Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 11 février 2010
Encore à «l’âge de pierre» en matière d’émission de permis, la Ville de Québec planche sur un système informatisé qui permettra de diminuer leur nombre de 40 % d’ici trois ans, de réduire les délais et de faciliter les échanges avec les citoyens grâce à la mise en ligne.
Déjà, une liste de 54 permis et certificats de travaux de construction ont été éliminés, comme par exemple pour changer ou rénover un revêtement de toiture, ajouter un avant-toit, une corniche, etc. Et il ne s’agit que d’une première mouture, a averti le maire de Québec.
Beaucoup d’efforts fait par la ville pour améliorer les services avec ses citoyens, dont le 3-1-1.
11 février 2010 à 22 h 02
J’imagine qu’on vise principalement les modifications ou réparations à une propriété qui ne changent pas l’évaluation foncière, et qui ont peu ou pas de chance de contrevenir à un règlement de zonage. Si c’est le cas, ça éliminera effectivement un paquet de « paperasserie » qui doit être faite simplement « pour la forme ».
Et la mise en ligne des demande de permis sera vraiment pratique, et économique pour la ville. Même s’il doit y avoir des gens qui évaluent des demandes comme auparavant, on sauvera au moins l’étape de la saisie de données (pour « rentrer les demandes dans le système » comme on dit).
Un bon système pourra aussi fournir toute l’aide et l’information pertinente aux demandes de permis, notamment avec des liens sur les règlements (qui seront aussi en ligne si ce n’est déjà fait). De plus, il pourra procéder sur le champ à certaines validation d’usage pour éviter qu’une demande revienne quelques semaines plus tard avec un « il manque tel renseignement », ou « telle information ne correspond pas à telle autre ».
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