Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le Musée National des Beaux-Arts: Un agrandissement sans stationnement

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 mai 2010 35 commentaires

L’Association des commerçants de l’axe Montcalm (Espace Cartier) s’inquiète du manque de stationnements envisagé avec la construction du nouveau pavillon du Musée national des beaux-arts du Québec.

« Actuellement, les renseignements que nous avons laissent croire qu’aucun espace supplémentaire de stationnement ne serait prévu lors de la construction du nouveau pavillon, alors qu’il y a une volonté d’augmenter l’achalandage. Par ailleurs, qu’arrive-t-il avec le règlement municipal qui oblige l’ajout de nouveau stationnement lors d’une construction? Bref, il est irréaliste de penser que cette situation ne causera aucun problème aux commerçants et aux résidents du quartier Montcalm » affirme Marc-André Pâlin, directeur général d’Espace Cartier.

En 2008, 90 % des répondants d’un sondage réalisé par le Centre local de développement de Québec sur l’accessibilité à la clientèle dans le quartier Montcalm affirmaient que le secteur commercial était difficilement accessible en raison du manque de stationnements.

« En n’ajoutant pas d’espace de stationnement supplémentaire, il y a un fort risque que les visiteurs du musée utilisent des stationnements en périphérie du pavillon d’accueil. Cette situation aura comme conséquence directe de diminuer l’accessibilité aux commerces et d’amoindrir la qualité de vie des résidents du quartier » déclare monsieur Pâlin

« Il faut absolument que la Ville de Québec se penche sur ce dossier, car le manque de stationnements est un problème majeur dans notre secteur commercial. Plusieurs commerces souffrent de cet état de fait, car il n’y a aucun doute qu’une personne qui tourne en rond pendant quinze minutes pour se trouver un stationnement quitte le quartier et s’en va ailleurs pour effectuer ses achats » conclut Marc-André Pâlin.


Source: Communiqué d’Espace Cartier

Le stationnement dans le quartier Montcalm

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Les commerces de ma ville, Tourisme, Transport en commun.


35 commentaires

  1. Pier Luc

    12 mai 2010 à 07 h 54

    Franchement! Et ils vont encore dire de prendre l’autobus pour se débarrasser du problème. Le ic, c’est que le service n’est pas franchement génial dans plusieurs secteurs de la ville…

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    • Geneviève Taillon

      12 mai 2010 à 11 h 23

      @ Pier Luc
      C’est effectivement ce que John Porter a répondu à la conseillère municipale Anne Guérette qui s’inquiétait de l’absence de nouveaux stationnements dans le projet… «Les visiteurs utiliseront le transport en commun pour accéder au nouveau pavillon du Musée»! Vive la pensée magique… Si les visiteurs actuels ne prennent pas le bus pour se rendre aux actuels pavillons du Musée, pourquoi le prendraient-ils pour se rendre au nouveau pavillon?
      En attendant, ce sont les résidents et les commerçants du secteur Montcalm qui vont écoper.

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  2. François Magellan

    12 mai 2010 à 12 h 28

    Les touristes utiliseront le transport en commun et chose rare ici, ils marcheront. Le touriste culturel est ouvert d’esprit et s’adapte beaucoup plus facilement aux « contraintes ». Les empotés comme les Québécois n’auront qu’à faire la même chose. Quant aux commerçants, à les écouter, il n’y aura jamais assez d’espaces de stationnement. En ce qui concerne ceux dans le secteur, j’aimerais savoir si l’association des commerçants à déjà fait une enquête origine destination et quel moyen de transport a été utilisé par la clientèle. Et quand la réponse est l’automobile, si la personne serait prête à opérer un changement modal en lui suggérant des alternatives. Le métrobus est à proximité, le 11, le 7. Il ne faut pas avoir beaucoup voyagé dans sa vie pour juger que le transport en commun n’est pas adéquat dans ce secteur. Bien sûr, un musée n’est pas un centre commercial avec sa profusion de cases de stationnement et heureusement. Mais si des personnes insistent : débloquons plusieurs milliers de dollars, voire un ou 2 millions de fonds publics pour le stationnement – souterrain il va sans dire – ou encore, amputons une section des Plaines d’Abraham pour parquer des bagnoles. Ça cadrerait tellement avec le cadre muséal mais surtout, ce serait tellement québécois. C’est notre musée national après tout ! ! !

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    • Sébastien

      12 mai 2010 à 12 h 34

      Très bonne réponse !

      Étonnant qu’en 2010 on en soit encore à toujours faciliter la vie aux automobilistes alors qu’on se trouve en plein centre-ville, à proximité des parcours d’autobus et dans un secteur où il y a déjà des stationnements payants…

      Plus les contraintes à l’automobiles s’accentueront, plus la pression sera forte de bonifier le transport en commun en ville. Ceci dit, en autant qu’on contrôle le développement (voir : densifier, redévelopper et limiter l’étalement en périphérie).

