Discute de la ville de Montréal, mais pourrait bien s’appliquer à Québec.
Source: Cécile Gladel, collaboration spéciale, La Presse 14 août 2006
Vous souffrez à cause de la chaleur estivale? D’autant plus, si vous habitez en ville. Le béton et l’asphalte urbains ne sont pas reconnus pour leurs propriétés rafraîchissantes. Que faire? Verdir. Planter des arbres, faire grimper de la vigne sur les murs, remplacer l’asphalte par de l’herbe, fleurir les balcons. Et pourquoi ne pas verdir les toits au lieu de les goudronner de noir?
Les îlots urbains de chaleur sont des endroits spécifiques en ville où la température est plus élevée que l’environnement immédiat. Elle peut varier de 2 à 8 degrés entre Montréal et la banlieue. On note même des variations notables entre certains quartiers montréalais. Si vous pensez avoir moins chaud en allant vous promener au Jardin botanique ou dans le parc du Mont-Royal, c’est la réalité et non une impression. La cause de ces variations? Ces îlots formés de béton et d’asphalte qui absorbent puis recrachent une chaleur étouffante, surtout durant la nuit.
Voir la suite.
14 août 2006 à 11 h 12
Je recommande cet article sur le site de la NASA.
http://earthobservatory.nasa.gov/Study/GreenRoof/
Des chercheurs ont utilisé les satellites de la NASA pour les aider dans une recherche sur le sujet. Les images (p.2 de l’article) sont éloquentes!
Signaler ce commentaire
14 août 2006 à 12 h 05
Des plantes grimpantes, de la vigne installé sur les murs d’une résidence ! Mon beau-père a cela sur sa maison sur le boulevard Laurier sauf que cela n’a pas été sans lui occasionner bien des problèmes, je m’explique : Les ramifications ont entré dans le mortier (joint entre 2 briques) ce qui a causé un affaiblissement de la brique. Il a du tout arraché pour la remplacer par une autre sorte de vigne, laquelle ? Je ne saurais répondre. Les vignes se sont également infiltré dans les gouttières si bien qu’elles ont du être remplacées. L’implantation de ces vignes n’ont pas été mises en place pour une raison écologique comme le mentionne l’article en question, c’était tout simplement pour la beauté de la chose. Le côté de la maison où se trouve la vigne est à l’ombre de grands arbres matures.
Signaler ce commentaire
14 août 2006 à 14 h 37
J’ai toujours été fasciné par les demeures en briques dont les parements étaient couverts de lierre grimpant. Et j’ai souvent lu sur le sujet pour découvrir que deux clans d’affrontent, soit les pour et les contre.
Justement, dans l’édition de fin de semaine du journal Le Soleil, un article en faisait l’apologie et M. Larry Hogson (un expert) recommandait le procédé. Sans doute qu’il ne connaissait pas le beau-père de Lisette! :)
Signaler ce commentaire
14 août 2006 à 14 h 50
J’ai lu l’article en question, c’est pourquoi j’ai émis un commentaire à ce sujet. Parfois, lorsque l’on a jamais vu un problème survenir à nulle part, on croit à tort qu’il n’existe pas. Ça n’a pas découragé mon beau-père pour autant, il y a toujours des vignes qui ornent sa maison et c’est vrai que c’est joli. Je ne connais pas Monsieur Hogson personnellement mais je l’ai vu à multiples reprises lors de ses chroniques.
Signaler ce commentaire
14 août 2006 à 19 h 34
« J’ai toujours été fasciné par les demeures en briques dont les parements étaient couverts de lierre grimpant. »
Gérald
Ben, moi-aussi!!
Signaler ce commentaire
14 août 2006 à 19 h 51
Puisqu’on y est, j’ai un jour parcouru à pied le site de la Harvard University. On dirait que le temps s’y est arrêté il y a fort longtemps. Et une profusion de bâtiments en briques rouge avec lierre grimpant. Que de beaux souvenirs!
L’immeuble où je demeure est justement en briques rouges et nous sommes 32 copropriétaires. J’aimerais bien inscrire dans les projets le lierre grimpant. Vous tiens au courant! :)
Signaler ce commentaire
14 août 2006 à 19 h 56
J’ai vu celui du Musée du Quai Branly. Fort impressionnant!
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mur_v%C3%A9g%C3%A9talis%C3%A9
Signaler ce commentaire