Source: Yvon Larose, Au fil des événements, 31 août 2006.
Le campus compte un nouveau bâtiment. Depuis quelques semaines, une «verrière» quatre-saisons, située au centre de la cour intérieure du pavillon Charles-De Koninck, accueille les personnes venues prendre un repas à la cafétéria du pavillon et désireuses de se retrouver dans un lieu spacieux, calme et baigné de lumière naturelle. Une passerelle vitrée relie directement la cafétéria au nouveau bâtiment de 560 mètres carrés construit au coût de 3,5 millions de dollars (…)
5 septembre 2006 à 21 h 02
Quel projet de merde aucune considération pour l’édifice existant… style post moderne dépassé, dommage quels architectes sans respect du lieu existant…
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5 septembre 2006 à 21 h 10
Moi au contraire, j’adore: le mariage « zen » verre noir et béton blanc est toujours intéressant selon moi. À preuve, certains bâtiments du « vieux » Campus de Saint-Augustin (reportage en préparation). Et vive la lumière et la transparence dans l’architecture moderne!!
J’attends toutefois de faire une visite en ces lieux pour me faire une idée plus précise du bâtiment…
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5 septembre 2006 à 21 h 14
Moi je trouve que c’est tout ou changement de la cour en béton qu’il y avait… si ma mémoire est bonne.
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5 septembre 2006 à 21 h 17
Pour une fois ! je trouve qu’un édifice en verre et métal est bien à sa place…
« Quel projet de merde aucune considération pour l’édifice existant… »
Hum disons tant qu’à refaire le vieux
« style » du pavillon De Koninck j’aime mieux cette verrière… « moderne » ;-) :-P
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5 septembre 2006 à 21 h 23
D’après l’image il semble y avoir un toit végétal, ce serait une bonne idée de prendre une photo de celui-ci vu de haut…
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5 septembre 2006 à 22 h 05
Campus St-Augustin? wow. Ai hâte. J’y ai étudié lors de la création du projet. De beaux immeubles tout blancs installés en forêt avec une coupe réduite et mesurée des arbres. On aurait dit que les édifices avaient été « plantés » en forêt. Je sais que les lieux ont été évidemment transformés depuis. Merci Jean Cazes :)
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5 septembre 2006 à 22 h 46
Sincèrement j’aime vraiment beaucoup. C’est une idée géniale. En plus de cette lumière naturelle, le toit vert aussi est intéressant. Selon l’article, 60% de la surface du bâtiment est fenêtrée.
Cela peut sembler ridicule mais les employés qui y travailleront à l’année auront moins l’impression d’être à l’intérieur.
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6 septembre 2006 à 05 h 06
Ce que j’aime par dessus tout, c’est son toit vert. Il est très visible de l’intérieur du pavillon et c’est d’ailleurs surtout ça que l’on voit. Et à l’intérieur de la verrière, c’est très éclairé. J’aurais aimé avoir ça quand j’étais étudiant!
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6 septembre 2006 à 06 h 57
Moi je trouve quand même que ce projet aurait mérité une recherche plus approfondie sur son insertion dans la cour du pavillon. On a un édifice avec de très grandes qualités architecturales le De Koninck, et on vient y foutre un projet post moderne, néo-classique à l’intérier, la jonction avec l’édifice existant est ratté, les intérieurs complétement déconnectés et d’un style restaurant qui seront passés date dans 3 ans, non désolé, pour moi ca demeure une mauvaise insertion. Pour le toit végétal bonne idée, depuis quelques temps on en voit de plus en plus, le plus important étant celui de la biblio de Charlesbourg qui je crois a fait des petits fort heureusement. Mais pour revenir au campus, ce projet va dans le sens des autres récents construits à l’université, ordinaires sans plus…
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6 septembre 2006 à 07 h 37
Bien évidemment ! Les Architectes devraient tous vous consultez avant de mettre en branle un projet. Hummm :-(
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6 septembre 2006 à 08 h 52
C’est pas que j’aime pas, mais le Pavillion De Koninck est totalement désuet à l’intérieur. Je comprend très mal comment on peut bâtir quelque chose d’aussi futile quand on pourrait rénover l’intérieur de ce bâtiment négligé.
Mais bon…
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6 septembre 2006 à 09 h 48
Rien n’empêche de rénover par la suite! Là on avait besoin d’un agrandissement semble-t-il. On peut aussi considérer ça comme une rénovation de la cour « presque intérieure » qu’il y avait avant.
et Gérald : non, c’est plutôt le campus de l’Université Laval!
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