Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le carrefour giratoire est opérationnel (…ou presque)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 octobre 2010 31 commentaires

« Ou presque » parce que le branchement pour le boulevard Lebourgneuf ainsi que ce dernier sont toujours en réfection.

La 2e photo nous montre une vue sud-est à partir du boulevard St-Jacques; la 3e nous montre le carrefour vers le nord (toujours à partir du boulevard St-Jacques, quoique nommé boulevard Neuvialle sur Google Maps).

Le secteur sur Google Maps avant la transformation.

Carrefour giratoire à Québec: Une première; dans le secteur Lebourgneuf et de La Morille.


Et ce en vue de l’implantation du Métrobus 803.

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Étalement urbain.


31 commentaires

  1. Pier Luc

    13 octobre 2010 à 18 h 21

    J’ai hâte qu’ils rouvrent Lebourgneuf!

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  2. Luc Fournier

    13 octobre 2010 à 18 h 36

    Le texte d’Éric Boucher ne traite toutefois pas du même carrefour giratoire. Présenté ainsi, ça peut porter à confusion.

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  3. paradiso Utilisateur de Québec Urbain

    13 octobre 2010 à 19 h 09

    C’est joli – malgré les 30 millions de fils électriques dans le champ de vision.

    Imaginez s’ils font un effort avec les plate-bandes centrales. Ce sera une énorme amélioration pour ce secteur.

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  4. Francis L Utilisateur de Québec Urbain

    13 octobre 2010 à 21 h 42

    Encore faut-il que les automobilistes s’habituent aux giratoires. Je ne sais pas si on traite du sujet dans les nouveaux cours de conduite, mais avant c’était inexistant. Prendre un giratoire, c’est pas seulement de laisser la priorité en rentrant, en Europe c’est tout un art. Ici, j’ai déjà vu des gens les prendre à contre sens…

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    • paradiso Utilisateur de Québec Urbain

      13 octobre 2010 à 23 h 37

      Il y a deux panneaux « cédez le passage » bien visibles à droite de la 3e photo. Il me semble que c’est une notion de base, carrefour giratoire ou non.

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      • Francis L Utilisateur de Québec Urbain

        13 octobre 2010 à 23 h 53

        Comme je disais, le « laisser le passage » n’est pas la seule règle à suivre dans un giratoire. Parlez en à un Européen : en autre on ne peut pas choisir n’importe qu’elle piste, dépendant de la situation. Ici ce principe s’applique moins.

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      • Erick Utilisateur de Québec Urbain

        14 octobre 2010 à 08 h 08

        Ce que les gens ne savent pas c’est que dans un giratoire, par défaut, c’est ceux qui entrent dedans qui ont priorité sur ceux déjà engagés dans le beigne et non pas le contraire comme on y est habitué avec les entrées d’autoroutes etc. SAUF INDICATION CONTRAIRE, i.e. une parcarte « cédez le passage ».

        Espérons que les gens seront moins mêlés qu’avec celui coin Honoré-Mercier/René-Lévesque où à tout bout de champ on voit un zouf immobilisé sur la lumière verte ou même en sens inverse de la circulation…

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      • laéR

        14 octobre 2010 à 10 h 41

        @Érick,

        Heu, je ne sais pas si c’est vraiment ce que tu voulais dire, mais ceux dans le giratoire ont priorité sur ceux qui entrent, non le contraire comme tu viens de le mentionner, d’où les céder le passage aux entrées.

        Merci.

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      • Manu

        15 octobre 2010 à 09 h 02

        En effet, il fut un temps où certains pays avaient des carrefours giratoires avec priorité à ceux qui entrent. La France, qui compte une bonne partie de ces carrefours à travers le monde, était de ceux-là mais a inversé cette priorité avec le temps. En gros, les carrefours giratoies « modernes » donnent la priorité à l’anneau, tandis que les « anciens » carrefours giratoires la donnaient au trafic entrant ou encore ne précisaient aucune priorité.

