Au lieu d’éliminer la modeste rade qui existait devant Québec (le bassin de la Douane), eut-il été préférable d’en aménager une plus vaste, adaptée aux besoins d’aujourd’hui et de demain ? À présent, il est impossible d’amarrer un seul kayak devant le Vieux-Québec, pourtant coeur touristique de la Capitale. Sans parler des nombreux usages du fleuve que permettrait une grande rade bien abritée – pourvue d’un plan incliné pour les mises à l’eau : canots à glace, chaloupes, yachts, bateaux de pêche, navires de croisières-excursions, etc.
14 septembre 2010 à 22 h 12
En quelle année? C’est incroyable de voir l’état de délabrement de certains édifices et de l’aménagement en général. On revient de loin…
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14 septembre 2010 à 22 h 15
« Il s’agit d’une carte postale dont j’ignore l’origine tout comme l’année (années cinquante, probablement) » (Léonce Naud)
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14 septembre 2010 à 23 h 27
On voit l’édifice André Laurendeau en arrière plan (derrière le Price). Bref la photo a été prise après 1937 c’est certain.
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15 septembre 2010 à 02 h 01
[…] Voyage dans le temps: Vieux-Port de Québec — Québec Urbain 2010-09-14 (tags: LCB lcb_histoire) […]
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15 septembre 2010 à 09 h 32
Au lieu d’éliminer la modeste rade qui existait devant Québec (le bassin de la Douane), eut-il été préférable d’en aménager une plus vaste, adaptée aux besoins d’aujourd’hui et de demain ? À présent, il est impossible d’amarrer un seul kayak devant le Vieux-Québec, pourtant coeur touristique de la Capitale. Sans parler des nombreux usages du fleuve que permettrait une grande rade bien abritée – pourvue d’un plan incliné pour les mises à l’eau : canots à glace, chaloupes, yachts, bateaux de pêche, navires de croisières-excursions, etc.
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15 septembre 2010 à 21 h 31
Bien d’ accords avec Vous !!!
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