Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


SITUATION FINANCIÈRE DE LA VILLE DE QUÉBEC: La capitale n’a pas fini de se serrer la ceinture

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 novembre 2006 1 commentaire

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 7 novembre 2006

La Ville de Québec n’a pas fini d’être serrée dans ses finances ; ses dépenses grimpent tellement plus vite que ses revenus qu’elle fera face à un manque à gagner de 24 millions $ dès l’an prochain, et de 106 millions $ en 2020.

L’étude réalisée par le Conference Board du Canada — un organisme privé spécialisé en analyses économiques — pour le caucus des grandes villes du Québec a de quoi décourager n’importe qui. Si rien ne change, les villes de Québec, Lévis, Sherbrooke, Trois-Rivières, Gatineau et Saguenay seront placées devant un choix déchirant : sabrer dans les services ou continuer de négliger les infrastructures.

À Québec, le Conference Board évalue que la faible croissance de la population et son vieillissement abaisseront le nombre de mises en chantier d’ici à 2020.

Voir aussi : Québec La cité.


Un commentaire

  1. Monique Blanchet

    13 novembre 2006 à 16 h 12

    Je peux comprendre que la situation financière de la ville de Québec laisse à désirer. J’habite une petite municipalité. Ma fille fait ses études dans la belle ville de Québec. Des touristes m’avaient fait un commentaire: « À Québec, c’est bien beau, mais tout ce qu’ils veulent, c’est ton fric ». Il est vrai qu’avec les exemples que ces touristes m’avaient donnés, je me suis dit que c’était peut-être vrai. J’ai compris que c’était vraiment ça lorsque je reçois chez moi, dans ma belle petite municipalité, 3 contraventions de stationnement: Une première parce que sur le siège de ma voiture il y a une pancarte « à vendre », je dis bien sur le siège de ma voiture à l’intérieur !, pas dans la vitre ! Deux autres contraventions pour le délai de stationnement, mais sans avoir mis le billet dans le pare-brise On a beau dire que l’ignorance de la Loi n’est pas justifiable, mais il me semble que si vous avez le billet une première fois, vous le savez après-coup… Mais là, 2 fois plutôt qu’une et cela sans laisser de trace, faut l’faire. Et bien oui, j’ai compris, Québec, c’est bien beau et surtout vrai que « tout ce qu’ils veulent, c’est notre fric ».

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