Suite à l’échec du projet Cité Moncel, l’immense terrain a été racheté par différents promoteurs. Les résidents de la rue Francheville qui existait bien avant la démolition de l’usine de Ciment St-Laurent ont peur de perdre leur vue sur le fleuve. La nouvelle rue du Sous-Bois a une élévation similaire à cette dernière. Plusieurs nouvelles maisons et jumelés de 2 étages ont vu le jour depuis quelques mois. La rue est bâtie à environ 50 %. Le promoteur veut modifier le règlement pour autoriser la construction de 6 étages pour les lots restants.
Inquiets de perdre leur vue sur le fleuve en raison de la demande de modification au zonage d’un promoteur immobilier qui veut rentabiliser ses investissements sur l’ancien site de la briqueterie, entre le boulevard Sainte-Anne et l’avenue du Sous-Bois, une trentaine de résidents du secteur Francheville, en haut de la falaise, sont venus défendre leurs droits lors de la consultation publique sur le sujet qui a précédé, hier soir, la séance du conseil d’arrondissement de Beauport.
27 août 2010 à 09 h 50
Leurs « droits »? Une vue sur le fleuve est un droit? Aaah bon!
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27 août 2010 à 13 h 30
J’ai aussi versé une larme quand j’ai entendu ça. Pouahahahahaha c’est pathétique. J’espère qu’en plus de cacher la vue, ça va faire de l’ombre sur leur terrain.
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27 août 2010 à 20 h 40
Vraiment très constructif comme commentaire !
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27 août 2010 à 23 h 04
Autant constructif que de passer son temps à se plaindre pour des droits acquis imaginaires.
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27 août 2010 à 14 h 29
J’imagine que quand il y avait une usine, ils avaient une belle vue ?
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27 août 2010 à 14 h 44
Poussière et vue :-)
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27 août 2010 à 21 h 01
Ceux qui était là depuis un certain temps disent que l’usine leur cachait auparavant la vue. Ça ne sera donc pas pire que ce qu’ils ont connu lorsqu’ils ont choisi de s’installer là.
Ceux qui s’y sont installés récemment en se faisant vendre une vue sur le fleuve devraient savoir que cela ne constitue absolument pas un droits acquis, à moins qu’ils aient conclu une entente avec le ou les propriétaires en aval, ce qui n’est visiblement pas le cas.
Ceci étant dit, si le zonage est de 13m, alors le promoteur doit s’en tenir à 13m, à moins qu’il obtienne une dérogation (peu probable étant donné l’opposition) ou qu’il fasse modifier le zonage. On tombe alors dans un cas où l’administration municipale doit déterminer si c’est dans l’intérêt collectif ou non.
D’ailleurs, personne n’a réussi encore à faire changer le zonage dans St-Roch pour dépasser 33m (pour pas cacher la vue au gens de St-Jean-Baptiste sur les motagnes…), même s’il s’agit d’édifices qui rapportent beaucoup plus à la ville que des habitations de 6 étages (autant en taxes municipales qu’en retombés économiques avec les emplois dans ce secteur). Alors à la défesnse des citoyens, je me demanderais pourquoi on n’accepte pas de modifier le zonage en plein centre-ville pour construite plus haut, mais qu’on accepterait (ce n’est pas encore accepté) de le faire en banlieue.
Peut-être que la ville y verra des raisons stratégiques de développement « assez dense » (à côté de deux autoroutes et à moins d’un kilomètre d’un métrobus). Peut-être pas…
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28 août 2010 à 03 h 08
tres bien comme commentaire ! :)
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28 août 2010 à 08 h 56
Je seconde!
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