        Curieusement, c’est sur un site de l’Alaska, plus que sur Wikipedia, que j’ai trouvé un bon résumé de la situation (concernant principalement les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne)

        http://www.alaskaroundabouts.com/history.html

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      • Erick Utilisateur de Québec Urbain

        15 octobre 2010 à 09 h 06

        @laER

        Contraire! C’est le bout qu’ils n’expliquant pas à personne dans les cours de conduite.

        Par défaut, i.e. si aucune pancarte n’indique le contraire: Ceux qui entrent on la priorité et ceux dans le beigne doivent leur laisser le passage. Quand c’est pas ca qu’on veut il faut mettre une pancarte « cédez » aux entrées pour faire le contraire. En fait de plus en plus les vieux giratoires « par défaut » sont convertis en giratoires « logiques ». C’est pourquoi on ne prend pas de chances et on fout des « cédez » partout.

        Ca parait débile mais il y a des raisons pourquoi ils font/faisaient ca, c’est que les giratoires en Europe servent à des multiples sauces, sur des autoroutes à la place des traditionnelles entrées/sorties, sur des jonctions de routes régionales, en plein coeur des villages, en haut des côtes, etc. Il y a des cas (rares) où c’est préférable de prioriser ceux qui entrent à ceux qui sont déjà engagés, comme par exemple là où les nombreux virages à gauches « prioritaires » bloqueraient la ligne droite jugée plus importantes.

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      • Manu

        15 octobre 2010 à 12 h 27

        Ben voyons, il me semble même que de manière générale, carrefour giratoire ou pas, la priorité est toujours à celui à gauche, quand on conduit du côté droit comme ici. Autrement dit, règle générale encore, si tu te fais rentrer dedans côté conducteur, c’est probablement ta faute, et du côté passager, c’est probablement la faute de l’autre.

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    • Manu

      14 octobre 2010 à 00 h 15

      Ce carrefour là en l’occurence, dimanche soir dernier vers 23h30. Quelqu’un s’arrête en plein milieu vis à vis Lebourgneuf (encore fermée), question de constater qu’il n’a pas suivi les instructions de détour (ou parce qu’il fait du tourisme au mauvais moment).

      5 minutes plus tard (pendant que je faisais le plein juste à côté) quelqu’un a fait un arrêt complet, pour ensuite s’y engager à contre-sens….

      Je crois que le problème est assez simple. Les gens de respectent pas la signalisation parce qu’ils ne la voient pas. Ou bien ils regardaient ailleurs (le genre qui regarde continuellement juset devant l’auto, plutot que 50 à 250m devant selon la vitesse), ou bien la présence de panneaux de sicrulation ne les a pas frappés. On est tellement habitué d’être bombardé du puciblicité dans nos vies (journaux, magazines, mais surtout, sur Internet) que notre cevreau filtre subconsciemment celles-ci pour éviter au conscient, qui traite l’information, d’en faire une indgisestion.

      Çe serait intéressant de voir à quel point les conducteur aperçoivent ou non les panneaux (ça pourrait mener à une révision de normes d’affichage ) ou s’ils prennent simplemenr le temps de les lire et comprendre.

      Si un autre sujet, à l’approche du rond-point en direction nord, la voie réservée ne début quie jsute avant le rond-poin. Autrement dit, elle n’Est pas utilisatble dès qu’il y a 4 atous en filer. La ville possède enore uen bonne emprise vers l’est, alors pourquoi le pas aoir mise cette voie réservée à partir de Jean-Perr par exemple.

      Quant au 803, le problème sera probablement entre ce rond-point et le terminus les seuls. À suivre…

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  5. Nicolas Roberge Utilisateur de Québec Urbain

    14 octobre 2010 à 08 h 49

    Il y a en a 2 à Saint-Henri-de-Lévis sur la route provinciale et c’est beaucoup plus beau et sécuritaire. C’est une excellente idée.

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    • Anthony

      14 octobre 2010 à 10 h 37

      Et pour les emprunter à chaque semaine, la population semble bien s’y adapter.

