Isabelle Porter
Le Devoir
Québec — On a beau nous répéter qu’il faut marcher pour se tenir en forme et échapper au spectre de l’obésité, ce n’est pas si facile. En témoigne une petite excursion à Québec où l’on fait souvent la vie dure aux piétons. Trottoirs étroits, avarice du «bonhomme piéton», la marche est une activité… qui ne «marche» pas toujours très bien.
Vingt-six secondes. C’est le temps qu’on nous donne pour traverser les huit voies du boulevard Laurier à l’angle de la route de l’Église, avenue rendue célèbre pour l’immense Hôtel de Ville dont feue Andrée Boucher avait forcé la construction
14 août 2010 à 08 h 17
Durant le festival international de musique militaire, plus de 400 musiciens seront hébergés dans deux hôtel du boulevard Laurier. Comme j’accompagne (bénévole) un des groupes durant toute la durée du festival, je suis allé faire du repérage dans ce coin cette semaine. J’ai fait le parcours de l’hôtel jusqu’à Place Laurier, à pied (aller-retour)
Traverser cette intersection relève de l’exploit. Sans oublier les automobilistes qui ne se gênent pas pour ignorer les feux de circulation …
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14 août 2010 à 08 h 26
À côté de chez moi, j’ai 20 secondes pour traverser Robert-Bourassa qui compte 6 voies et un terre-plein à cet endroit. Même en marche forcée, il me manque 3-4 secondes.
À noter que je dois parfois traverser cette intersection avec mes enfants d’âge pré-scolaire, ce qui devient alors très dangereux.
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14 août 2010 à 08 h 27
C’est à l’angle du boulevard Chauveau.
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14 août 2010 à 10 h 54
AVENUE Chauveau. Le BOULEVARD, c’est dans la partie Sainte-Foy.
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14 août 2010 à 12 h 44
Effectivement, mais je pense que la majorité des gens avait situé l’intersection.
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14 août 2010 à 08 h 47
Un des nombreux élément qui pourrait aider, je crois, serait de faire en sorte que le « petit bonhomme » s’allume automatiquement dans la direction où la lumière est verte pour les voitures. Cela se fait dans bon nombre de grandes villes et ça permet une meilleur fluidité de la circulation pour les divers types de déplacement.
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15 août 2010 à 01 h 02
Je ne comprends pas vraiment comment cela marcherait… Le principe derrière le « petit bonhomme » n’est-il pas que lorsque qu’on le voit, on sait que notre passage est protégé? Je sais qu’en théorie les piétons ont la priorité et que la majorité des automobiliste ne font pas par exprès pour écraser les piétons, mais il me semble que cela n’est pas du tout la même problématique qu’avec le virage à droite sur feux rouge. De plus, si on veut traverser sur la lumière verte en même temps que les autos, il n’y a rien qui nous en empêche!
Autre point à considérer, quand on est piéton, il peut être très pratique de pouvoir traverser en diagonale, surtout l’hiver!
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15 août 2010 à 09 h 34
Je suis bien d’accord avec ça.
Québec est effectivement la seule « grande » ville que je connaisse qui utilise ce système de coordination des feux. Si mon souvenir est bon, même Montréal n’utilise pas ce système. La passage est certes plus sécuritaire en théorie , mais puisqu’il implique un temps d’arrêt supplémentaire pour les voitures, la durée du feux piéton est souvent trop courte, comme à l’intersection cité dans cet article. Le sécurité est d’autant diminué maintenant que les voitures peuvent tourner à droite sur les feux rouges à plusieurs intersections.
Ce système de coordination des feux qui permet aux piétons de traverser dans le même sens que la circulation automobile offre un gain de temps pour tous. Quand tu es automobiliste, tu t’épargnes le temps d’attente lors du feu piéton, bien que tu dois céder la priorité lorsque tu tournes à gauche et à droite, ce qui n’est pas si facile à gérer au début, je l’admets. C’est le piéton qui gagne le plus, car il y a toujours, ou presque, un feu vert pour lui permettre de traverser dans l’une ou l’autre des directions. Il peut donc ne jamais être immobilisé. La durée du feu est aussi plus longue puisqu’elle est calquée sur celle des automobiles. Cependant, le piéton, bien qu’il ait priorité doi être prudent, car il se peut toujours qu’un automobiliste soit distrait ou tente de forcer le passage. Car c’est vrai qu’à une intersection avec beaucoup de flux piéton, l’automobiliste doit être patient pour pouvoir tourner. Des bandes supplémentaires doivent parfois être prévues pour ne pas immobiliser le traffic.
