Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Installations permanentes pour les ruines du Château St-Louis

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 mai 2010 4 commentaires

Source : LCN

Depuis les fêtes du 400e, en 2008 la question est sur bien des lèvres : les ruines du Château Saint-Louis, dont la construction a été entreprise par Samuel de Champlain, vont-elles demeurer accessibles au public ? Parcs Canada a finalement fait son nid : les ruines vont devenir, en quelque sorte, un musée souterrain.
Ces ruines, on le sait, sont situées sous la terrasse Dufferin, entre la falaise et le Château Frontenac, et elles avaient été mises au jour en 2008, à la faveur de travaux sur la terrasse. Ouvertes aux visiteurs, elles ont connu un immense succès en 2008 et 2009 et, en principe, on devait les recouvrir de sable, cet automne.

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Forts-et-Châteaux-St-Louis

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Patrimoine et lieux historiques, Québec La cité.


4 commentaires

  1. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    28 mai 2010 à 22 h 50

    Ce qui est toujours remarquable dans ces annonces, c’est le coût annoncé des travaux. Ici, ce sera 5 millions. Pourrait-on savoir pourquoi ? Merci. Ce serait fort apprécié.

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  2. Jeff M

    29 mai 2010 à 11 h 39

    Je travaille à Parcs Canada. Je ne suis pas dans le secret des dieux, mais je sais qu’ils doivent entreprendre de nouvelles fouilles cet été. Je ne sais pas si c’est forcé par ce projet, c’est possible.

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  3. Jeff M

    29 mai 2010 à 11 h 47

    Ils vont sûrement aussi mettre des conversateurs sur le coup pour aménager quelque chose dans le style quasi-muséal avec des artéfacts sur place. Les fouilles en ont généré un méchant paquet. Y’a sûrement plein de détails qui feront grimper la facture.

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  4. Pier Luc

    1er juin 2010 à 22 h 06

    J’ai vu un documentaire qui parlait des fouilles faites dans le cadre du creusage d’un métro dans une ville d’Europe. Eux, ils ne se cassait pas la tête avec des petites pelles et des brosses à rasoir. La terre que le foreuse sortait arrivait sur un tapis roulent et une équipe d’ouvriers ramassaient tout ce qui pouvaient peut-être avoir de la valeur pour un archéologue. Le tout était catalogué (lui du creusage, ce que c’est, etc.), placé dans un petit sac avec un numéro et rangé dans un entrepôt. Les archéologue peuvent ensuite fouiller dans le méga entrepôt et trouver des bouts de pots jetables en argile, des pots de chambres, des cennes noirs de l’ancien temps, des os de poulets, etc. Ce qu’il y a de bien avec ça c’est que ça vas pas mal plus vite et ça augmente beaucoup moins les coûts.

    C’est pas vraiment fait dans les règles mais bon… les archéologues ne risquent pas de tomber sur un trésor de pharaon ou sur le Saint-Graal en creusant un métro ou en déblayant les jardins d’un manoir maison coloniale d’une colonie pas très riche.

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