Source:Katia Bussière Le Journal de Québec, 18 août 2006
Environ 90 % des animaux sont toujours au Jardin zoologique du Québec, six mois après sa fermeture au public, et plusieurs d’entre eux s’ennuient tellement des visiteurs qu’ils en font une dépression. Il a été impossible de savoir, hier, comment les animaux sont traités dans l’enceinte du zoo, comment ils se comportent, combien d’employés s’y trouvent encore et quand les animaux seront tous transférés.
C’était le silence total, tant du côté de la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq) que du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs du Québec. Les employés ont reçu le mot d’ordre de ne pas parler aux médias. Des chiffres devraient être disponibles aujourd’hui, a indiqué un porte-parole du Ministère.
18 août 2006 à 12 h 46
Quel beau gâchis…
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18 août 2006 à 13 h 13
Moi j’étais POUR la fermeture du Zoo dans la mesure où tous les animaux étaient transférés ailleurs et dans les meilleures conditions possibles pour que cessent les dépenses reliée`à son maintien.
Là on apprend que tous les désavantages (dépenses, entretien, etc.) sont demeurés, sans les rares avantages (site ouvert au rare public).
Putain de dossier merdique…
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18 août 2006 à 13 h 14
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« reliées », et non « reliée »…
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18 août 2006 à 17 h 07
Je pense qu’on a pas fini d’en entendre parler. Gardons l’oeil ouvert et le bon.
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18 août 2006 à 17 h 14
Je viens de relire l’article.
Si les employés ont reçus l’ordre de ne rien dire, c’est donc qu’il y a un problème, un imprévu qu’ils ne savent ou ne peuvent gérer.
Est-ce qu’il existe un moyen d’alerter quelqu’un afin d’éviter un massacre?
Quand je dit quelqu’un, c’est un niveau national et même international. Pas ce gouvernement de merde
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18 août 2006 à 18 h 12
Greenpeace ??? Ou organisme de défense des animeaux ???
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18 août 2006 à 23 h 44
Le Parti Vert a besoin d’ailes et le mérite…
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