La principale difficulté à l’encontre d’un changement de système dans la coordination des feux de circulation et des feux pour piétons est les modifications de comportements que cela implique, tant pour les automobilistes, les cyclistes que les piétons. Au début, plusieurs auraient tendance à oublier qu’ils n’ont plus nécessairement priorité ou que le passage est nécessairement sécuritaire.
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17 août 2010 à 09 h 05
J’arrive justement de voyage dans une ville ainsi concue et c’est pas si pire. L’avantage c’est qu’on attend pas 10 minutes avant d’avoir notre bonhomme, par contre il faut se méfier. En général les automobilistes sont habitués. Mais j’en ai des frissons juste à penser de mettre ces systèmes ici à Québec alors qu’on se fait déjà passer dessus avec les virages sur la rouge, alors imaginez s’il faut craindre les virages à droite et à gauche sur la verte…
Noter qu’ici à Québec il y a une particularité qui est beaucoup moins répandue ailleurs, ce sont les feux verts clignotants qui protègent les virages à gauche. Ils ont une relation directe avec le bonhomme « protégé ».
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14 août 2010 à 08 h 57
J’espère qu’on ne criera pas au « Québec-bashing » envers Madame Porter… Oui, il s’agit bien d’une « petite excursion à Québec »: elle semble s’être arrêtée bien net dès la sortie des ponts ! Et contrairement à toute l’île de Montréal, sauf erreur, le boulevard Laurier est l’une des seules artères à huit voies dans la région de Québec.
N’empêche que pour la description du problème automobile dans nos agglomérations, c’est malheureusement assez exact. Le fait est que le nombre de piétons est nettement moins grand ici qu’à Montréal. La clé de notre problème est assurément la densité de la population: moins d’habitants au kilomètre-carré, donc moins de payeurs de taxes pour des transports en commun qui seraient une alternative « vendable ». Ainsi personnellement, lorsque j’arrive à Montréal, je stationne ma voiture et je prend le métro car… je veux me déplacer rapidement.
Quant au centre-ville de Sainte-Foy, il est victime de sa rapide expansion… en longueur. Il s’agit essentiellement du prolongement de voies d’accès automobile (autoroutes, ponts), le tout incrusté dans des quartiers résidentiels de type banlieue (auto-bungalow). Sauf la Route de l’Église, les axes nord-sud ne se développent pas beaucoup en termes de commerces et de bureaux.
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16 août 2010 à 10 h 50
Isabelle Porter vient de Québec…
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14 août 2010 à 11 h 10
Comme c’est à cette intersection que sera construit le prochain «gratte-ciel» de Québec, il faudrait commencer à planifier un aménagement en conséquence, dont les fameux trottoirs plus larges et le fameux tramway.
Sinon le problème risque de perdurer et s’aggraver pendant encore 20 ans. L’enfer pour tout le monde, automobilistes compris.
En tout cas moi je n’ai jamais compris pourquoi une ville qui se targue d’être classée Patrimoine mondial laisse entrer ses visiteurs par un garage dont le faux-fini vient de la quincaillerie Conimarde.
Et je n’ai jamais compris pourquoi tout l’investissement des 15 dernières années a consisté convertir une partie du garage en salle à manger et bureau, sans pour autant renoncer à la place occupée par l’auto. C’était évident que ça circulerait mal…
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14 août 2010 à 12 h 48
Pire intersection? Elle doit sûrement en compétition avec l’intersection Charest/Cyrille-Duquet/Frank Carrell… Un des rares points pour traverser l’autoroute charest. (Le plus près à l’ouest étant Blaise Pascal.)
Ou encore Pierre Bertrand sous l’autoroute de la Capitale. À cet endroit, Pierre Bertrand a 8 voies de large… Rajoutez les bretelles de Bouvier et Marais qui permettent aux automobilistes de tourner n’importe quand et vous obtenez tout un défi à traverser… Et, les lumières de piéton ne se sont pas encore rendus dans ce coin de la ville… Et, ici aussi, les options pour traverser l’autoroute de la Capitale à pieds ou à vélo ne sont pas nombreuses…
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15 août 2010 à 02 h 03
D’accord avec Julien concernant l’intersection Charest/St-Sacrement. Je viens de commencer un nouveau contrat dans le secteur et comme si ce n’était pas assez compliqué, il y a 3 chantiers contigus.
1. MTQ à l’ouest de St-Sacrement.
2. Ville de Québec à l’est de St-Sacrement
3. Travaux au Irving/Couche-Tard, présentement démoli (aucune idée du projet futur).
Bref, si l’on part de la côte St-Sacrement pour se rendre sur Cyrille-Duquet on doit traverser l’intersection Charest/St-Sacrement qui n’a présentement pas de feu de piéton. Où l’on se retrouve piégié entre le chantier du MTQ et celui du Irving. On doit donc littéralement se frayer un chemin entre ceux-ci, pas tellement sécuritaire. Et même pas moyen d’accéder via le RTC, qui ont repousser les arrêts en raison des travaux. Conclusion: Ça me donne le goût de me racheter une voiture…
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14 août 2010 à 22 h 20
Je ne crois pas moi non plus que ce soit la « pire » intersection… julien vient d’en nommer quelques « excellentes » d’ailleurs. Peut-être tout de même « une des pires » comme le mentionne l’article (contrairement au titre de ce billet qui dit LA pire).
