Diane Tremblay
Journal de Québec
12/04/2010
Le nombre de mises en chantier dans la région de Québec a fait un bond vertigineux de 129 % au cours du premier trimestre de 2010.
Selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), 1 125 unités ont été mises en chantier entre janvier et mars 2010, comparativement à 491 à la même période l’an dernier.
Tous les segments de marché ont enregistré une hausse : maisons individuelles, copropriétés et logements locatifs. D’après Élisabeth Koulouris, analyste principale, la stabilité du marché de l’emploi et la faiblesse des taux hypothécaires contribuent à maintenir une forte demande.
Dans les centres urbains de 10 000 habitants et plus au Québec, on dénombre 8 354 mises en chantier pour les trois premiers de l’année.
12 avril 2010 à 13 h 08
N’y avait-il pas un billet à ce sujet il y a quelques semaines?
Au risque de me répéter, selon Les Affaires, la principale raison de tout ces mises en chantiers est la température anormalement clémente de 2010. Plusieurs chantiers sont devancés et ce, dans l’ensemble de la province.
On ne peut donc se fier à des statistiques sur une si petite fenêtre de temps.
Attendons au moins la fin de l’année.
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12 avril 2010 à 14 h 10
Un excès de confiance sur le marché immobilier peut s’avérer très dangeureux comme c’est le cas présentement aux États-Unis. C’est une superbe nouvelle pour Québec en ce moment, mais en espérant que les acteurs principaux (banques en particulier) feront preuve d’un peu de réserve contrairement à leurs confrères étatuniens… à suivre.
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12 avril 2010 à 15 h 04
C’est toujours le même phénomène qui se répète :
Quand les taux d’intérêts sont très bas, les promoteurs s’activent pour construire au plus vite, car ils savent que les taux vont monter.
Quand les taux seront trop élevés, il ne se constuira plus rien.
Nous connaitront alors une période de vaches maigres pour au moins 10 ans.
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12 avril 2010 à 15 h 32
Je remarque que depuis quelques temps il y a un peu plus de maisons à vendre qu’avant et que celles-ci ne partent plus comme des petits pains chauds.
Pourquoi la construction est-elle encore en ébullition alors que les usagées commencent à moins bien se vendre? Est-ce que les gens « boudent » les maisons usagées?
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12 avril 2010 à 18 h 51
Oui, surtout les bungalows qui sont considérés comme trop petits pour les standards de plusieurs…
Deux dans une maison de 4 étages; ça c’est de la densification.
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12 avril 2010 à 21 h 23
Lorsque le prix est correct ça part vite aussi dans l’usagé. Du moins de ce que j’ai vu. C’est certain qu’il y en a qui voient la manne et qui pousse un peu sur le prix demandé. C’est ces maisons qui ne se vendent pas actuellement.
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