Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’Université s’avère un vecteur majeur d’attrait et de rétention démographiques, ainsi qu’un joueur important dans le développement de la capitale

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 décembre 2006 1 commentaire

Source: Au fil des événements, 7 décembre 2006.

L’Université Laval et la Commission de la capitale nationale du Québec ont dévoilé, mardi, les résultats du Forum «Les jeunes d’ici – Partir ou rester» qui a eu lieu sur le campus le 2 avril dernier, et rendu publics les actes de cette rencontre. Ce forum visait à sonder, de façon novatrice, la connaissance qu’ont les jeunes de moins de 35 ans des forces et des faiblesses de la ville de Québec, ainsi que leur perception des enjeux majeurs que représentent pour leur avenir l’exode des cerveaux, le vieillissement de la population, l’immigration stagnante et le mouvement mondial vers une économie du savoir. (…)

La suite. Aussi, ce billet.

Voir aussi : Québec La cité.


Un commentaire

  1. Manu

    8 décembre 2006 à 13 h 20

    « Université » depuis 1852, et avant ça le séminaire depuis 1663, l’Université Laval a toujours occupé une place importante dans la ville de Québec. Ces dernières années on a surtout fait état des liens avec les centre de recherches industriels, dont certains existeraient difficilement sans l’université, ou encore de différents partenariats commerciaux avec le privé.

    Plus récemment, on s’est « officiellement » intéressé à son rôle urbain, en proposant des réaménagement majeurs de son territoire et une meilleure intégration au tissus urbain (infrastructures, commerces, logement, etc.).

    Je suis maintenant content de voir qu’on n’a pas négligé l’aspect social et démographique. On parle de l’est du Québec, mais les Européens et Magrébins y sont nombreux. J’ai connu beaucoup d’étudiants étrangers à l’université et j’en rencontre encore de nouveaux chaque année même si j’ai terminé mes études il y a une certain nombre d’années. Bon nombre d’entre eux se sont senti bien acceptés (du moins lorsqu’ils étaient étudiant) et ont choisi de rester, souvent par amour du « pays », de quelqu’un d’autre ou des deux.

    Bref, l’université n’a pas qu’un rôle académique, et je suis content qu’on le souligne.

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