Petits faits à noter :
Il y a 7 voies à traverser, pas 8, autant du côté Est que du côté Ouest de la route de l’Église.
D’une position sécuritaire sur le trottoir à une autre sur l’autre trottoir, il y a 30m (côté Ouest) et 32m (côté Est). Ajoutez 1m lorsqu’il y a « beaucoup » de monde. Ça nous fait une vitesse de marche de 4,2 à 4,5 km/h. On est loin de la marche rapide. C’est donc faisable pour n’importe qui correctement chaussé, sauf les personnes « moins en forme », notamment les personnes âgées ou avec une « forte surchage pondérale ». Bref, pas sécuritaire pour certains (il faudrait peut-être y voir), mais « marche rapide » c’est exagéré.
L’intersection mentionnée par Pat (traverser Robert-Bourassa au coin de l’avenue Chauveau) a 32m de large du côté Nord et 40m de large du côté Sud (toujours « trottoir à trottoir ». Plus large que le Boulevard Laurier! La différence est surtout due au fait que le rayon des coins de rue est beaucoup plus grand. Avec 20 secondes (il me semble que c’est 21, j’habite aussi le coin, mais peu importe…), ça nous donne 5,8 ou 7,2 km/h. Là c’est de la marche pas mal énergique!
Outre ces quelques faits, d’une manière plus subjective, je suis d’accord pour dire qu’il s’agit d’un endroit désagréable pour la marche, autant pour traverser que pour simplement suivre les étroits trottoirs.
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14 août 2010 à 23 h 13
Deal ? Vous y allez et nous en parlez ! :)
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16 août 2010 à 12 h 53
euh… quoi donc?
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15 août 2010 à 07 h 55
Traverser l’autoroute de la capitale à pied à l’intersection de Pierre Bertrand, surtout en hiver, tien du suicide.
En fait, la région est pleine d’obstacle majeur au déplacement de disons, « tout ce qui n’es pas une voiture », que ce soit à pied, en vélo ou en véhicule lent ( genre voitures urbaines électriques qui risque de devenir à la mode).
Prenons l’exemple d’un jeune habitant chez ses parents à Ste-Foy et qui doit se rendre à son travail d’été sur la rue watt en scooter (moyen de transport estival pour plusieurs). Il sera confronté au PIRE obstacle traversant la ville. Je sait que je prend un cas extrême mais une distance à vol d’oiseau de 300m se transforme en périple de 14km!!!
Corrigez moi si je me trompe mais il peut passer par Cap-Rouge via boulv. Du Versant Nord et revenir sur boulv. De la Chaudière et l’avenue Blaise Pascal : https://maps.google.ca/maps?f=d&source=s_d&saddr=Rue+de+Port+Royal&daddr=Avenue+Watt&geocode=FfTryQIdOhvA-w%3BFcf0yQId7BLA-w&hl=fr&mra=ls&dirflg=h&sll=46.787367,-71.297064&sspn=0.015015,0.032916&ie=UTF8&ll=46.782312,-71.299381&spn=0.060067,0.131664&t=h&z=13
ou en allant chercher Hamel via St-Sacrement et revenir sur boulv. Du Parc Technologique et Einstein :
https://maps.google.ca/maps?f=d&source=s_d&saddr=Rue+de+Port+Royal&daddr=46.8066526,-71.2675456+to:Avenue+Watt&geocode=FfTryQIdOhvA-w%3BFXw2ygIdJ4vA-ykFVDYkVpa4TDGWrpyQgAhzEw%3BFcf0yQId7BLA-w&hl=fr&mra=ls&dirflg=h&sll=46.787367,-71.297064&sspn=0.015015,0.032916&ie=UTF8&t=h&ll=46.782312,-71.299381&spn=0.060067,0.131664&z=13&via=1
Je ne sait pas ce qu’attend la Ville de Québec pour mettre un lien routier autre qu’autoroutier traversant ces voies ferrées en pleine ville. À ma connaissance, aucune autre ville au Québec n’a réussi à créer une barrière anti-piéton-vélo-véhicule-lent de 14km de long aussi efficace et je répète, en pleine ville.
