Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Aurait-on trouvé le « code » de Québec ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 mai 2010 12 commentaires

Source : Yves Therrien, Le Soleil, le 6 mai 2010

(Québec) Le code de Québec pourrait se résumer en deux mots: romance et abondance. Ce n’est pas le code culturel de Clotaire Rapaille, mais celui trouvé par une agence de marketing qui a lancé une perche aux internautes de Québec dans le réseau Facebook. En mars, une image du Château Frontenac dans des publicités sur Facebook annonçait un grand sondage sur Québec. À ce moment, Le Soleil avait cherché sans succès l’identité de ce mystérieux commanditaire derrière les questions pour savoir quelle image exprimait le mieux les sentiments de l’internaute interrogé par rapport à Québec.

la suite

La saga Rapaille, une saga qui s’est terminée en « queue de poisson ».

Voir aussi : Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.


12 commentaires

  1. Antoine

    6 mai 2010 à 17 h 58

    contrat de Rapaille 300 000
    paiement de la ville pour mettre fin au contrat de rapaille 250 000
    honoraires reçus par Rapaille pour n’avoir rien produit 250 000…

    C’est qui le cave… hein… ?

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  2. Pier Luc

    6 mai 2010 à 18 h 27

    Ça aurait pu marcher… Et on est pas certain que le code trouvé via Facebook marche. Je pense qu’on devrait oublier Clotaire et passer à autre chose.

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  3. Antoine

    6 mai 2010 à 19 h 49

    George : c’est exactement ce que je me dis, là il est mort de rire !

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    • Pier Luc

      6 mai 2010 à 21 h 41

      En plus on ne sais même pas si on aurait eu quelque chose d’utile. Là en tout cas on a rien eu. La ville aurait du faire une enquête pour savoir si les « codes » qu’il avait trouvé pour des entreprises avaient fonctionnés. Qui sait, son CV est embellis mais il est peut être pas si incompétent que ça. Il était louche mais bon… dans cet affaire c’est nous les perdants. Maintenant, lui il peut vendre ce qu’il a trouvé à des entreprises. La ville n’en a pas pris possession…

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      • Manu

        6 mai 2010 à 22 h 15

        En fait, pour les entreprises, il me semble qu’il ne cherchait pas le code ce celles-ci, mais plutôt le code des clients potentiels pour savoir comment leur vendre leurs produits (par exemple, une compagnie X veut sauter dans le marché d’un pays Y). Pour Québec, c’était l’inverse : on cherchait le code de la « marchandise » à vendre. Une enquête à ce sujet n’aurait pas vraiment permis de savoir si ses « codes » étaient bons ou pas.

        Mais comme tu dis, là ce qu’il a trouvé peut éventuellement servir à des entreprises qui veulent vendre à Québec (est-ce que la ville n’a réellement pas pris possession des résultats intermédiaires?). Toutefois, à part le Planet X, je me demande bien qui pourra tirer parti de « sado-masochiste »!

        Blague à part, j’imagine qu’on peut vendre des projets à Québec avec un argument du genre « avec [le projet, le produit], gens de Québec, vous pourrez dorénavant vous comparer avantageusement à Montréal ». Mais juste à voir de nombreuses discussions sur ce site au cours des dernières années, on le savait bien avant l’aventure Rapaille.

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  4. jaco

    7 mai 2010 à 00 h 05

    L’idée de départ n’a jamais été de trouver un code « secret »….
    L’idée de départ était simplement de montrer que Québec était devenu une ville dynamique..

    Certains Gourous des ondes propageaient une image apocalyptique de la ville et ils étaient tres écoutés par des poules sans tête…

    Alors on a engagé un autre Gourou (Rapaille) pour contrebalancer…
    Gourou contre Gourou pour poule sans tête!

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  5. probitaille

    7 mai 2010 à 09 h 07

    Entièrement d’accord.

    De la façon que Lambeaumeur dépence notre argent, pas de
    doute, c’est L’ABONDANCE.

    Pour la ROMANCE, rien de vaut une petite promenade sur
    d’Estimauville-Ste-Anne, Boul. Hamel, Marie de l’incarnation et
    Vanier pour un renouveau conjugale. Ce sont nos Venises a nous.

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    • ELalonde

      7 mai 2010 à 10 h 04

      lol…est bonne…

      Quand à ce soit disant « code »…on peut se demander à quoi il sert vraiment. Si le gouvernment provincial faisait le même exercice pour le Québec ou le fédéral pour le Canada, on serait les premiers à dire qu’ils pellettent des nuages et dépense des fonds publique pour rien.

      Mais comme il parle d’une ville, les gens locaux replacent leur perruque et se disent…wow, on fait parler de nous.

      Exercice inutile tant qu’à moi.

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  6. Réal Utilisateur de Québec Urbain

    7 mai 2010 à 10 h 23

    ROMANCE … pour une ville qui est pour beaucoup de gens de Québec la capitale du PUNK et du HEAVY METAL au Québec, sinon au Canada, y a comme un hiatus ou décalage … :-)

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  7. Pier Luc

    8 mai 2010 à 08 h 01

    Le code ça peut guider les designer graphique quand ils préparent des maquettes de projets de communication. Du moment que c’est pas trop bizarre. Le Sado-Maso je ne sais pas trop à quoi ça aurait servis.

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