Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Les projets d’écoquartiers de Québec suscitent déjà l’enthousiasme populaire

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 août 2010 15 commentaires

Isabelle Porter
Le Devoir

Québec — Les projets d’écoquartiers de Québec ont beau en être à leurs premiers balbutiements, la Ville reçoit déjà des appels de gens qui veulent y réserver leur place.

«Il y a déjà des gens qui téléphonent à la division de l’aménagement du territoire. Ils demandent d’être inscrits sur une liste d’attente, révèle Marie-Christine Magnan, du Service des communications. On ne parle pas de 300 personnes, mais il y en a assez pour que ce soit digne de mention. Pour nous, c’est intéressant.»

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Voir aussi : Arrondissement Beauport, Québec La cité.


15 commentaires

  1. FredBM

    14 août 2010 à 10 h 24

    C’est probablement le meilleur projet de la Ville actuellement. Il ne demande pas trop de fond public et va visiblement augmenter le caractère européen de la ville.

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  2. Georges-Antoine

    14 août 2010 à 10 h 38

    Excellente nouvelle, car au final c’est la demande qui fera que ces projets se réaliseront ou non. Je suis très fier de voir qu’il y a de l’engouement et que les valeurs environnementales sont importantes pour plusieurs concitoyens.

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  3. LouisL

    14 août 2010 à 15 h 50

    Le téléphone risque de sonner moins lorsque les prix d’achats seront réellement fixés. Le beau, bon et vert en milieu urbain c’est génial, mais très très cher.

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    • LouisL

      14 août 2010 à 15 h 53

      Pour les prix d’achats, peut-être que D’Estimauville sera raisonanble….mais Sainte-Foy….hâte de voir, alors que le prix moyen d’un bungalow ( à rénover ) atteind +ou- 300 000$

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      • davedeux

        14 août 2010 à 16 h 15

        Peut-être, peut-être.
        Mais comme j’ai toujours affirmer, le terme « Quartier vert » (ou
        écoquartier) sert de prétexte pour bien salée le prix,
        enfarinné le client et poivré le compte de taxe.
        Un écho-quartier après tout, c’est de la haute cuisine, faut
        payer pour.

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  4. marcolive Utilisateur de Québec Urbain

    14 août 2010 à 16 h 07

    Question pour vous! Au niveau du chauffage, pourquoi on repose sur la combustion de copeaux de bois dans les projets d’Ecoquartiers? En quoi est-ce plus « vert » que le chauffage à l’électricité par exemple?

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    • Georges-Antoine

      14 août 2010 à 16 h 12

      Simplement parce que certaines catégories de copeaux de bois sont des résidus peu utilisés par l’industrie. Il vaut mieux les brûler (efficacement) que de les jeter. Le bilan en carbone est techniquement presque neutre puisque ce qui est émis avait été fixé par l’arbre.

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    • Carol

      14 août 2010 à 16 h 23

      En partie parce que les règlements municipaux l’interdisent, en tous cas jusqu’à tous récemment

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    • marcolive Utilisateur de Québec Urbain

      14 août 2010 à 17 h 59

      @Georges-Antoine

      Merci pour la réponse! Ça fait du sens effectivement.

      Pour ce qui est du bilan carbone, j’imagine que l’aspect « transport » n’est pas considéré? De plus, je me pose des questions en ce qui attrait à l’approvisionnement à long terme… Bref, je ne suis pas encore tout à fait convaincu! Hihi!

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      • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

        14 août 2010 à 18 h 06

        Il faut aussi considérer que ces copeaux, si on les brûle pas, seront transformés en méthane, qui est 20 fois plus efficace que le CO2 comme gaz à effet de serre.

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      • Manu

        14 août 2010 à 21 h 50

        Ah oui? comment?

        À ce que je sache, les copeaux de bois ne se transforment en méthane qu’en milieu anaérobique, dans un site d’enfouissement par exemple.

        Si un tel enfouissement de copeaux est permis par la loi, on a un sérieux problème… mais je ne sais pas si c’est permis ou pas, alors passons outre pour l’instant.

        Il suffit d’étaler les copeaux à l’air libre, dans les champs, les jardins, les potagers, les plate-bandes, etc. là où on fait pousser autre chose. Ça aiderait même le sol à capter le méthane (si on se fie à un tapon de résultats d’expériences que Google nous présente quand on cherche sur le sujet).

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      • Manu

        14 août 2010 à 21 h 52

        Et j’ajouterais que non, l’aspect transport n’est pas considéré. À court, moyen, ou long terme (je ne sais pas lequel), il me semble assez clair que le transport de ces copeaux produit plus de GES que la construction de lignes électriques. Du moins, avec les véhicules d’aujourd’hui. Toutefois, c’est peut-être négligeable à côté des GES produits par la combustion des copeaux.

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    • Manu

      14 août 2010 à 21 h 45

      Pour que ça soit neutre, il faudrait replanter une quantité équivalente d’arbres (et d’espèces diversifiées si on veut être écolo… une forêt d’épinettes noires en rangées n’a rien d’écologique…). Sinon, on pourrait tout aussi bien dire que brûler du pétrole produit un bilan neutre puisqu’il s’agit de carbonne capté par des végétaux (des algues entre autres) et du zooplancton. Même le charbon était vraisemblement à l’origine des végétaux terrestres.

      Bref, si on dit qu’un bilan neutre c’est de brûler du carbone déjà fixé, tout combustible organique (contenant du carbone) produira un bilan neutre.

      Pour revenir au chauffage aux « résidus de bois », c’est plutôt une façon pour les compagnies forestières et de transformation de faire de l’argent avec leurs restes (de la valorisation de sous-produit).

      L’hydro-électricité serait bien entendu plus écologique (à moins que je n’aie vraiment pas compris quelque chose…). Toutefois, il y a une volonté économique et politique (et non écologique) à vouloir aider les compagnies forestières (sans leur donner l’autorisation de couper ce qui reste de forêt au Québec évidemment), tout en tentant de faire croire au public que tout cela est écologique.

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  5. Coccinelle

    15 août 2010 à 01 h 18

    « Aménagement d’espaces verts et plantation d’arbres afin de diminuer la chaleur occasionnée par les bâtiments et le pavage »

    Parfait. Tant que cela veut dire aménagement de NOUVEAUX espace vert et pas seulement de planter des bébés arbres exactement là où on a coupé des arbres matures pour pouvoir construire plus facilement et pour moins cher! Arg!

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  6. Les projets d’écoquartiers de Québec suscitent déjà l’enthousiasme populaire « blog.monlimoilou.com

    18 août 2010 à 06 h 34

    […] : article rapporté par Gérald Gobeil dans Québec […]

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