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      • Geneviève Taillon

        12 mai 2010 à 13 h 34

        «Plus les contraintes à l’automobile s’accentueront, plus la pression sera forte de bonifier le transport en commun.»

        D’accord. Mais le problème, c’est que la contrainte à l’automobile que le Musée crée en ne prévoyant pas d’espaces supplémentaires pour les visiteurs supplémentaires que le nouveau pavillon est supposé attirer, devient une contrainte à la qualité de vie des résidents et au potentiel d’affaires des commerçants du quartier.

        Les résidents du centre-ville, les premiers d’ailleurs à restreindre leur utilisation automobile puisqu’ils travaillent et font leurs courses à pied, ont tout de même besoin de stationnements de rue. Si on souhaite qu’ils se lassent du centre-ville, en continuant à leur rendre la vie urbaine de plus en plus impossible, on est bien parti! Alors là, vive l’étalement que leur exode en banlieue va provoquer, vive le retour à l’utilisation quotidienne de l’automobile, etc.

        Embêter et faire payer constamment les gens qui font que le centre-ville est aussi un cadre de vie, un endroit où on HABITE, ne nous mènera nulle part, ni au plan écologique, ni au plan économique, ni à aucun plan.

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      • Patrick

        18 mai 2010 à 22 h 46

        C’est pour ca qu’il y a des vignettes Mme Taillon.

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    • Matrix

      12 mai 2010 à 14 h 23

      Tu crois vraiment que les touristes utilise le RTC ??
      Faut pas toujours prendre ses rêves pour la réalité

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      • Yvan Dutil

        12 mai 2010 à 15 h 15

        À entendre les accents pendant l’été, je dirais que oui. Cependant, pour les américains la réponse est non.

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      • PhilT

        12 mai 2010 à 16 h 23

        Il y a surement plus de touristes qui prennent l’autobus qu’il y en a qui prennent leur char…

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      • Matrix

        12 mai 2010 à 16 h 34

        @Yvan : je serais prêt a gager que la majorité de ces gens entendu sont des étudiants de l’Université Laval. Sans dire qu’il n’y a pas de touriste qui utilise le RTC je croit fortement que c’est une faible minorité.

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      • Yvan Dutil

        12 mai 2010 à 21 h 18

        La majorité des visiteurs étrangers que je connais utilisaient le transport en commun s’il n’étaient pas américains.

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  3. Geneviève Taillon

    12 mai 2010 à 16 h 30

    À lire les commentaires, on croirait que les visiteurs du Musée ne sont que des touristes… La clientèle est aussi locale: il y a les gens du centre-ville (Eh oui! Ces mêmes personnes qui marchent ou prennet le bus pour se déplacer!), et il y a les résidents de la banlieue qui, eux, prennent plus souvent qu’autrement leur gros char pour venir au Musée.

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    • François Magellan

      12 mai 2010 à 17 h 23

      ils n’auront qu’à prendre le bus. Sinon, ils feront comme d’habitude : ils iront au magasin. En bagnole.

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      • Geneviève Taillon

        12 mai 2010 à 17 h 36

        Alors, comment s’assurer qu’ils prendront effectivement le bus pour aller au Musée et n’envahiront pas les espaces de stationnement déjà limités du quartier? Avez-vous une suggestion? Leur interdire l’accès au Musée s’ils ne présentent pas la preuve d’avoir utilisé le transport en commun pour s’y rendre??? Franchement! À mon avis, en ne prévoyant pas d’espaces de stationnement supplémentaires, le Musée néglige un aspect important de la responsabilité qui lui incombe: s’assurer que son projet d’agrandissement se fait en harmonie avec le milieu dans lequel il se trouve. La question du stationnement n’est d’ailleurs pas la seule faille de ce projet en matière d’écologie (je parle bien d’écologie… à ne pas confondre avec la notion d’environnement).

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        12 mai 2010 à 17 h 47

        A noter que cette intervenante (Geneviève Taillon) fait aussi partie du Conseil de quartier de Montcalm

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      • François Magellan

        12 mai 2010 à 21 h 59

        Pour les résidents, il y a déjà des vignettes de stationnement. Il y a les parcomètres, les durées limitées de stationnement sur rue, qui assurent le va-et-vient aux commerces. Des ajustements peuvent être apportés.
        Et compte tenu que la plupart des commerces dans le quartier sont de type services, les gens ne sont pas là longtemps. Mais on ajouterait une centaine de cases de stationnements au musée, on entendrait des plaintes de circulation de transit, d’augmentation de la pollution. Les gens vont se tenir pour dit : peu d’espaces de stationnement pour les visiteurs, donc favorisez le transport en commun. Quant aux pauvres citoyens venant de Valcarter, par exemple, qui n’ont pas le transport en commun à sa porte, qu’ils utilisent leur bagnole, se rapprochent du centre, ensuite prennent le transport en commun.