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    • Erick Utilisateur de Québec Urbain

      15 octobre 2010 à 09 h 21

      Tout à fait d’accord, celui de St-Henri en est une très bonne utilisation. Un giratoire est un bon entre-deux entre un stupide stop à 4 coins et une feu de circulation couteux, par contre il a les défaut de ne pas supporter un gros flot de circulation et n’est pas recommandé en pleine ville car il est très désagréable pour les piétons qui doivent le contourner. A St-Henri c’est l’usage idéal car le trafic est modeste, il a remplacé un « stop à 2 coin » (si ma mémoire est bonne) dangereux car il oblige la circulation du boul. Kennedy à ralentir, et comme il est à la sortie de la ville, rares sont les piétons qui s’aventurent jusque là.

      Il y en a aussi à la sortie est de Louiseville pour aller prendre l’autoroute. La aussi c’est bien.

      A Cape Code il y a un maudit paquet de gros giratoires, mais c’est le bordel total.

      Notez aussi que les échangeurs des Ponts de Québec et Laporte du coté Nord forme presque un giratoire. Vous pouvez arriver de la rive-sud par un des ponts et retourner sur la rive-sud par n’importe quel des ponts, même celui d’ou vous arrivez. J’ai déjà fait ce genre de niaiserie une fois qu’il y a eu un « changement de programme » alors que j’étais déjà engagé sur le pont. Mais plus couramment, une passe que je fais, c’est de prendre Henri-IV « nord » à partir du Chemin St-Louis pour aller sur la rive-sud en me servant du quasi-giratoire pour faire un u-turn.

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      • Manu

        15 octobre 2010 à 12 h 31

        Avant, c’était un « vrai » carrefour giratoire sur la rive-nord, avant qu’ils le « coupent » dans la partie est pour retourner les deux voies vers le pont de Québec plutôt que vers le nord. Il n’y avait pas non plus l’avenue des Hôtels (du moins pas comme aujourd’hui) et le boulevard Laurier se prennait par le carrefour giratoire de manière symétrique à ce qui existe encore du côté Nord de Laurier (quand on quitte Laurier pour aller prendre Henri IV ou le Pont de Québec). Ça doit faire une vingtaine d’années de cela…

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  6. christian

    14 octobre 2010 à 12 h 08

    Dès le premier accident, Jean-Marie de Koninck va sûrement nous dire qu’il faudrait bannir les carrefours giratoires…

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    • Yvan Dutil

      14 octobre 2010 à 13 h 50

      Cela me surprendrait beaucoup. Il va te dire que les giratoires produisent moins d’accident et ces derniers sont de moindre gravité que les intersections classiques.

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      • Erick Utilisateur de Québec Urbain

        15 octobre 2010 à 09 h 23

        Effectivement les accidents dans le giratoire peuvent être assez nombreux à cause de l’inexpérience des gens avec ce genre de carrefour, mais comme les accidents à haute vitesse sont techniquent impossibles, les accidents risque de se limiter à de la tôle froissée et des blessures superficielles.

        P.S. Une fois je suis allé à l’Arc-de-Triomphe. En 30 minutes, 2 accrochages et un piéton frappé. Bonne moyenne alors qu’il m’était que 16/17 heures et que l’heure de pointe étaient même pas encore commencée. Inutile de payer pour aller voir des courses de stock-cars…

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  7. Erick Utilisateur de Québec Urbain

    15 octobre 2010 à 09 h 30

    J’ai vu aussi un giratoire à La Havane avec des feux de circulation pour régulariser l’entrée dans le giratoire. C’est pourtant rare des feux de circulation à Cuba. On trouve d’ailleurs de nombreux giratoires là-bas, comme dans bien des pays pauvres, la raison étant justement d’économiser les couteux feux de circulation.

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  8. RICHARD MANANGA

    5 novembre 2010 à 02 h 42

    Pourriez vous m’envoyez des photos d’un carrefour, giratoire ou rond-point avec feux tricolore de signalisation ?

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