La Ville pourait faire traverser le boulv. Pie XII jusqu’au boulv. De la Chaudière ou aurais pu profiter du réaménagement de l’échangeur Charest/Robert Bourassa pour faire traverser une rue locale. Et ça se fait à Montréal :
http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/Librairie/Images/Fr/regions/laval/chantier_reamenagement_echangeur_a_15_et_a_640_a_boisbriand/a15A640_projete_avril_2007.jpg
Remarquez que l’ajout d’une seule rue longeant le nord de l’autoroute permet de connecter Sainte-Thérèse et le faubourg Boisbriand et par ricochet les quartiers au nord. Je suis un peu jaloux qu’on aie pas eu droit au même traitement de la part du MTQ…
Désolé si je me suis égaré dans mon propos mais quand je commence..
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16 août 2010 à 12 h 53
Sur cet à côté : la ville a suggéré de poursuivre Pie-XII au-dessus de la voie ferrée il y a déjà plusieurs années. Pas encore vu l’ombre d’un étude ni même d’une simple évaluation.
Quant à Charest et Robert-Bourassa, c’est une occasion particulièrement ratée de relier d’une part les parcs industriels entre eux par des routes, tout comme l’axe Nérée-Tremblay / Boulevard Central, lui aussi déjà évoqué comme « à étudier » dans des PDAD il me semble. Idem pour des liens cyclables à cet endroit, qualifiés de « à réaliser » depuis déjà plusieurs années.
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17 août 2010 à 09 h 33
Le jeune à mobylette n’a qu’à troquer sont véhicule pour une bicyclette électrique et pourra utiliser les pistes cyclables qui permettent de traverser ce labyrinthe.
Il y a une piste cyclable qui traverse la track entre Versant Nord et Watt au bout de la rue Mombray, près de R-B.
https://maps.google.ca/maps?f=q&source=s_q&hl=fr&geocode=&q=ville+qu%C3%A9bec&sll=46.802071,-71.244926&sspn=0.497282,1.047821&ie=UTF8&hq=&hnear=Qu%C3%A9bec,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Qu%C3%A9bec,+Qu%C3%A9bec&ll=46.788454,-71.293266&spn=0.007772,0.016372&t=h&z=16&layer=c&cbll=46.789119,-71.292916&panoid=chsoc1Y2gukPmNfI2uWmtA&cbp=12,357.43,,0,5
La même track peut aussi être traversée à pied ou en bicycle derrière le Cotsco, reliant Versant Nord et Blaise Pascale, qui ensuite traverse Charest pour aboutir à la base de plein air de Ste-Foy.
https://maps.google.ca/maps?f=q&source=s_q&hl=fr&geocode=&q=ville+qu%C3%A9bec&sll=46.802071,-71.244926&sspn=0.497282,1.047821&ie=UTF8&hq=&hnear=Qu%C3%A9bec,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Qu%C3%A9bec,+Qu%C3%A9bec&ll=46.779712,-71.326085&spn=0.003916,0.008186&t=h&z=17&layer=c&cbll=46.779724,-71.325877&panoid=lSy_0j1TNhMJ_re8TxONgA&cbp=12,331.08,,0,3.11
Ces deux liens permettent de relier Ste-Foy et le parc industriel en question.
De plus il y a depuis environ 10 ans un passage à niveau, le boul. du Parc Technologique, près de Henri-IV, qui permet de relier les Saules au parc techno.
https://maps.google.ca/maps?f=q&source=s_q&hl=fr&geocode=&q=les+saules&sll=46.802071,-71.244926&sspn=0.248642,0.523911&g=ville+qu%C3%A9bec&ie=UTF8&hq=&hnear=Les+Saules,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Qu%C3%A9bec,+Qu%C3%A9bec&ll=46.797327,-71.311054&spn=0.015542,0.032744&t=h&z=15&layer=c&cbll=46.797275,-71.314034&panoid=t_mWSM0edj5_m9FVL-5RRQ&cbp=12,5.19,,0,5
Par contre pour passer sous Charest il faut utiliser la rue Watt près de R-B, ou bedon le viaduc de Blaise Pascale via Einstein. Cette dernière option est peu recommendable coté sécurité
Voilà globalement à quoi ressemble les « trails »:
https://maps.google.ca/maps/ms?hl=fr&ie=UTF8&t=h&msa=0&msid=111639665682507505275.00048e04be94d1e6425fb&ll=46.792656,-71.319466&spn=0.062171,0.130978&z=13
Ca peut être pas terrible mais c’est déjà 10 fois mieux que dans ma jeunesse où je demeurais à Duberger, alors qu’aucun des 3 passages à niveau ci-haut mentionnés n’existait, et où je devais faire du « portage » avec ma bicyclette en traversant des endroits interdits (terrains du CN/CP et accotement de Du Vallon) pour me rendre à Ste-Foy, ou bien contourner par St-Sacrement ou Cap-Rouge.
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