Jean.
La ville de Québec manque de couilles par rapport au vélo. Ici à Montréal il y a eu beaucoup d’initiatives musclées dans les dernières années qui ont réduit la place des voitures pour créer de véritables liens cyclables intégrés sur les artères principales. Une ville ou il est agréable de se promener à vélo ça se crée, et pas en allant cacher des kilomètres de pistes cyclables dans des rues arrières qui ne sont pas sur les parcours naturels des cyclistes.
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8 février 2010 à 14 h 27
Au moins, et si je comprend bien, la piste cyclable passera sur rené lévesque entre bourlamaque et salaberry? Très bonne nouvelle, je pensais que la piste passerait sur fraser dans ce secteur, afin de satisfaire les commercant qui ne voulait pas perdre une dizaine de place de stationnement.
Quel manque de vision de la part des commercants! Une piste cyclable devant chez eux fera passer probablement des centaines de consommateur devant leur commerce chaque jour. Alors qu’une dizaine de stationnement, ca ne sert presque qu’à personne.
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9 février 2010 à 12 h 50
Comme je l’ai déjà écrit ici, y’a à peu près rien de fait dans ce qui était prévu dans le plan d’action pour 2009, incluant le simple marquage de peinture sur le sol! Comme quelques uns l’ont déjà mentionné, les bottines du maire ne semblent pas suivre ses babines!
Les irritants demeurent. Il n’y a toujours pas de passerelle qui enjambe la rivière St-Charles vers le parc les saules. Il est toujours interdit d’aller à vélo au parc de la plage Jacques-Cartier pour des raisons de «sécurité». Il y est même interdit de jouer au frisbee! Bonjour la convivialité. Le passage sur le pont de Québec est toujours une expérience traumatisante pour qui n’est pas un amateur de vélo intrépide et assuré. Le bitume sur le chemin du Roy à St-Augustin est digne d’un champ de mines. Même la simple hamonisation de l’ouverture du réseau cyclable entre l’ancienne ville de Québec et les villes fusionnées n’est pas encore chose faite. Il y a du pain du la planche!
Par contre, il existe quelques éclaircies dan ce ciel gris de promesses non livrées: les nouveaux bus articulés devraient tous être équipés de supports à vélo pendant la période du 15 mai au 15 octobre. Ça permettra pour les moins en forme d’entre nous de revenir en haute-ville frais et dispo après une balade au cap Tourmente ou au lac St-Charles.
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