Source: Pier-Luc Dupont Le Soleil, 4 août 2006
Ses défenseurs vantent son calme, sa verdure, sa sûreté et ses grands espaces. Ses détracteurs la disent morne, repliée sur elle-même et antiécologique. Tous s’entendent sur un point: la banlieue, avec ses haies bien taillées et ses maisons proprettes entourées de pelouse, est devenue une icône du american way of life. Bon ou mauvais, cet idéal doit beaucoup à Frank Lloyd Wright, architecte américain né en 1867 et mort en 1959, à 92 ans. «Il a été l’une des deux grandes influences architecturales du XXe siècle», considère Philippe Lupien, spécialiste en architecture et animateur de l’émission Visite libre, à Télé-Québec. «On ne peut comprendre ce siècle sans Wright et Le Corbusier.»
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9 août 2006 à 19 h 20
Et limiter l’ana.lyse de l’oeuvre de Frank Lloyd Wright au couple banlieue/architecte serait malhonnête ; l’article met bien en évidence la question environnementale. Le site notamment. Architectes comme urbanistes auraient intérêt à revisiter son oeuvre.
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