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  4. Geneviève Taillon

    12 mai 2010 à 18 h 03

    J’ai toujours écrit ici en tant que citoyenne de Québec et non en tant que membre du Conseil de quartier de Montcalm. D’ailleurs, je n’y siège que depuis le mois dernier. C’est en mon nom personnel que je m’exprime sur Québec Urbain. Je ne vois donc pas la pertinence de cette note de monsieur Gobeil.

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  5. Jeff

    12 mai 2010 à 18 h 12

    Je crois qu’ils devraient y inclure dans le projet un stationnement de 2 étages souterrains. Messemble que ça règlerais le tout non???? Je sais que l’aergent des stationnnements est dépensé dans la bâtisse mais bon investissez vomme de bon cliss!!

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  6. Georges-Antoine

    12 mai 2010 à 18 h 20

    Montcalm est un quartier central où l’on ne doit pas seulement éviter d’ajouter de stationnements, mais aussi en éliminer au maximum.

    Un centre-ville ce n’est pas une banlieue, ceux qui ne le comprennent pas ont juste à rester en banlieue et aller chercher leur culture chez Wal-Mart.

    Il faut encourager la densité et le transport en commun; soyons conséquents une seconde.

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  7. Pier Luc

    12 mai 2010 à 18 h 39

    Sébastien: C’est pas juste au musé que ça prend des bus, c’est là où les gens vivent. Tu ne vas pas dire à quelqu’un qui habite à Valcartier ou dans un autre coin super mal desservis d’y aller en bus parce qu’il y a plein de bus qui se rendent près du Musée. S’il faut marcher 20 minutes pour se rendre au seul arrêt du secteur et passer 1h30 dans le bus aussi bien y aller en voiture.

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  8. Sébastien

    12 mai 2010 à 19 h 34

    Les gens manquent d’originalité et de sens de l’initiative des fois dans leurs solutions aux problèmes de transport…

    Alors votre seule solution aux problèmes mentionnées ci-haut se limite à ajouter, encore et toujours, du stationnement pour ces pauvres automobilistes (banlieusards ou touristes) qui seront contraint sinon de marcher quelques centaines de mètres ou de faire quelques arrêts d’autobus.

    À vous lire on a l’impression que les automobilistes sont les pires assistés sociaux, à qui tout est dû. (en passant j’ai une auto)…

    Et si on restreignait plutôt le stationnement sur rue pour favoriser protéger les places des résidents? Et si on mettait des 60 minute max de jour le week-end dans les rues pour réserver le stationnement à ceux qui font leurs courses sur Cartier (ça prends bcp plus que 60 min. pour visiter un musée.

    Et si on dirigeait le pauvre automobiliste de Valcartier vers le stationnement du Manège, ou celui de la rue Bougainville, ou encore celui de Place d’Youville (ça lui fera les jambe, tiens).

    Et si le Musée mettait sur son site Internet les trajets de bus ainsi que les parc-o-bus pour permettre, toujours au pauvre automobiliste de Valcartier (bungalow à 220 000$ et piscine hors-terre), d’accéder au centre-ville en laissant sa voiture ailleurs?

    Vous n’avez vraiment pas plus d’imagination que de proposer encore une fois d’accommoder les automobilistes en construisant des parkings à nos frais?

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  9. Jean

    12 mai 2010 à 19 h 49

    Montcalm c’est le centre ville de Québec….donc comme tous les centres villes de monde (pas juste aux USA…ou ca ou certains désireraient se servir cet argument..), les stationnements sont rare.

    C’est ca la ville……

    Québécois, il faudra s’abituer à vivre en ville….Québec change, et pour le mieux…..Plus les stationnements sont rares, plus il y a de l’action……

    On pourrait aussi détruire un grand paté de maison pour faire des cases de stationnements comme chez Walmart……à Beauport….Est-ce une bonne idée ??????

    Quand les gens veulent aller en ville ils organisent…..c’est tout…..

    .

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  10. Manu

    12 mai 2010 à 20 h 28

    Y a-t-il réellement un problème de stationnement pour le musée? et peut-on raisonnablement en anticiper un?

    Personnellement, je n’ai jamais vécu de problème de stationnement pour aller au musée, mais il y a peut-être des jours ou des périodes pires que d’autres, je ne sais pas.

    Mais peut-être s’énerve-t-on pour rien?

