Source : Véronique Demers, Québec Hebdo, le 14 juillet 2010
Depuis 7 ans, l’Éco-quartier du Centre résidentiel et communautaire Jacques-Cartier (CJC) propose aux citoyens de réduire leur impact environnemental en proposant diverses actions, tels que le compostage communautaire, le vermicompostage et l’agriculture urbaine.
Le jardin collectif a vu de jour il y a quatre ans. La dizaine de participants s’occupant du projet ont ramassé, au fil du temps, des chaudières de restaurants dans lesquelles il y avait, par exemple, de l’huile à frire et de la mayonnaise.
Québec, une championne du compostage ou encore beaucoup d’efforts sont à faire dans ce domaine ?
14 juillet 2010 à 23 h 04
Ouais, bonne initiative.
Par contre il y a un bidule que je ne comprend pas.
Exemple, si vous avez 1000 personnes qui par année produise
1 tonnes de déchet chacun pour un totale de 1000 tonnes et
que suite a une prise de conscience écologique, comme c’est le cas ici, décide de réduire de 30% la production de déchet (diminution de la consommation ou récupération peu importe), cela donne après calcul (sortez vos calculatrices), 700 tonnes. Donc vous avez 300 tonnes de moins en impact écologique
Par contre (vous me suivez toujours) si la société ou ce trouve
les mille personnes a un problème de contrôle démographique
(sur-natalité et/ou immigration) et que celle-ci (la société) ce retrouve dans 10 ans avec 1500 personnes, nous nous retrouvons
donc avec non plus 700 tonnes de déchets a gérer, mais avec
1050 tonnes. Donc ma conclusion toute mathématique, est
que si nous voulons vraiment réduire efficacement notre
impact environnementale, il faut logiquement contrôler notre
démographie vers une baisse et non une augmentation.
Sinon, fatalement et mathématiquement, nous nous dirigeons vers
un cul-de-sac écologique, une impasse totale.
« L’effort à long terme nécessaire pour maintenir un bien-être collectif qui soit en équilibre avec l’atmosphère et le climat exigera en fin de compte des modes viables de consommation et de production, qui ne peuvent être atteints et maintenus que si la population mondiale ne dépasse pas un chiffre écologiquement viable. »
Rapport 2009 du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA)
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16 juillet 2010 à 18 h 21
Malthus sort de ce corps…
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