Le «bloc-appartements» est mort, vive l’immobilier sélectif horizontal!
Entre la bourse qui joue aux montagnes russes et les variations du marché immobilier, les investisseurs cherchent leurs repères. Pendant ce temps, plusieurs tendances lourdes se positionnent à l’échelle planétaire et dessinent les opportunités de demain et d’après-demain. Martin Provencher s’est plongé dans l’analyse de ces indicateurs économiques et sociaux et nous présente sa vision de ce que l’avenir réserve aux investisseurs immobiliers dans le livre «L’immobilier en 2025 – Investir autrement».
La suite dans Québec Hebdo
15 mars 2010 à 14 h 52
Je me demande bien sur quoi il se fonde. Malheureusement, l’article n’explique pas son argumentaire et ne fait que donner ses prédictions.
Personellement, j’aurais cru qu’avec le prix de l’essence qui augmentera toujours, les immeubles en hauteur, concentrés en zone urbaine, m’aurait paru comme avantagés.
Mais bon qui sait.
Les prédictions économiques, en particulier dans le marché volatile de l’immobilier d’aujourd’hui, valent ce qu’elles valent. Pas grand chose.
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15 mars 2010 à 20 h 30
Jeff Rubins dit exactement le contraire dans son plus récent livre. Je crois que monsieur Provencher n’est pas vraiment à jour dans ses connaissances sur l’économie de l’énergie. Son analyse ce base sur des spéculation en fonction des nouvelles tendances sur le marché actuel et non sur une analyse réaliste du contexte économique de demain.
http://www.editionshurtubise.com/catalogue/1871.html
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16 mars 2010 à 08 h 56
Je ne crois qu’une telle chose, une « analyse réaliste du contexte économique de demain », existe. On peut tout au plus parler de prévisions plausibles ou réalistes. À ce chapitre, plusieurs peuvent être contradictoires bien que tout aussi réalistes les unes que les autres.
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16 mars 2010 à 10 h 34
Outre les écolos enragés, tout le monde rêve de son unifamiliale, havre idéal pour élever une famille…
J’ai une maison isolée depuis 1971 et penser aller dans un bloc, pour entendre le voisin tousser ou faire la fête et me faire marcher sur la tête, je n’y suis plus habitué. Quand on est entassés au centre-ville on crée de s ilots de chaleur urbain plus que les maisons isolées.
Voilà où il prend sa motivation pour parler ainsi…
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16 mars 2010 à 17 h 05
Je ne suis pas un écolo enragé, loin de là. Et j’élève une famille en ville et je ne rêve vraiment pas d’un unifamiliale. En fait, c’est la dernière chose qui m’intéresse. Évidemment, j’aimerais bien avoir ma maison, mais comme je tiens à rester dans l’arrondissement de la cité, je doute que je trouve quelque chose d’abordable.
C’est d’ailleurs le cas de la plupart des gens qui doivent s’éloigner en banlieue pour se payer une maison. Je pourrais m’acheter une maison en banlieue demain matin, mais ça ne m’attire vraiment pas.
La plupart des gens dans mon entourage pense comme moi. Pourtant la plupart des gens que je connais sont assez bien nantis, mais ils n’ont aucun intérêt pour la banlieue. C’est peut-être une question d’âge. Si vous êtes propriétaire depuis 71, j’imagine que vous êtes un boomer alors que je suis dans la fin vingtaine.
Vous voyez le bruit des voisins comme un désavantage. Je suis d’accord. Mais en banlieue, on doit endurer son SEUL voisin, qui souvent ne se mêle pas de ce qui le regarde. On doit faire des milliers de kilomètres annuellement juste pour se rendre au travail. Il n’y a rien à faire. Et en plus on est étiquetté « banlieusard » :-P
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