    Et l’association des commerçants du secteur commence à me taper sur les nerfs… s’ils veulent être en ville qu’ils opèrent selon des conditions urbaines (peu de sationnement, et la plupart limités à 30, 60 ou 90 minutes). Sinon, qu’ils déménagent là où les stationnements abondent. Si leur clientèle est essentiellement motorisée, ils ne devraient pas la perdre…

    Puis dans le cas du musée, ne leur est-il jamais venu à l’idée que quelqu’un qui irait au musée en se stationnant dans les rues environnantes, près des commerces, pourrait par ailleurs être tenté par quelque chose à grignotter sur Cartier à son retour du musée? Autrement dit, s’il y a plus d’achalandage au musée, il peut aussi y en avoir plus chez les commerçants. Il me semble d’ailleurs que ces soit assez rares que des commerçants se plaignent d’être à proximité de lieux d’attraction (et c’est d’ailleurs un argument de « vente » à chaque fois qu’un immeuble commercial est vendu ou encore qu’il cherche un nouveau commerce locataire). Ceci était dit, où est-il le foutu problème si ce n’est entre les deux oreilles de ces commerçants?

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  11. Manu

    12 mai 2010 à 22 h 50

    Si on parle des résidents c’est totalement autre chose.

    Dans le cas du musée, pour résumé mon point précédent, les espaces de stationnements (que les commerçants semblent considérer qu’ils sont « pour eux ») seront utilisés par des clients potentiels.

    Toutefois, pour les résidents qui réclament du stationnement, s’ils souhaitent vivre en ville comme on vit en banlieue, c’est leur choix et ils vivront avec les conséquences, positives et négatives. En l’occurence, des espaces 30-60 minutes, vigettes seulement et autres du genres vont réellement gruger les espaces de stationnement pour les clients des commerces, car étant occupés par des véhicules des gens qui sont présents dans le secteur (ils y habitent) de toute façon.

    Ainsi, si un commerce ne survit plus suite à une baisse d’achalandage, la clientèle locale n’étant pas suffisante, ce sera au détriment de ces derniers qui verront partir « leurs » commerces dans la [qualificatif de votre choix] de banlieue. Ils seront eux-mêmes une des causes du déclin commercial de leur propre quartier. C’est probablement la pire éventualité qui soit.

    À l’inverse, même avec des stationnements supplémentaires pour résidents, ils est possible que l’achalandage des commerces ne change aucunement. Les commerçants se plaindraient alors en ce moment pour rien. Entre les deux se trouvent les hypothèses les plus plausibles.

    Dans tous les cas revient le problème de déterminer où se situe Montcalm entre ville et banlieue, et d’accepter les avantages et inconvénients inhérents à cette position.

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    • Pier Luc

      13 mai 2010 à 08 h 19

      Peut être que vous avez raison… En tout cas, les gens s’adaptent aux situations et n’arrêtent pas de vivre parce qu’il y a eu un changement. Londre n’est pas pas morte après avoir été à moitié pulvérisé par les missiles Nazis alors Québec ne pourra pas de manquer de stationnement. en autant que les gens puisse prendre leur voiture pour rejoindre le trajet Métrobus et se stationner quelque part. Parce que la Métrobus ne rejoins pas tout les secteurs de la ville, loin de là. Et les services réguliers ne sont pas extraordinaires quand il faut s’en servir pour faire tout le trajet.

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  12. Pier Luc

    13 mai 2010 à 08 h 20

    « Québec ne pourra »
    Québec ne mourra[…]

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  13. barb

    13 mai 2010 à 09 h 26

    Un administrateur d’un conseil de quartier l’est comme citoyen. Il n’est pas élu pour un « programme ».

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  14. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    14 mai 2010 à 13 h 27

    Agrandir le musée sans augmenter l’espace de stationnement relève de la pensée magique. Les visiteurs extérieurs n’arriveront pas à Québec à pied ou à vélo. La majorité des visiteurs externes sont des familles ce qui veux dire qu’ils arrivent en auto ou en autobus nolisés.

    Que ce soit en auto ou en autobus nolisé, il faudra aménager des facilités d’accueils. Faut arrêter de penser comme au temps de Québec 84 où il fallait stationner à Drummondville pour venir à Québec.

    D’autant plus que le plan particulier de la colline parlementaire prévoit utiliser les terrains de stationnement pour élever des tours d’habitations et faire ainsi disparaitre d’autres capacités d’accueil. Tantôt il faudra stationner à Place Laurier à Ste-Foy pour accéder sur la colline parlementaire. L’idéologie mène à de ces excès urbanistiques. Déjà les commercants de la rue Cartier sont inquiets et ils ont raison.

    Le passé a prouvé que quand on diminuait l’accès au centre-ville les centres d’achat proliféraient en banlieue…

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